Texte Koffi Kwahulé

Mise en scène Laétitia Guédon
Assistée de Sol Espeche
Costumes Julie Couturier
Scénographie Soline Portmannet et Benjamin Perrotdra
Lumière Mathilde Foltier-Gueydan

Par la Cie 0,10

Annabelle Lengronne: Bintou
Alexandre Jazédé: Manu
Olivier Desautel: Kelkhal
Yohan Pisiou: Blackout
Dilène Valmar: la mère de Bintou
Aliou Cissé: l’oncle Drissa
Mata Gabin: la tante Rokia et la mère de P’tit Jean
Marie-Jeanne Owono: Moussoba
Sol Espeche: le choeur d’adolescentes
Gaëlle Bourgeois: le choeur d’adolescentes
Juliette Wiatr: le choeur d’adolescentes
Yves Jégo: Nenesse
Valentin Jonher: P’tit Jean
Frédéric Merme: Terminator
Emmanuel Mazé: Assassino
Dâwa Litaaba-Kagnita: l’observateur

Avec en alternance Olivia Dalric (le choeur), Laurent Gernigon (Nenesse), Olivier Berrault (Assassino)

Bintou… C’est d’abord l’histoire d’une fille de treize ans, issue d’une banlieue violente, fille d’immigrés noirs africains, rêvant à une carrière de danseuse du ventre.
Une jeune fille, qui se trouve être également à la tête d’un gang de garçons, les Lycaons, et qui rejette toute forme d’autorité. Une jeune fille qui finira par payer de sa vie le prix d’une liberté insolente, comme frappée par la fatalité…

Je m’appelle Bintou. Mes mecs m’appellent Samiagamal. J’ai treize ans.
Je sais que je ne verrai jamais éclore mes dix-huit ans, mais ça me fait rien.