Critique littéraire et enseignante au département « Lettres » de l’Université des Comores, Fathate Karine Hassan a œuvré au sein du Muzdalifa House depuis son retour de la Réunion, où elle a présenté une thèse en doctorat sur les violences coloniales et le spectre de l’Histoire dans les littératures des Comores et de Madagascar en 2012 (1) . Co fondatrice du collectif Djando la Wandzishi, Fathate Karine Hassan a pris part aux travaux menés au Muzdalifa, notamment sur l’utopie du shungu. Elle s’est aussi occupée de gérer les ateliers dédiés à la lecture (Kilabu/ Les mots rivés au réel) et à l’écriture (Les Gens du Shantiye) développés auprès du public scolaire et étudiant.
Vous avez été co artisan de cette micro dynamique initiée depuis Moroni. Quel souvenir gardez-vous de ces années d’activisme culturel ?
En quelques mots, je dirais que l’expérience du Muzdalifa House a été une histoire de rencontres, d’échanges, de stimuli, de partage, mais aussi d’émulation intel...
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