Cine canapé spécial Soleil Haïti
18h30 Cimaises libres
20h30 Le profit et rien d’autre de Raoul Peck
Bar Haïtien
Projection
Le 26 Février 2010
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Cinéma/TV
Centre Culturel de Schaerbeek – 91/93 Rue de Locht, 1030 Bruxelles –
entrée 5€
Français
18h30
Cimaises libres
Chacun peut apporter une oeuvre, un objet, une photo à mettre au mur pour une vente aux enchères.
Des rencontres-débats animées par Jean Lavalasse journaliste haïtien : questions brûlantes sur Haïti, l’avant et l’après.
Vinous possédait deux écoles une à Port-au-Prince, la capitale, et l’autre aux Cayes dans le Sud du pays. L’école de Port-au-Prince s’est effondrée et nous avons perdu 5 professeurs qui essayaient d’évacuer les enfants…ces derniers sont sains et saufs. L’école des Cayes a élé légèrement touchée. Pas de mort ni de blessé. C’est un travail purement indépendant. Nous n’avons jamais été soutenus par quiconque. Nous fonctionnons sur nos fonds propres mais aussi grâce à l’argent recueilli lors de l’organisation de conférences sur Haïti.
Un exemple: la cantine de Vinous des Cayes fonctionnait grâce aux produits locaux venant des parents d’élèves. Notons que les parents sont des cultivateurs.
Le ciné-canapé sera dédié à ce projet grâce à votre soutien!
20h30
Le profit et rien d’autre
Documentaire de Raoul Peck (2000 France).
Comment va le monde vu de Port-à-Piment, petite ville portuaire de Haïti, aujourd’hui réduite à la ruine et à la décomposition sociale?
Comment y cohabitent les riches et les pauvres ? Mais aussi qu’en est-il en Occident de la solidarité, des grandes idéologies, de la nouvelle économie, de la fracture sociale, de l’écologie, de la mémoire et du rôle du cinéma ?
Raoul Peck construit un film polyphonique où jouent en contrepoint scènes de vie, archives, entretiens, graphiques, interviews d’économistes et micro-trottoirs filmés en Haïti et aux quatre coins du monde occidental. Soutenu par la parole engagée du réalisateur (…), le film alterne une approche « macro » – celle de la grande spéculation des organisations monétaires internationales et des spécialistes de l’économie – et une approche « micro » – celle des pêcheurs et des paysans de Port-à-Piment qui réinventent de nouveaux systèmes d’échanges.
Cimaises libres
Chacun peut apporter une oeuvre, un objet, une photo à mettre au mur pour une vente aux enchères.
Des rencontres-débats animées par Jean Lavalasse journaliste haïtien : questions brûlantes sur Haïti, l’avant et l’après.
Vinous possédait deux écoles une à Port-au-Prince, la capitale, et l’autre aux Cayes dans le Sud du pays. L’école de Port-au-Prince s’est effondrée et nous avons perdu 5 professeurs qui essayaient d’évacuer les enfants…ces derniers sont sains et saufs. L’école des Cayes a élé légèrement touchée. Pas de mort ni de blessé. C’est un travail purement indépendant. Nous n’avons jamais été soutenus par quiconque. Nous fonctionnons sur nos fonds propres mais aussi grâce à l’argent recueilli lors de l’organisation de conférences sur Haïti.
Un exemple: la cantine de Vinous des Cayes fonctionnait grâce aux produits locaux venant des parents d’élèves. Notons que les parents sont des cultivateurs.
Le ciné-canapé sera dédié à ce projet grâce à votre soutien!
20h30
Le profit et rien d’autre
Documentaire de Raoul Peck (2000 France).
Comment va le monde vu de Port-à-Piment, petite ville portuaire de Haïti, aujourd’hui réduite à la ruine et à la décomposition sociale?
Comment y cohabitent les riches et les pauvres ? Mais aussi qu’en est-il en Occident de la solidarité, des grandes idéologies, de la nouvelle économie, de la fracture sociale, de l’écologie, de la mémoire et du rôle du cinéma ?
Raoul Peck construit un film polyphonique où jouent en contrepoint scènes de vie, archives, entretiens, graphiques, interviews d’économistes et micro-trottoirs filmés en Haïti et aux quatre coins du monde occidental. Soutenu par la parole engagée du réalisateur (…), le film alterne une approche « macro » – celle de la grande spéculation des organisations monétaires internationales et des spécialistes de l’économie – et une approche « micro » – celle des pêcheurs et des paysans de Port-à-Piment qui réinventent de nouveaux systèmes d’échanges.
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