Exposition Bruce Clarke – Who’s afraid
Le Musée des Arts Derniers accueille l’exposition Who’s Afraid de l’artiste Sud-Africain Bruce Clarke. Vernissage le mercredi 21 septembre de 19h à 22h
Exposition
du 15 Septembre au 15 Novembre 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Arts plastiques
Musée des Arts Derniers – 28 rue Saint Gilles, à l’angle du 50 rue de Turenne, 75003 Paris – France
Vernissage le mercredi 21 septembre de 19h à 22h
Exposition de 11h à 19h (Sauf dimanche)
Entrée libre
Français
Le Musée des Arts Derniers accueille l’exposition de l’artiste Sud-Africain Bruce Clarke.
Who’s Afraid, travaille l’histoire et la mémoire à travers la presse en superposant ses visions à celle de l’actualité.
« Un titre de presse est agrandi, l’image est déchirée, lacérée, transpercée, traversée. Le mot, la phrase, la lettre sont des éléments de la palette. Peu à peu, un décalage se crée entre le mot et l’image. Pas d’adéquation, pas de message uniquement « politique ». Sous l’écorce des affiches, des images, des articles, des photos, palpitent le monde et ses drames.
Afrique du Sud, Rwanda, Gorée, travailleurs clandestins, exploitations et dominations contemporaines, Bruce Clarke s’engage personnellement, ici et là-bas, dans chaque évènement, avant l’ oeuvre ou avec elle. De fait, Bruce Clarke devient l’œuvre d’art : il n’y a pas chez lui de volonté de retourner au sujet purement « esthétique », mais au contraire le souci d’allier l’individu et l’Histoire pour remonter aux racines mêmes de l’inspiration, de la vie, du politique, de l’art. »
Who’s Afraid, travaille l’histoire et la mémoire à travers la presse en superposant ses visions à celle de l’actualité.
« Un titre de presse est agrandi, l’image est déchirée, lacérée, transpercée, traversée. Le mot, la phrase, la lettre sont des éléments de la palette. Peu à peu, un décalage se crée entre le mot et l’image. Pas d’adéquation, pas de message uniquement « politique ». Sous l’écorce des affiches, des images, des articles, des photos, palpitent le monde et ses drames.
Afrique du Sud, Rwanda, Gorée, travailleurs clandestins, exploitations et dominations contemporaines, Bruce Clarke s’engage personnellement, ici et là-bas, dans chaque évènement, avant l’ oeuvre ou avec elle. De fait, Bruce Clarke devient l’œuvre d’art : il n’y a pas chez lui de volonté de retourner au sujet purement « esthétique », mais au contraire le souci d’allier l’individu et l’Histoire pour remonter aux racines mêmes de l’inspiration, de la vie, du politique, de l’art. »
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