Fiche Personne
Cinéma/TV
Photo
Georges Senga
Réalisateur/trice, Photographe
République démocratique du Congo
© Aleksandar Topalovic (courtesy Villa Médicis)
Français
Artiste photographe et réalisateur congolais.
Parfois crédité sous le nom de
Georges SENGA ASSANI
Georges SENGA ASSANI est un photographe et réalisateur.
Il est connu pour le court métrage documentaire KASONGO (IM)MATÉRIEL (2021, co-réalisateur) réalisé avec Noémie ARAZI.
Il est né en 1983, à Lubumbashi (République démocratique du Congo).
Lives and works in Lubumbashi.
Georges Senga Assani est un photographe dont le travail a été découvert lors de la première édition de la Biennale Picha de Lubumbashi en 2008, par Marie-Françoise Plissart et Sammy Baloji.
Il a rejoint la master class organisée par le Goethe-Institut Johannesburg/Afrique du Sud, Lubumbashi (2012), et Lagos/Nigeria (2013).
Les troisième et quatrième séries de photographies intitulées Une vie après la mort et Kadogos ont été présentées en 2014 à la Biennale d’art de Kampala et en 2013 aux Rencontres Picha Biennale de Lubumbashi. Plus tôt, en 2009, son projet impressed a été présenté à la deuxième Biennale de Lubumbashi avec Simon Njami.
Il a reçu une bourse de recherche de PRO HELVELTIA en 2014 pour son projet photographique TRANSIT. En 2015, il a été en résidence au centre d’art contemporain WIELS, Forest/Belgique, ainsi que dans le cadre du projet African Odyssey au centre d’art BRASS. Cette même année, il a présenté son travail à la Biennale de Bamako, où il a obtenu le prix Léo le RAM africain.
Il développe son travail photographique autour de l’histoire et des histoires qui se révèlent dans « la mémoire, l’identité et l’héritage », éclairant nos actes et le présent. Trois de ses projets explorent ainsi la mémoire, à la quête des résonances que les hommes, leurs faits et objets laissent, et la résilience de la mémoire dans son pays, le Congo. Les travaux de Georges Senga ont été présentés dans des expositions personnelles et collectives : Biennale de Lubumbashi en 2008, 2010, 2013, 2015 et 2019, Asbl Dialogues en 2013, Biennale de Bamako en 2011, 2015 et 2017, Addis Fotofest en 2014 et 2018, Kampala Biennale en 2014, Cap Town Art Fair en 2018, Sesci_video Brazil en 2019, Contour Biennale en 2019, Kigali PhotoFest en 2019, Fondation A en 2019, Wiels centre d’art en 2019, Galerie Imane Farès en 2019, Cargo in Context en 2019, FOMU en 2019, centre culturel Jean Cocteau en 2020, Nations Unies, États-Unis en 2020.
De janvier 2014 à février 2020, Georges Senga a effectué de nombreuses résidences en Belgique, en Allemagne et aux Pays-Bas.
Il obtient les Prix Thamie Mnyele Award (Pays-Bas, 2019), DemoCrasee, Biennale de Bamako (Mali 2017), CAP PRIZE – Prix international pour la photographie africaine contemporaine de l’IAF Basel (Suisse, 2017), SADC Research Residency Prohelveltia (Afrique du Sud, 2017), Leon the African RAM, Biennale de Bamako (Mali, 2015), SADC Research Residency Prohelveltia (Afrique du Sud, 2014), mention Spéciale, PHOTOAFRICA (Espagne, 2009).
Le projet qu’il mène à la Villa Médicis [2020-2021] s’intitule Comment un petit chasseur noir Païen devient prêtre Catholique, projet né à la suite de sa rencontre en 2017 avec la fille d’un prêtre catholique, qui par sa fonction, n’aurait pas dû avoir d’enfants. Au cours de cette rencontre, la fille du prêtre dévoile un sac contenant plusieurs diapositives non datées, appartenant au père décédé en 1989. Le projet de Georges Senga retrace le parcours de ce prête catholique du nom de Bonaventure Salumu, depuis son village jusqu’à son séjour en Europe.
Source :
https://imanefares.com/artistes/georges-senga/
Artiste photographe
FORMATION
De 2004 à 2009
Licence de lettres et Sciences Humaines – Université de Lubumbashi, R.D.Congo.
PARCOURS ARTISTIQUE/ WORKSHOP
– Master class porfolio review en off Biennale de Bamako 2011 (avec Goethe Institute)
– Master class porfolio review à Lubumbashi 2012 (avec Goethe Institute)
– Master class porfolio review en off Lagos photo Festival 2013 (avec Goethe Institute)
Octobre 2010 : Participation à la Biennale de Lubumbashi, sélection par le commissaire
Simon Djami
– Réalisation de la série « Empreintes »
Octobre 2008 : Participation à un atelier de photographie, Biennale de Lubumbashi « PICHA
Encounters » organisé par M-F Plissart, S. Baloji et G. El Magambo.
– Réalisation d’une série photographique « mes nouveaux plafonds »
PRIX OBTENUS
2009
Mention spéciale, PHOTOAFRICA Tarifa, Espagne.
PHOTOS
2009 Mes nouveaux plafonds, Tarifa, Espagne
2009 Mes nouveaux plafonds, Halle de l’Etoile, Institut Français, Lubumbashi, R.D.Congo
2010: Empreintes, Biennale Internationale de Lubumbashi PICHA, Lubumbashi, R.D.Congo
2010: Makwacha, une ouverture de fosse musée, la beauté de l’Afrique du CCF Addis-Abeba,
Ethiopie
2011: Empreintes, Halle de l’Etoile Institut Français, Lubumbashi R.D.Congo
2011: Empreintes, PHOTOAFRICA, Tarifa, Espagne
2011: Empreintes, Bamako Biennale de lecture porfolio 2011, Bamako, Mali
2011: Empreintes, Afrique Photo, Nairobi, Kenya
2012: Empreintes, Afrique du numéro deux, Bruxelles, Belgique
2012: Une vie après la mort
2013: Une vie après la mort, Galerie d’art contemporain ASBL Dialogues, avec le partenariat
de l’Institut Français de Lubumbashi et de l’Ecole Française de Lubumbashi et de Rencontres
Parfois crédité sous le nom de
Georges SENGA ASSANI
Georges SENGA ASSANI est un photographe et réalisateur.
Il est connu pour le court métrage documentaire KASONGO (IM)MATÉRIEL (2021, co-réalisateur) réalisé avec Noémie ARAZI.
Il est né en 1983, à Lubumbashi (République démocratique du Congo).
Lives and works in Lubumbashi.
Georges Senga Assani est un photographe dont le travail a été découvert lors de la première édition de la Biennale Picha de Lubumbashi en 2008, par Marie-Françoise Plissart et Sammy Baloji.
Il a rejoint la master class organisée par le Goethe-Institut Johannesburg/Afrique du Sud, Lubumbashi (2012), et Lagos/Nigeria (2013).
Les troisième et quatrième séries de photographies intitulées Une vie après la mort et Kadogos ont été présentées en 2014 à la Biennale d’art de Kampala et en 2013 aux Rencontres Picha Biennale de Lubumbashi. Plus tôt, en 2009, son projet impressed a été présenté à la deuxième Biennale de Lubumbashi avec Simon Njami.
Il a reçu une bourse de recherche de PRO HELVELTIA en 2014 pour son projet photographique TRANSIT. En 2015, il a été en résidence au centre d’art contemporain WIELS, Forest/Belgique, ainsi que dans le cadre du projet African Odyssey au centre d’art BRASS. Cette même année, il a présenté son travail à la Biennale de Bamako, où il a obtenu le prix Léo le RAM africain.
Il développe son travail photographique autour de l’histoire et des histoires qui se révèlent dans « la mémoire, l’identité et l’héritage », éclairant nos actes et le présent. Trois de ses projets explorent ainsi la mémoire, à la quête des résonances que les hommes, leurs faits et objets laissent, et la résilience de la mémoire dans son pays, le Congo. Les travaux de Georges Senga ont été présentés dans des expositions personnelles et collectives : Biennale de Lubumbashi en 2008, 2010, 2013, 2015 et 2019, Asbl Dialogues en 2013, Biennale de Bamako en 2011, 2015 et 2017, Addis Fotofest en 2014 et 2018, Kampala Biennale en 2014, Cap Town Art Fair en 2018, Sesci_video Brazil en 2019, Contour Biennale en 2019, Kigali PhotoFest en 2019, Fondation A en 2019, Wiels centre d’art en 2019, Galerie Imane Farès en 2019, Cargo in Context en 2019, FOMU en 2019, centre culturel Jean Cocteau en 2020, Nations Unies, États-Unis en 2020.
De janvier 2014 à février 2020, Georges Senga a effectué de nombreuses résidences en Belgique, en Allemagne et aux Pays-Bas.
Il obtient les Prix Thamie Mnyele Award (Pays-Bas, 2019), DemoCrasee, Biennale de Bamako (Mali 2017), CAP PRIZE – Prix international pour la photographie africaine contemporaine de l’IAF Basel (Suisse, 2017), SADC Research Residency Prohelveltia (Afrique du Sud, 2017), Leon the African RAM, Biennale de Bamako (Mali, 2015), SADC Research Residency Prohelveltia (Afrique du Sud, 2014), mention Spéciale, PHOTOAFRICA (Espagne, 2009).
Le projet qu’il mène à la Villa Médicis [2020-2021] s’intitule Comment un petit chasseur noir Païen devient prêtre Catholique, projet né à la suite de sa rencontre en 2017 avec la fille d’un prêtre catholique, qui par sa fonction, n’aurait pas dû avoir d’enfants. Au cours de cette rencontre, la fille du prêtre dévoile un sac contenant plusieurs diapositives non datées, appartenant au père décédé en 1989. Le projet de Georges Senga retrace le parcours de ce prête catholique du nom de Bonaventure Salumu, depuis son village jusqu’à son séjour en Europe.
Source :
https://imanefares.com/artistes/georges-senga/
Artiste photographe
FORMATION
De 2004 à 2009
Licence de lettres et Sciences Humaines – Université de Lubumbashi, R.D.Congo.
PARCOURS ARTISTIQUE/ WORKSHOP
– Master class porfolio review en off Biennale de Bamako 2011 (avec Goethe Institute)
– Master class porfolio review à Lubumbashi 2012 (avec Goethe Institute)
– Master class porfolio review en off Lagos photo Festival 2013 (avec Goethe Institute)
Octobre 2010 : Participation à la Biennale de Lubumbashi, sélection par le commissaire
Simon Djami
– Réalisation de la série « Empreintes »
Octobre 2008 : Participation à un atelier de photographie, Biennale de Lubumbashi « PICHA
Encounters » organisé par M-F Plissart, S. Baloji et G. El Magambo.
– Réalisation d’une série photographique « mes nouveaux plafonds »
PRIX OBTENUS
2009
Mention spéciale, PHOTOAFRICA Tarifa, Espagne.
PHOTOS
2009 Mes nouveaux plafonds, Tarifa, Espagne
2009 Mes nouveaux plafonds, Halle de l’Etoile, Institut Français, Lubumbashi, R.D.Congo
2010: Empreintes, Biennale Internationale de Lubumbashi PICHA, Lubumbashi, R.D.Congo
2010: Makwacha, une ouverture de fosse musée, la beauté de l’Afrique du CCF Addis-Abeba,
Ethiopie
2011: Empreintes, Halle de l’Etoile Institut Français, Lubumbashi R.D.Congo
2011: Empreintes, PHOTOAFRICA, Tarifa, Espagne
2011: Empreintes, Bamako Biennale de lecture porfolio 2011, Bamako, Mali
2011: Empreintes, Afrique Photo, Nairobi, Kenya
2012: Empreintes, Afrique du numéro deux, Bruxelles, Belgique
2012: Une vie après la mort
2013: Une vie après la mort, Galerie d’art contemporain ASBL Dialogues, avec le partenariat
de l’Institut Français de Lubumbashi et de l’Ecole Française de Lubumbashi et de Rencontres
English
Congolese (DRC) photographer and film director.
He is sometimes credited as
Georges SENGA ASSANI
Georges SENGA is a photographer and director.
He is known for the short documentary KASONGO (IM)MATERIAL (2021, co-director) directed alongside with Noémie ARAZI.
Born in 1983, in Lubumbashi (Democratic Republic of Congo / DR Congo).
Lives and works in Lubumbashi.
Georges Senga Assani is a photographer who was discovered during the first edition of the Picha Biennale de Lubumbashi in 2008, by Marie-Françoise Plissart and Sammy Baloji.
He joined the master class degree organized by the Goethe-Institut Johannesburg/South Africa, Lubumbashi (2012), and Lagos/Nigeria (2013).
The third and fourth series of photographs titled a life after death and Kadogos was presented in 2014 at the Kampala Art Biennale and 2013 at Rencontres Picha Biennale de Lubumbashi. Earlier, in 2009, his project impressed was presented at the second Lubumbashi Biennale with Simon Njami.
He received a research grant by PRO HELVELTIA in 2014 for his photo project TRANSIT. In 2015 he was a fellow at WIELS Contemporary art centre, Forest/Belgium, as well as part of the project African Odyssey at the arts center BRASS. That same year, he presented his work at the Bamako Biennale, where he graduated from the price Leo the African RAM.
He develops his photographic work around history and the stories revealed in « memory, identity and heritage », shedding light on our actions and the present. Three of his projects thus explore memory, in search of the resonances that men, their facts and objects leave behind, and the resilience of memory in his country, Congo. Georges Senga’s work has been presented in solo and group exhibitions : Lubumbashi Biennale in 2008, 2010, 2013, 2015 and 2019, Asbl Dialogues in 2013, Bamako Biennale in 2011, 2015 and 2017, Addis Fotofest in 2014 and 2018, Kampala Biennale in 2014, Cape Town Art Fair in 2018, Sesci_video Brazil in 2019, Contour Biennale in 2019, Kigali PhotoFest in 2019, Fondation A in 2019, Wiels art centre in 2019, Galerie Imane Farès in 2019, Cargo in Context in 2019, FOMU in 2019, Jean Cocteau cultural centre in 2020, United Nations, United States in 2020.
From January 2014 to February 2020, Georges Senga carried out numerous residencies in Belgium, Germany and the Netherlands.
He has won the Thamie Mnyele Award (Netherlands, 2019), DemoCrasee, Bamako Biennale (Mali 2017), CAP PRIZE – International Prize for Contemporary African Photography of the IAF Basel (Switzerland, 2017), SADC Research Residency Prohelveltia (South Africa, 2017), Leon the African RAM, Bamako Biennale (Mali, 2015), SADC Research Residency Prohelveltia (South Africa, 2014), Special mention, PHOTOAFRICA (Spain, 2009).
His project at Villa Medici [2020-2021] is entitled Comment un petit chasseur noir Païen devient prêtre Catholique (How a small Black pagan hunter becomes a Catholic priest), a project born after meeting in 2017 the daughter of a Catholic priest, who by his function, shouldn’t have had children. During this gathering, the priest’s daughter reveals a bag containing several undated slides, belonging to the father who died in 1989. Georges Senga’s project retraces the journey of this Catholic priest named Bonaventure Salumu, from his village to his stay in Europe.
Source:
https://imanefares.com/en/artistes/georges-senga/
https://www.villamedici.it/en/residencies/georges-senga/
_________
IT
Fotografo e regista congolese (RDC).
A volte viene accreditato come
Georges SENGA ASSANI
Georges SENGA è un fotografo e regista.
È noto per il cortometraggio documentario KASONGO (IM)MATERIAL (2021, co-regista) diretto insieme a Noémie ARAZI.
Nato nel 1983 a Lubumbashi (Repubblica Democratica del Congo), Georges Senga è un fotografo.
Sviluppa il suo lavoro di fotografia intorno alla storia e alle storie che si rivelano nella « memoria, nell’identità e nella tradizione », facendo luce sul nostro agire e sul presente. Tre dei suoi progetti esplorano così la memoria, alla ricerca delle risonanze che gli uomini, i loro fatti e i loro oggetti lasciano dietro di sé, e la resilienza della memoria nel suo paese, il Congo. I lavori di Georges Senga sono stati presentati in mostre personali e collettive: Biennale di Lubumbashi nel 2008, 2010, 2013, 2015 e 2019, Asbl Dialogues nel 2013, Biennale di Bamako nel 2011, 2015 e 2017, Addis Fotofest nel 2014 e 2018, Biennale di Kampala nel 2014, Cap Town Art Fair nel 2018, Sesci_video Brazil nel 2019, Contour Biennale nel 2019, Kigali PhotoFest nel 2019, Fondation A nel 2019, Wiels centre d’art nel 2019, Galerie Imane Farès nel 2019, Cargo in Context nel 2019, FOMU nel 2019, Centro culturale Jean Cocteau nel 2020, Nazioni Unite, Stati Uniti nel 2020.
Da gennaio 2014 a febbraio 2020, Georges Senga ha svolto numerose residenze in Belgio, Germania e Paesi Bassi.
Ha ricevuto i Premi Thamie Mnyele (Paesi Bassi, 2019), DemoCrasee, Biennale di Bamako (Mali 2017), CAP PRIZE – Premio Internazionale di Fotografia Africana Contemporanea dall’IAF di Basilea (Svizzera, 2017), SADC Research Residency Prohelveltia (Sudafrica, 2017), Leon the African RAM, Biennale di Bamako (Mali, 2015), SADC Research Residency Prohelveltia (Sudafrica, 2014), menzione Speciale, PHOTOAFRICA (Spagna, 2009).
Il progetto di residenza a Villa Medici [2020-2021] si intitola Comment un petit chasseur noir Païen devient prêtre Catholique (Come un piccolo cacciatore Pagano nero diviene un prete Cattolico), un progetto nato dopo il suo incontro nel 2017 con la figlia di un prete cattolico che, in quanto tale, non avrebbe dovuto avere figli. Durante questo incontro, la figlia del sacerdote mostra una borsa contenente numerose diapositive non datate, appartenenti al padre deceduto nel 1989. Il progetto di Georges Senga ripercorre il viaggio di questo prete cattolico, Bonaventure Salumu, dal suo villaggio al suo soggiorno in Europa.
Fonte:
www.villamedici.it/residenze/georges-senga/
He is sometimes credited as
Georges SENGA ASSANI
Georges SENGA is a photographer and director.
He is known for the short documentary KASONGO (IM)MATERIAL (2021, co-director) directed alongside with Noémie ARAZI.
Born in 1983, in Lubumbashi (Democratic Republic of Congo / DR Congo).
Lives and works in Lubumbashi.
Georges Senga Assani is a photographer who was discovered during the first edition of the Picha Biennale de Lubumbashi in 2008, by Marie-Françoise Plissart and Sammy Baloji.
He joined the master class degree organized by the Goethe-Institut Johannesburg/South Africa, Lubumbashi (2012), and Lagos/Nigeria (2013).
The third and fourth series of photographs titled a life after death and Kadogos was presented in 2014 at the Kampala Art Biennale and 2013 at Rencontres Picha Biennale de Lubumbashi. Earlier, in 2009, his project impressed was presented at the second Lubumbashi Biennale with Simon Njami.
He received a research grant by PRO HELVELTIA in 2014 for his photo project TRANSIT. In 2015 he was a fellow at WIELS Contemporary art centre, Forest/Belgium, as well as part of the project African Odyssey at the arts center BRASS. That same year, he presented his work at the Bamako Biennale, where he graduated from the price Leo the African RAM.
He develops his photographic work around history and the stories revealed in « memory, identity and heritage », shedding light on our actions and the present. Three of his projects thus explore memory, in search of the resonances that men, their facts and objects leave behind, and the resilience of memory in his country, Congo. Georges Senga’s work has been presented in solo and group exhibitions : Lubumbashi Biennale in 2008, 2010, 2013, 2015 and 2019, Asbl Dialogues in 2013, Bamako Biennale in 2011, 2015 and 2017, Addis Fotofest in 2014 and 2018, Kampala Biennale in 2014, Cape Town Art Fair in 2018, Sesci_video Brazil in 2019, Contour Biennale in 2019, Kigali PhotoFest in 2019, Fondation A in 2019, Wiels art centre in 2019, Galerie Imane Farès in 2019, Cargo in Context in 2019, FOMU in 2019, Jean Cocteau cultural centre in 2020, United Nations, United States in 2020.
From January 2014 to February 2020, Georges Senga carried out numerous residencies in Belgium, Germany and the Netherlands.
He has won the Thamie Mnyele Award (Netherlands, 2019), DemoCrasee, Bamako Biennale (Mali 2017), CAP PRIZE – International Prize for Contemporary African Photography of the IAF Basel (Switzerland, 2017), SADC Research Residency Prohelveltia (South Africa, 2017), Leon the African RAM, Bamako Biennale (Mali, 2015), SADC Research Residency Prohelveltia (South Africa, 2014), Special mention, PHOTOAFRICA (Spain, 2009).
His project at Villa Medici [2020-2021] is entitled Comment un petit chasseur noir Païen devient prêtre Catholique (How a small Black pagan hunter becomes a Catholic priest), a project born after meeting in 2017 the daughter of a Catholic priest, who by his function, shouldn’t have had children. During this gathering, the priest’s daughter reveals a bag containing several undated slides, belonging to the father who died in 1989. Georges Senga’s project retraces the journey of this Catholic priest named Bonaventure Salumu, from his village to his stay in Europe.
Source:
https://imanefares.com/en/artistes/georges-senga/
https://www.villamedici.it/en/residencies/georges-senga/
_________
IT
Fotografo e regista congolese (RDC).
A volte viene accreditato come
Georges SENGA ASSANI
Georges SENGA è un fotografo e regista.
È noto per il cortometraggio documentario KASONGO (IM)MATERIAL (2021, co-regista) diretto insieme a Noémie ARAZI.
Nato nel 1983 a Lubumbashi (Repubblica Democratica del Congo), Georges Senga è un fotografo.
Sviluppa il suo lavoro di fotografia intorno alla storia e alle storie che si rivelano nella « memoria, nell’identità e nella tradizione », facendo luce sul nostro agire e sul presente. Tre dei suoi progetti esplorano così la memoria, alla ricerca delle risonanze che gli uomini, i loro fatti e i loro oggetti lasciano dietro di sé, e la resilienza della memoria nel suo paese, il Congo. I lavori di Georges Senga sono stati presentati in mostre personali e collettive: Biennale di Lubumbashi nel 2008, 2010, 2013, 2015 e 2019, Asbl Dialogues nel 2013, Biennale di Bamako nel 2011, 2015 e 2017, Addis Fotofest nel 2014 e 2018, Biennale di Kampala nel 2014, Cap Town Art Fair nel 2018, Sesci_video Brazil nel 2019, Contour Biennale nel 2019, Kigali PhotoFest nel 2019, Fondation A nel 2019, Wiels centre d’art nel 2019, Galerie Imane Farès nel 2019, Cargo in Context nel 2019, FOMU nel 2019, Centro culturale Jean Cocteau nel 2020, Nazioni Unite, Stati Uniti nel 2020.
Da gennaio 2014 a febbraio 2020, Georges Senga ha svolto numerose residenze in Belgio, Germania e Paesi Bassi.
Ha ricevuto i Premi Thamie Mnyele (Paesi Bassi, 2019), DemoCrasee, Biennale di Bamako (Mali 2017), CAP PRIZE – Premio Internazionale di Fotografia Africana Contemporanea dall’IAF di Basilea (Svizzera, 2017), SADC Research Residency Prohelveltia (Sudafrica, 2017), Leon the African RAM, Biennale di Bamako (Mali, 2015), SADC Research Residency Prohelveltia (Sudafrica, 2014), menzione Speciale, PHOTOAFRICA (Spagna, 2009).
Il progetto di residenza a Villa Medici [2020-2021] si intitola Comment un petit chasseur noir Païen devient prêtre Catholique (Come un piccolo cacciatore Pagano nero diviene un prete Cattolico), un progetto nato dopo il suo incontro nel 2017 con la figlia di un prete cattolico che, in quanto tale, non avrebbe dovuto avere figli. Durante questo incontro, la figlia del sacerdote mostra una borsa contenente numerose diapositive non datate, appartenenti al padre deceduto nel 1989. Il progetto di Georges Senga ripercorre il viaggio di questo prete cattolico, Bonaventure Salumu, dal suo villaggio al suo soggiorno in Europa.
Fonte:
www.villamedici.it/residenze/georges-senga/
Partager :