Événements

Cine canapé spécial Soleil Haïti
18h30 Cimaises libres 20h30 Le profit et rien d’autre de Raoul Peck Bar Haïtien

Français

18h30
Cimaises libres


Chacun peut apporter une oeuvre, un objet, une photo à mettre au mur pour une vente aux enchères.

Des rencontres-débats animées par Jean Lavalasse journaliste haïtien : questions brûlantes sur Haïti, l’avant et l’après.

Vinous possédait deux écoles une à Port-au-Prince, la capitale, et l’autre aux Cayes dans le Sud du pays. L’école de Port-au-Prince s’est effondrée et nous avons perdu 5 professeurs qui essayaient d’évacuer les enfants…ces derniers sont sains et saufs. L’école des Cayes a élé légèrement touchée. Pas de mort ni de blessé. C’est un travail purement indépendant. Nous n’avons jamais été soutenus par quiconque. Nous fonctionnons sur nos fonds propres mais aussi grâce à l’argent recueilli lors de l’organisation de conférences sur Haïti.
Un exemple: la cantine de Vinous des Cayes fonctionnait grâce aux produits locaux venant des parents d’élèves. Notons que les parents sont des cultivateurs.

Le ciné-canapé sera dédié à ce projet grâce à votre soutien!

20h30
Le profit et rien d’autre

Documentaire de Raoul Peck (2000 France).


Comment va le monde vu de Port-à-Piment, petite ville portuaire de Haïti, aujourd’hui réduite à la ruine et à la décomposition sociale?

Comment y cohabitent les riches et les pauvres ? Mais aussi qu’en est-il en Occident de la solidarité, des grandes idéologies, de la nouvelle économie, de la fracture sociale, de l’écologie, de la mémoire et du rôle du cinéma ?

Raoul Peck construit un film polyphonique où jouent en contrepoint scènes de vie, archives, entretiens, graphiques, interviews d’économistes et micro-trottoirs filmés en Haïti et aux quatre coins du monde occidental. Soutenu par la parole engagée du réalisateur (…), le film alterne une approche « macro » – celle de la grande spéculation des organisations monétaires internationales et des spécialistes de l’économie – et une approche « micro » – celle des pêcheurs et des paysans de Port-à-Piment qui réinventent de nouveaux systèmes d’échanges.
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