Un très bel exemple de solidarité : un millier de femmes burundaises, toutes veuves et victimes de la guerre civile de 1993-1994, se sont regroupées à côté d’une ancienne clinique psychiatrique (la clinique du docteur Le Gentil). Aujourd’hui, ces femmes subsistent grâce à la culture d’un champ que la mairie leur a accordé. Ces victimes issues des communautés hutus, tutsis ou twas survivent grâce à leur esprit d’entraide.