Le petit Chaperon en Sweat Rouge – D’ de Kabal
Conte vocal écrit et mis en scène par le slammeur D’ de Kabal assisté de Nicolas Fleury RIPOSTE.
© Lazoo
Représentation
du 01 au 18 Décembre 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Théâtre d’Ivry Antoine Vitez – 1, rue Simon Dereure, 94200 Ivry-sur-Seine – France
Communiqué du site
Français
Du jeudi 1er décembre au dimanche 18 décembre
Tout public :
Samedis 3, 10, 17 décembre à 18 h
Dimanches 4, 11, 18 décembre à 16 h
Mercredis 7 et 14 décembre à 14 h 30
Sur le temps scolaire :
Jeudis 1er et 8 décembre à 10 h (séance supplémentaire) et 14 h 30/ 15 décembre à 14 h 30
Vendredis 2, 9 à 14 h30,16 décembre à 10 h (séance supplémentaire)et 14 h 30
Mardis 6 et 13 décembre à 14 h 30
« C’est pour mieux te manger, mon enfant ».
Ces seuls mots suffisent à évoquer le conte où l’enfant se confronte aux pires dangers.
Dans cette adaptation de D’ de Kabal, le petit Chaperon a changé.
Irrévérencieuse, débrouillarde, gouailleuse, elle enfile son sweat rouge et s’aventure dans la jungle urbaine.
En forme de polyphonie, les voix parlées, rappées, chantées, les ambiances sonores, les bruitages, le beat box, les boucles musicales réinventent le parcours initiatique.
Qui va manger la mère-grand ?
Plus d’informations [sur le site du théâtre Antoine Vitez]
Tout public :
Samedis 3, 10, 17 décembre à 18 h
Dimanches 4, 11, 18 décembre à 16 h
Mercredis 7 et 14 décembre à 14 h 30
Sur le temps scolaire :
Jeudis 1er et 8 décembre à 10 h (séance supplémentaire) et 14 h 30/ 15 décembre à 14 h 30
Vendredis 2, 9 à 14 h30,16 décembre à 10 h (séance supplémentaire)et 14 h 30
Mardis 6 et 13 décembre à 14 h 30
« C’est pour mieux te manger, mon enfant ».
Ces seuls mots suffisent à évoquer le conte où l’enfant se confronte aux pires dangers.
Dans cette adaptation de D’ de Kabal, le petit Chaperon a changé.
Irrévérencieuse, débrouillarde, gouailleuse, elle enfile son sweat rouge et s’aventure dans la jungle urbaine.
En forme de polyphonie, les voix parlées, rappées, chantées, les ambiances sonores, les bruitages, le beat box, les boucles musicales réinventent le parcours initiatique.
Qui va manger la mère-grand ?
Plus d’informations [sur le site du théâtre Antoine Vitez]
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