Fiche Personne
BD
Brahim Guerroui (Gébé)
Dessinateur/trice, Scénariste
Algérie
Français
Brahim Guerroui, dit Gébé, commence sa carrière en débutant en 1970, à l’âge de 19 ans, dans le n° 10 du magazine M’Quidèch où il dessine une page de gags.
L’année suivante, il persévère avec une planche intitulée Batata à la chasse (n° 14). Puis il reprend la série Les grandes inventions du professeur Skolli en 1973 (du n° 27 au n° 30). Ces aventures seront par la suite, regroupées en un album unique publié en 1986 : Les aventures du professeur Skolli.
De 1978 à 1982, dans la nouvelle version en langue arabe de M’Quidèch, il crée le personnage de Merouane qui fera l’objet de trois albums entre 1979 et 1985 (Ed. Sned) : Merouane et le cheval enchanté.
En 1985 il publie également Le temps d’un sourire (ENAG) suivi l’année suivante par Les enfants de la liberté (ENAL) sur la guerre d’Algérie. Il collabore également aux revues Tarik (1979), à l’unique numéro de Scorpion (1990) et Sindbad (1988-1989).
Il illustre également des contes pour enfants, des albums de coloriage et participe à plusieurs expositions collectives. Il devient dessinateur de presse pour le journal El Moudjahid et l’objet de menaces de la part de terroristes.
En 1995, il est assassiné en laissant une femme et six enfants.
En 2011, à l’occasion de la 4e édition du Festival international de bande dessinée d’Alger (FIBDA), il reçoit le prix Patrimoine à titre posthume.
L’année suivante, il persévère avec une planche intitulée Batata à la chasse (n° 14). Puis il reprend la série Les grandes inventions du professeur Skolli en 1973 (du n° 27 au n° 30). Ces aventures seront par la suite, regroupées en un album unique publié en 1986 : Les aventures du professeur Skolli.
De 1978 à 1982, dans la nouvelle version en langue arabe de M’Quidèch, il crée le personnage de Merouane qui fera l’objet de trois albums entre 1979 et 1985 (Ed. Sned) : Merouane et le cheval enchanté.
En 1985 il publie également Le temps d’un sourire (ENAG) suivi l’année suivante par Les enfants de la liberté (ENAL) sur la guerre d’Algérie. Il collabore également aux revues Tarik (1979), à l’unique numéro de Scorpion (1990) et Sindbad (1988-1989).
Il illustre également des contes pour enfants, des albums de coloriage et participe à plusieurs expositions collectives. Il devient dessinateur de presse pour le journal El Moudjahid et l’objet de menaces de la part de terroristes.
En 1995, il est assassiné en laissant une femme et six enfants.
En 2011, à l’occasion de la 4e édition du Festival international de bande dessinée d’Alger (FIBDA), il reçoit le prix Patrimoine à titre posthume.
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