Murmures
Un nouveau site de lutte contre l’islamophobie : Contre-attaque(s)
septembre 2015 | | Interculturel/Migrations | France
Source : L’Obs

Français
Sur fond rouge, le mot d’ordre est lancé : « contre-attaquer ». Ce mardi 1er septembre, une nouvelle plateforme de lutte contre l’islamophobie a fait son apparition sur Internet : Contre-attaque(s).
Dans sa présentation, le site précise son ambition. Celle de réagir, et de donner des moyens de le faire, face à un discours islamophobe grandissant en France, dans les médias et dans la société. L’appel n’est pas signé et les présentations sont succinctes : « Nous sommes un groupe de militants associatifs, de journalistes, de citoyens préoccupés par les dérives auxquelles nous assistons en France et, plus largement, en Europe. »
Le site propose différents types de contenus autour de l’islamophobie. Des journalistes rédigent des articles d’analyse, comme Alain Gresh sur le retour des « territoires perdus de la République ». Les rédacteurs proposeront aussi des « kits d’information » pour aider à la mobilisation, et renvoient vers des articles ou d’autres ressources. Si le site se veut participatif et ouvre la porte aux contributions des citoyens et des militants, le comité a décidé de ne pas proposer la possibilité de commenter ses publications directement sur le site.
Dans sa présentation, le site précise son ambition. Celle de réagir, et de donner des moyens de le faire, face à un discours islamophobe grandissant en France, dans les médias et dans la société. L’appel n’est pas signé et les présentations sont succinctes : « Nous sommes un groupe de militants associatifs, de journalistes, de citoyens préoccupés par les dérives auxquelles nous assistons en France et, plus largement, en Europe. »
Le site propose différents types de contenus autour de l’islamophobie. Des journalistes rédigent des articles d’analyse, comme Alain Gresh sur le retour des « territoires perdus de la République ». Les rédacteurs proposeront aussi des « kits d’information » pour aider à la mobilisation, et renvoient vers des articles ou d’autres ressources. Si le site se veut participatif et ouvre la porte aux contributions des citoyens et des militants, le comité a décidé de ne pas proposer la possibilité de commenter ses publications directement sur le site.
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