Banlieue Rythme
Français
Ce festival international se déroule annuellement à Guédiawaye dans la banlieue de la capitale Dakar au Sénégal, et on y trouve des artistes de premier plan.
Le festival a déjà accueilli : TIKEN JAH FAKOLY, HIFI et LIM (45 Scientific), BAABA MAAL, AMY KOITA, FALLOU DIENG, DIAL MBAYE, HABIB KOITE, et d’autres.
Presque six ans après sa première édition, le Festival de Guédiawaye retient aujourd’hui toute l’attention des artistes, du public, de la presse et des pouvoirs publics. Cette reconnaissance s’est traduite, au cours de ces quatre années, par le soutien que lui ont apporté des institutions internationales telles que l’Agence de la Francophonie, l’Association française d’action artistique (AFAA) ou AFRICALIA, et par la présence de la presse spécialisée française lors de l’édition 2004. A leur tour, les pouvoirs publics sénégalais se sont rendus à l’évidence : ils ont apporté une aide importante à l’organisation de l’édition 2004, qui a vu plus de trente mille (30 000) personnes assister aux concerts et participé au « carnaval de Guédiawaye ». Pour le ministère de la Culture, « Banlieue Rythme » s’inscrit en effet parfaitement dans sa politique visant la décentralisation de ses actions culturelles jusque dans les coins les plus reculés. « Banlieue Rythme » ou « Les Rencontres Interculturelles de Guédiawaye » est un projet d’activités globales. Il est constitué de trois ateliers de résidences artistiques, d’un Carnaval et d’un Festival. Il propose spécifiquement un espace de diffusion, de rencontres et d’expressions culturelles.
Le festival a déjà accueilli : TIKEN JAH FAKOLY, HIFI et LIM (45 Scientific), BAABA MAAL, AMY KOITA, FALLOU DIENG, DIAL MBAYE, HABIB KOITE, et d’autres.
Presque six ans après sa première édition, le Festival de Guédiawaye retient aujourd’hui toute l’attention des artistes, du public, de la presse et des pouvoirs publics. Cette reconnaissance s’est traduite, au cours de ces quatre années, par le soutien que lui ont apporté des institutions internationales telles que l’Agence de la Francophonie, l’Association française d’action artistique (AFAA) ou AFRICALIA, et par la présence de la presse spécialisée française lors de l’édition 2004. A leur tour, les pouvoirs publics sénégalais se sont rendus à l’évidence : ils ont apporté une aide importante à l’organisation de l’édition 2004, qui a vu plus de trente mille (30 000) personnes assister aux concerts et participé au « carnaval de Guédiawaye ». Pour le ministère de la Culture, « Banlieue Rythme » s’inscrit en effet parfaitement dans sa politique visant la décentralisation de ses actions culturelles jusque dans les coins les plus reculés. « Banlieue Rythme » ou « Les Rencontres Interculturelles de Guédiawaye » est un projet d’activités globales. Il est constitué de trois ateliers de résidences artistiques, d’un Carnaval et d’un Festival. Il propose spécifiquement un espace de diffusion, de rencontres et d’expressions culturelles.
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