Robyn Orlin
Chants et musiques d’Afrique du Sud

Concert
Le 26 Mars 2010
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse
Maison de la musique de Nanterre – 8 rue des Anciennes-Mairies, 92000 Nanterre –
Vendredi 26 mars à 20h30
Français
Robyn Orlin – Walking next to our shoes…
Avec le spectacle Walking next to our shoes… *, Robyn Orlin, sans aucun doute la chorégraphe sud-africaine la plus fantaisiste et la plus rebelle, met en scène une chorale composée de douze chanteurs, et revisite les formes traditionnelles d’isicathamya* avec un humour corrosif. Figure de proue de la création contemporaine sud-africaine, la chorégraphe blanche Robyn Orlin sort des sentiers battus et n’hésite pas à porter un regard ironique sur les réalités de l’Afrique du Sud post-apartheid.
*En zoulou « Walking next to our shoes » veut dire « être pauvre ». Les travailleurs immigrés au début du XXe, logés dans des hôtels, n’avaient pas le droit de faire du bruit. Ils communiquaient à mi-voix et se déplaçaient sur la pointe des pieds. De là est né un verbe qui veut dire « piétiner soigneusement, marcher doucement ». Et un style de chant traditionnel zoulou a cappella rythmé par les frappes des pieds, l’isicathamya, actuellement réapparu sous forme de concours à Johannesburg.
Avec le spectacle Walking next to our shoes… *, Robyn Orlin, sans aucun doute la chorégraphe sud-africaine la plus fantaisiste et la plus rebelle, met en scène une chorale composée de douze chanteurs, et revisite les formes traditionnelles d’isicathamya* avec un humour corrosif. Figure de proue de la création contemporaine sud-africaine, la chorégraphe blanche Robyn Orlin sort des sentiers battus et n’hésite pas à porter un regard ironique sur les réalités de l’Afrique du Sud post-apartheid.
*En zoulou « Walking next to our shoes » veut dire « être pauvre ». Les travailleurs immigrés au début du XXe, logés dans des hôtels, n’avaient pas le droit de faire du bruit. Ils communiquaient à mi-voix et se déplaçaient sur la pointe des pieds. De là est né un verbe qui veut dire « piétiner soigneusement, marcher doucement ». Et un style de chant traditionnel zoulou a cappella rythmé par les frappes des pieds, l’isicathamya, actuellement réapparu sous forme de concours à Johannesburg.
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