El Gafla
En arabe « la caravane ». En musique, un esprit rock de la casbah. En concert une tornade qui vous marque longtemps.

Concert
Le 21 Janvier 2007
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
– , –
Agenda Culturel Maghreb et Orient du Mercredi 17 au Mardi 23 janvier 2007 de Paris et sa region du site www.telephonearabe.net
Français
En clair, un phénomène qui est passé rapidement de bars de quartier à un duo avec Manu Chao dans une furieuse adaptation de Clandestino emmené par Karim Chaya et sa « Radio Casbah ». En piste maintenant pour embarquer le grand public.
De l’Algérie à Paris, en passant par le Cameroun ou la Pologne, les sept membres d’El Gafla forment une sorte d’orchestre international de Ménilmontant, coin de Paris métissé et populaire, comme leur musique. De bars en squats et de salles en festivals, le bruit court et la caravane passe, suivie par un public large et fidèle, réunissant tous ceux qui apprécient l’énergie de Gnawa Diffusion, la douce mélancolie de Souad Massi ou le franc parler de Zebda.
A la croisée des musiques modernes et traditionnelles, les mélodies d’El Gafla rassemblent les rives de la méditerranée en mélangeant habilement châabi, jazz manouche et chanson française, avec un sens du groove à l’africaine et des sonorités plus orientales. Invitation au voyage et au partage, mais aussi appel à la lucidité et à l’action.
Du cri de révolte qu’est Chouf la misère, à A mon Général, dénonçant l’hypocrisie complice du pouvoir en Algérie, en passant par Merci, hommage à la résistance des femmes de ce pays, les textes de Karim savent réveiller nos consciences. Que ce soit en français, en arabe ou en Kabyle, il chante aussi bien la mélancolie (Le Marin, Ya Bouya) que la fête (Bledi, Ya Llahi) ou l’amour (Mille et un jours).
Après le maxi Ya Bouya écoulé à 5000 exemplaires en quelques mois, « pA/Ris-casbah » est un album aussi attendu que salutaire, qui s’apprête à boulverser notre météo musicale : « attention, cette année un vent chaud va souffler sur la France dès les mois d’hiver, et de brusques hausses de températures sont attendues sur les scènes des festivals l’été prochain ».
De l’Algérie à Paris, en passant par le Cameroun ou la Pologne, les sept membres d’El Gafla forment une sorte d’orchestre international de Ménilmontant, coin de Paris métissé et populaire, comme leur musique. De bars en squats et de salles en festivals, le bruit court et la caravane passe, suivie par un public large et fidèle, réunissant tous ceux qui apprécient l’énergie de Gnawa Diffusion, la douce mélancolie de Souad Massi ou le franc parler de Zebda.
A la croisée des musiques modernes et traditionnelles, les mélodies d’El Gafla rassemblent les rives de la méditerranée en mélangeant habilement châabi, jazz manouche et chanson française, avec un sens du groove à l’africaine et des sonorités plus orientales. Invitation au voyage et au partage, mais aussi appel à la lucidité et à l’action.
Du cri de révolte qu’est Chouf la misère, à A mon Général, dénonçant l’hypocrisie complice du pouvoir en Algérie, en passant par Merci, hommage à la résistance des femmes de ce pays, les textes de Karim savent réveiller nos consciences. Que ce soit en français, en arabe ou en Kabyle, il chante aussi bien la mélancolie (Le Marin, Ya Bouya) que la fête (Bledi, Ya Llahi) ou l’amour (Mille et un jours).
Après le maxi Ya Bouya écoulé à 5000 exemplaires en quelques mois, « pA/Ris-casbah » est un album aussi attendu que salutaire, qui s’apprête à boulverser notre météo musicale : « attention, cette année un vent chaud va souffler sur la France dès les mois d’hiver, et de brusques hausses de températures sont attendues sur les scènes des festivals l’été prochain ».
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