Festival international du Film de Femmes de Salé 2014
8ème édition. Cinéma Invité : « Le Liban »
Français
Jury
Présidente : Aicha Belarbi, sociologue, professeur universitaire expert auprès des nations unies, écrivain, activiste en matière de démocratie des droits humains et des droits de la femme, Maroc
Membres
– Saadia Baadi, actrice, Maroc
– Dina Iordanova, professeur de cinéma, spécialiste dans le domaine de cinéma et des festivals de cinéma, Bulgarie
– Penny Panayotopoulou, réalisatrice, productrice, scénariste, Grèce
– Karine Blanc, productrice, France
– Sara Bouyain, réalisatrice, productrice, Burkina Fasso
– Ghada Adel, actrice, Egypte
Hommages
Wafaa Amer, Actrice, Egypte
Naomie Kawase, scénariste, réalisatrice, Japon
Khadija Alami, Productrice, Maroc
Zahiya Ezzahiri (Zahia Zahiri), actrice amazigh, Maroc
Organisateur : Association Bouregreg (Salé)
Projections de films
Compétition officielle 12 longs-métrages
Film d’ouverture et compétition
« Les feuilles Mortes » de Younes Reggab, Maroc, 2014
Première vision Internationale
Zahra, jeune professeur de danse prépare le spectacle de fin d’année de son conservatoire. Cette jeune fille très appréciée et protégée par la directrice Madame Serfaty, juive marocaine et estimée de tous. Zahra à qui tout semble réussir cache un terrible secret. Son adolescence dramatique la pousse inconsciemment à commettre des gestes irréparables. Ghazi un borgne défiguré est obsédé par Zahra. Il la surveille, la guette et l’espionne nuit et jour.
« A GIRL AT MY DOOR » de July Jung, Corée du Sud, 2014
Un certain regard, Festival de Cannes 2014
Seuls les gens souffrant des préjugés sociaux savent le prix du soutien de leurs proches. Diplômée de l’école nationale de police, Young-nam accède à un poste de haut rang à la préfecture de police de Séoul. Suite à un incident concernant sa vie privée, elle est transférée dans un petit village côtier. Alors qu’elle prend ses fonctions de chef du commissariat local, elle croise Dohee, une adolescente étrange à l’apparence sinistre.
« 40 Days of Silence » de Saodat Ismailova, Ouzbekistan, 2014
Forum Berlin 2014
Bibicha est une jeune femme qui se mure soudainement dans le silence et se retranche dans la maison de Khanjarmono, sa grand-mère. Khanjarmono vit avec sa Sharifa, sa petite fille illégitime. Toutes deux soutiennent Bibicha qui fait voeu de 40 jours de silence dans l’espoir de revoir son amant, récemment disparu.
« Mateo » » de Maria Gamboa, Colombie, 2014
-Miami IFF 2014: Meilleur premier film et scénario
-Festival de Cartagena 2014 – Colombia – Prix special du jury
Mateo, 16, collecte de l’argent du trafic au nom de son oncle et l’utilise pour aider sa mère qui accepte à contrecoeur de cet argent mal acquis. Ils vivent dans un quartier pauvre où règne la violence aux côtés de la vallée de la rivière Magdalena en Colombie. Pour se valoriser auprès de son oncle, Mateo accepte d’infiltrer une troupe de théâtre local pour enquêter sur ses membres.
« Des étoiles » de Dyana Gaye, Sénégal, 2014
Festival Premiers Plans d’Angers 2013 :Grand Prix du jury, Prix du public
Entre New York, Dakar et Turin, les destins de Sophie, Abdoulaye et Thierno se croisent et s’entremêlent. Des premières désillusions aux rencontres décisives, leur voyage les mènera à faire le choix de la liberté.
« Qui vive » de Marianne Tardieu, France, 2014
Sélection de l’ACID, Festival de Cannes 2014
Retourné vivre chez ses parents, Chérif, la trentaine, peine à décrocher le concours d’infirmier. En attendant, il travaille comme vigile. Il réussit malgré tout les écrits de son concours et rencontre une fille qui lui plaît, Jenny… Mais au centre commercial où il travaille, il perd pied face à une bande d’adolescents désoeuvrés qui le harcèlent.
Panorama
« Refugiado » de Diego Lerman, Argentine, Pologne, 2014
Quinzaine des réalisateurs, Festival de Cannes 2014
Matias et Laura, sa mère, se voient obligés d’abandonner à la hâte la maison où ils vivent, fuyant une nouvelle réaction violente de Fabian. Matias a 8 ans et Laura est en début de grossesse. Ils commencent ainsi à déambuler à la recherche d’un endroit où ils pourraient se sentir protégés et en sécurité. S’engage alors un singulier road-movie du quotidien, un drame teinté d’une grande humanité.
« Macondo » de Sudabeh Mortezai, Autriche
Forum, Berlinale 2014
Candidat au LUX Prize 2014
A 11 ans, Ramasan est déjà un homme sous ses allures de petit garçon. Réfugié en Autriche avec sa mère et ses deux soeurs, il essaie de remplacer du mieux qu’il peut son père mort en Tchétchénie. L’arrivée d’Isan, un ancien ami de son père, va bousculer son quotidien.
« Le Challat de Tunis » de Kaouther Ben Hania, Tunisie, France, Canada, Émirats Arabes Unis, 2013
Sélection de l’ACID, Festival de Cannes 2014
En 2003, un homme sur une moto, une lame de rasoir à la main, balafre les plus belles paires de fesses des femmes qui arpentent les trottoirs de Tunis. On l’appelle le Challat, la lame. Après la révolution, une jeune réalisatrice obstinée mène l’enquête pour élucider ce mystère.
« LA HERIDA « La Blessure » » de Fernando Franco, Espagne, 2013
Festival de San Sebastian 2013 : Prix spécial du jury, Prix d’interprétation féminine
Ana est une jeune ambulancière de 28 ans épanouie dans sa profession. Cependant, dans sa vie privée, les choses ne sont pas aussi faciles. Ana est borderline, un trouble de la personnalité qui l’empêche de se sociabiliser correctement. En dehors de son travail, sa relation à l’autre devient difficile et Ana se montre maladroite voire agressive, spécialement avec ses proches.
« Factory Girl « فتاة المصنع » » de Mohamed Khan, Egypte, 2013
Dubaï International Film Festival 2013 : Prix d’interprétation féminine, Prix de la critique internationale
Hiyam, un jeune ouvrière dans une usine de textile, vit avec ses collègues dans un quartier populaire. Elle tombe sous le charme de Salah, le nouveau directeur de l’usine, qui a exprimé son admiration pour elle. Hiyam croit que l’amour peut transcender les différences entre les classes de la société. Cependant, quand ses amis à l’usine et les membres de sa famille découvrent sa grossesse, ils l’ont immédiatement accusé d’avoir péché. Hiyam décide de ne pas se défendre et accepte de payer un prix énorme à une société qui ne parvient pas à accepter les femmes indépendantes.
« I am yours, « Jeg er din » » de Iram Haq, Norvège, 2013
Festival de Toronto 2013
Festivals de cinéma européen des Arcs
Candidat de la Norvège pour les Oscars 2014
La vie de Mina, une jeune mère-fille vivant à Oslo avec son fils de 6 ans, Felix. Elle est Norvégienne et Pakistanaise et n’a pas de bonnes relations avec sa famille. Mina est à la recherche de l’amour et malgré de nombreuses relations, aucune n’a vraiment abouti à quelque chose de sérieux. C’est alors qu’elle rencontre Jesper, un réalisateur suédois. Ils tombent amoureux mais Jesper n’est pas prêt pour la vie de famille…
Panorama Marocain
Fenêtre sur le long métrage marocain 2013-2014
Atteindre un plus large public est un de nos soucis. Arriver à tous est un à tous est un de nos rêves. Sortir quelques films récents c’est permettre des interactions d’un autre genre, s’ouvrir sur des film en Amazigh et en Hassani, voilà ce que nous nous proposons dans ce volet-portes-ouvertes du Festival sur les habitants de Salé et régions avoisinantes.
« Derrière les portes fermées » de Mohamed Ahed Bensouda
Samira est une femme belle et élégante. Elle vit en parfaite harmonie avec son mari banquier, leur vie va être bouleversée par l’arrivée d’un nouveau directeur qui commence à la harceler. Elle tente de l’en dissuader en attirant son attention sur le fait qu’elle est mariée mais il insiste pour obtenir d’elle ce qu’il veut quel qu’en soit le prix.
« Graines de grenades » de Abdellah Toukouna
CHIRINE une jeune prostituée, d’une Trentaine d’année, tombe amoureuse d’un jeune artiste peintre de bonne famille. Après avoir essayé de quitter le monde nocturne dans lequel elle vit, pour mener une vie normale comme toutes les autres filles de son âge. L’injustice, la dureté et les préjudices durs, de la société dans laquelle elle évolue vont l’empêcher de quitter et d’oublier définitivement son passé noir.
« Tawnza » de Malika El Anoug (parlant Amazigh)
Une liaison amoureuse sur le net culbute youssef et Zaina dans un passé douloureux dont les racines ont pris naissance dans un village de Sous…
Dans ce petit village où les traditions veulent que les filles portent le voile, les fils de la toile s’entrelacent et se croisent pour tisser l’histoire du mariage de deux amis Brahim de retour dans son village et Houssaine agriculteur … Epousant chaqu’un la soeur de l’autre..
« Ymma » de Rachid Elouali
Abbes, un ex-taulard, adopte illégalement une petite fille de neuf ans et l’élève comme sa propre fille. Depuis sa tendre enfance, il la forme également à l’art de l’arnaque. Le jour où ils tombent sur Sanae, une riche et jolie femme d’affaires, ils ne peuvent s’empêcher de tirer profit de son bel appartement et de son portefeuille garni. Mais ils vont rapidement s’attacher les uns aux autres…
« Aria delma » d’Ahmed Baidou, (parlant Hassani)
Ali, un jeune marocain du Sahara, décide avec un groupe de jeunes de défier les vagues de l’Océan pour rejoindre l’Espagne à bord d’un petit bateau, mais ce voyage s’achève au milieu de la mer après que le bateau s’est renversé. Seul Ali, a réussi à survivre, et commence ainsi un autre long voyage d’une nouvelle vie pour s’auto-construire dans son pays…
Fenêtre sur le court métrage réalisé par des réalisatrices marocaines, 2013-2014
Cette rubrique constitue en fait une fenêtre ouverte sur les courts, conçus, écrits, réalisés ou produit par des femmes ou tout simplement qui traitent d’elles et de leurs univers mais où la sensibilité féminine prédomine.
« Mémoires anachroniques » d’Asmae El Moudir
En 1999, entre le passé, le présent et le futur. Asmae une petite fille de 10 ans se souvient des frayements de sa vie. De la vie de son oncle Merzouk et de la mémoire anachronique de son pays le Maroc.
« Le cri de coquelicot » de Janane Fatine Mohammadi
C’est l’histoire de Azar, un jeune homme qui vivait dans la servitude d’un oncle qui lui a donné un abri après la mort de ses parents.
« La bergère » de Fatima Aglaz
Une bergère qui fabrique des poupées et qui est préoccupée par quelque chose.
« Carte postale » de Mahacine Hachadi,
Amina une jeune fille de 12 ans, vit dans un petit village du Haut-Atlas marocain. Ici, il est de tradition de marier les jeunes filles dès leurs premières règles en organisant un mariage collectif pour toutes les gamines à peine pubères.
« Fabulari » de Dalal El Araqui
C’est l’histoire d’un cordonnier affabulateur, Il s’imagine une histoire pour chaque catégorie de chaussures tout en s’apitoyant sur la sienne.
Projections spéciales
Cette rubrique est consacrée à la projection de films en étroite relation avec le thème du festival et non retenue pour la compétition officielle en raison de l’importance de la réalisatrice, de la longueur du film.
« TEN YEAS OF MY LIFE » de Khalid Alzharo, Irak, 2013
Sept femmes irakiennes de différentes ethnies et d’âges ont assisté à la chute du régime de Saddam Hussein en 2003. Elles parlent de changements dans leur vie après avoir subi des violences, la déportation, et d’enlèvement.
« Casablanca calling » de Rosa Rogers, Grande Bretagne, 2013
Au Maroc, une nouvelle génération de guides spirituels a vu le jour, les Morchidates. Elles sont plus de 300 « femmes imams » à arpenter les écoles, les mosquées et les campagnes afin de fournir une assistance spirituelle et sociale basée sur les préceptes de l’Islam.
« Void » (wainon en arabe) de Christelle Ighniades, Liban
Six femmes libanaises représentant trois générations, chacune vit en attente de l’homme de sa vie qui a été enlevé au cours de la guerre civile au Liban. Les vieilles blessures émotionnelles sont ouvertes le jour précédant une manifestation à Beyrouth pour garder leur cause vivante.
« Leila » de Yossera Bouchtia
En situation clandestine et coincée dans un mariage polygame, Laila, une immigrée marocaine, se bat pour élever son fils aux États-Unis. Son courage et son désir d’autonomie vont la pousser à demander de l’aide.
Projections films hommagées
Le choix des films de cette rubrique se fera on accord avec les hommagées elles-mêmes.
Cinéma Invité : « Le Liban »
Le cinéma invité de cette année c’est le cinéma libanais, où un hommage sera rendu à 5 femmes qui ont choisi le cinéma pour dire le pays, les joies et les souffrances de toujours.
« Le Cerf-volant » de Randa Chahal Sabbag, 2003 (LM/Fiction)
Lamia, seize ans, vit dans un village au sud du Liban, frontalier avec Israël. Des barbelés séparent la bourgade en deux, cet espace est devenu le terrain de jeux des enfants. C’est là que l’adolescente fait voler son cerf-volant tout en observant la partie du village où il lui est interdit d’aller.
« Chaque jour est une fête » de Dima El Hor, 2010 (LM/Fiction)
C’est le jour de la fête de l’indépendance du Liban : 3 femmes qui ne se connaissent pas prennent un même bus qui va les emmener à la prison située dans l’arrière-pays. Au milieu de cette terre aride, parsemée de mines et de rêves décapités, le voyage devient la quête de leur propre indépendance.
« Shehrazad’s tales » « Journal de Shéhérazade » de Zeina Daccache, 2013, (LM/Doc)
Des femmes emprisonnées, femmes et mères, sont mises au coeur du documentaire ‘Le journal de Shéhérazade’, filmé au cours d’un projet théâtral/thérapie par la scène, organisé par Zeina Daccache au Liban en 2012 dans la prison de Baabda. Les prisonnières s’extraient des profondeurs de leur expérience personnelle et se confrontent au patriarcat en préparant et présentant la première pièce de théâtre jouée dans une prison pour femmes arabe.
« Sleepless Night » « Layali bala noum » de Eliane Raheb, 2013 (LM/Doc)
Deux personnes irrémédiablement marquées par la guerre du Liban vont se rencontrer : l’ancien responsable des services secrets de la milice Chrétienne des « Forces Libanaises », Assaad Shaftari, en quête de rédemption, et Maryam Saiidi, qui recherche désespérément son fils communiste Maher, disparu il y a 30 ans au cours d’une opération militaire planifiée par le parti de Assaad. Leur rencontre pourrait-elle apporter de l’espoir et fermer les plaies d’une guerre civile vieille de 38 ans ?
« E-muet » de Corine Chawi, 2013 (LM/Doc)
La première vraie histoire d’amour de Nanou vient de s’achever brusquement. Après maintes relations frivoles, Rajwa s’achemine vers une vie de couple rangée. J’observe en silence mes deux amies, explore leur beauté intrigante, me nourris de leur passion, de leurs doutes et de leurs expériences. Au fil des années, elles deviennent des mondes que je parcours à la recherche de ma propre voie.
1er Forum
Thème : « L’image de la femme dans le cinéma de femme: de la condamnation émotionnelle à l’instauration de la parité »
Qu’entend-on par le cinéma de femme et pourquoi ce cinéma?
Modérateur : Driss EL KORRI (Maroc): Ecrivain et critique de cinéma. Modérateur du colloque.
2ème Forum
Thème : « Le film documentaire, un regard féminin »
Il est important d’ouvrir le débat sur ce phénomène qui ne laisse personne indifférent, en présence de réalisatrices arabes, de critiques, de journalistes du Maroc et du monde arabe, à travers un espace de rencontre d’échange et de dialogue qui se poursuivra après le festival qui aura la mission de coordonner entre ses différents composants.
Forum préparé par le Professeur Ahmed Akhchichine
Dialogue de cinéastes
Animus & anima
Regard croisé d’un homme et d’une femme sur la question du genre au cinéma
Cette année, le Dialogue croisé sera entre le réalisateur marocain Saad Chraibi et deux réalisatrices françaises, Simone Bitton et Catherine Pointevin qui a été Chef monteur sur deux longs métrages de Saad Charibi.
La rencontre sera suivie par la projection d’extraits de leurs films respectifs.
Présentation d’ouvrage
Le choix d’ouvrage de cette édition est « Parlez-moi d’amour » de Bahae Trabelsi, écrivain, la première à avoir offert à la littérature contemporaine un regard neuf sur la société.
Ateliers d’écriture de scénario
Les bénéficiaires de cette formation sont censés déposer leurs produits finaux avant la tenue de la 8ème édition. Un jury sera formé à l’occasion et choisira le meilleur scénario.
Les encadreurs des ateliers
– Laetitia Kügler, scénariste, France
– Reza Serkanian, scénariste, réalisateur, Iran
– Danielle Suissa, productrice, réalisatrice et metteur en scène marocaine, Maroc
– Mohamed Arious, scénariste, écrivain, Maroc
– Mohamed Belfequih, enseignant, Maroc
– Youssef ait Hammou, enseignant, Maroc
Activités Parallèles
– Débats avec les réalisateurs des films en compétition officielle
– Conférence de presse avec les hommagées
– Rencontre avec les réalisateurs des films en projection spéciale
– Exposition de peintre sur les portraits femmes
– Visite de Rabat – Salé
– Inauguration de la salle de cinéma « Malaki » sis à la Médina (par la Commune Urbaine), avec la projection du documentaire « Casablanca calling » de Rasa Ragers (UK).
Les espaces du festival
1- Espace « Hollywood » (900 places).
* Cérémonie d’ouverture ;
* Projection du film d’ouverture ;
* Projection des films en compétition officielle ;
* Projections spéciales des films ;
* Projection des films des hommagées ;
* Cérémonie de clôture ;
* Projection du film de clôture.
2- Complexe « Said Hajji » à Sala Al Jadida (350 places).
*Projection des films « Cinéma invité » ;
* Projection des courts métrages marocains
* Projection des longs métrages marocains
3- Complexe « Menzah » à Ouad Eddahab (450 places).
* Projection des courts métrages marocains
* Projection des longs métrages marocains
4- Salle de projection du Complexe « Dawliz » (300 places).
* Projection des films des hommagées ;
* Projection des films libanais
5- Salle de conférence du Complexe « Dawliz » (300 places).
* Débats des films en compétition officielle ;
* Forums ;
*Dialogue de cinéastes
6- Club scientifique de l’Association Bouregreg
* Ateliers de cinéma
7- Hôtel « Dawliz » et siège de l’Association Bouregreg
* Administration du Festival.
Présidente : Aicha Belarbi, sociologue, professeur universitaire expert auprès des nations unies, écrivain, activiste en matière de démocratie des droits humains et des droits de la femme, Maroc
Membres
– Saadia Baadi, actrice, Maroc
– Dina Iordanova, professeur de cinéma, spécialiste dans le domaine de cinéma et des festivals de cinéma, Bulgarie
– Penny Panayotopoulou, réalisatrice, productrice, scénariste, Grèce
– Karine Blanc, productrice, France
– Sara Bouyain, réalisatrice, productrice, Burkina Fasso
– Ghada Adel, actrice, Egypte
Hommages
Wafaa Amer, Actrice, Egypte
Naomie Kawase, scénariste, réalisatrice, Japon
Khadija Alami, Productrice, Maroc
Zahiya Ezzahiri (Zahia Zahiri), actrice amazigh, Maroc
Organisateur : Association Bouregreg (Salé)
Projections de films
Compétition officielle 12 longs-métrages
Film d’ouverture et compétition
« Les feuilles Mortes » de Younes Reggab, Maroc, 2014
Première vision Internationale
Zahra, jeune professeur de danse prépare le spectacle de fin d’année de son conservatoire. Cette jeune fille très appréciée et protégée par la directrice Madame Serfaty, juive marocaine et estimée de tous. Zahra à qui tout semble réussir cache un terrible secret. Son adolescence dramatique la pousse inconsciemment à commettre des gestes irréparables. Ghazi un borgne défiguré est obsédé par Zahra. Il la surveille, la guette et l’espionne nuit et jour.
« A GIRL AT MY DOOR » de July Jung, Corée du Sud, 2014
Un certain regard, Festival de Cannes 2014
Seuls les gens souffrant des préjugés sociaux savent le prix du soutien de leurs proches. Diplômée de l’école nationale de police, Young-nam accède à un poste de haut rang à la préfecture de police de Séoul. Suite à un incident concernant sa vie privée, elle est transférée dans un petit village côtier. Alors qu’elle prend ses fonctions de chef du commissariat local, elle croise Dohee, une adolescente étrange à l’apparence sinistre.
« 40 Days of Silence » de Saodat Ismailova, Ouzbekistan, 2014
Forum Berlin 2014
Bibicha est une jeune femme qui se mure soudainement dans le silence et se retranche dans la maison de Khanjarmono, sa grand-mère. Khanjarmono vit avec sa Sharifa, sa petite fille illégitime. Toutes deux soutiennent Bibicha qui fait voeu de 40 jours de silence dans l’espoir de revoir son amant, récemment disparu.
« Mateo » » de Maria Gamboa, Colombie, 2014
-Miami IFF 2014: Meilleur premier film et scénario
-Festival de Cartagena 2014 – Colombia – Prix special du jury
Mateo, 16, collecte de l’argent du trafic au nom de son oncle et l’utilise pour aider sa mère qui accepte à contrecoeur de cet argent mal acquis. Ils vivent dans un quartier pauvre où règne la violence aux côtés de la vallée de la rivière Magdalena en Colombie. Pour se valoriser auprès de son oncle, Mateo accepte d’infiltrer une troupe de théâtre local pour enquêter sur ses membres.
« Des étoiles » de Dyana Gaye, Sénégal, 2014
Festival Premiers Plans d’Angers 2013 :Grand Prix du jury, Prix du public
Entre New York, Dakar et Turin, les destins de Sophie, Abdoulaye et Thierno se croisent et s’entremêlent. Des premières désillusions aux rencontres décisives, leur voyage les mènera à faire le choix de la liberté.
« Qui vive » de Marianne Tardieu, France, 2014
Sélection de l’ACID, Festival de Cannes 2014
Retourné vivre chez ses parents, Chérif, la trentaine, peine à décrocher le concours d’infirmier. En attendant, il travaille comme vigile. Il réussit malgré tout les écrits de son concours et rencontre une fille qui lui plaît, Jenny… Mais au centre commercial où il travaille, il perd pied face à une bande d’adolescents désoeuvrés qui le harcèlent.
Panorama
« Refugiado » de Diego Lerman, Argentine, Pologne, 2014
Quinzaine des réalisateurs, Festival de Cannes 2014
Matias et Laura, sa mère, se voient obligés d’abandonner à la hâte la maison où ils vivent, fuyant une nouvelle réaction violente de Fabian. Matias a 8 ans et Laura est en début de grossesse. Ils commencent ainsi à déambuler à la recherche d’un endroit où ils pourraient se sentir protégés et en sécurité. S’engage alors un singulier road-movie du quotidien, un drame teinté d’une grande humanité.
« Macondo » de Sudabeh Mortezai, Autriche
Forum, Berlinale 2014
Candidat au LUX Prize 2014
A 11 ans, Ramasan est déjà un homme sous ses allures de petit garçon. Réfugié en Autriche avec sa mère et ses deux soeurs, il essaie de remplacer du mieux qu’il peut son père mort en Tchétchénie. L’arrivée d’Isan, un ancien ami de son père, va bousculer son quotidien.
« Le Challat de Tunis » de Kaouther Ben Hania, Tunisie, France, Canada, Émirats Arabes Unis, 2013
Sélection de l’ACID, Festival de Cannes 2014
En 2003, un homme sur une moto, une lame de rasoir à la main, balafre les plus belles paires de fesses des femmes qui arpentent les trottoirs de Tunis. On l’appelle le Challat, la lame. Après la révolution, une jeune réalisatrice obstinée mène l’enquête pour élucider ce mystère.
« LA HERIDA « La Blessure » » de Fernando Franco, Espagne, 2013
Festival de San Sebastian 2013 : Prix spécial du jury, Prix d’interprétation féminine
Ana est une jeune ambulancière de 28 ans épanouie dans sa profession. Cependant, dans sa vie privée, les choses ne sont pas aussi faciles. Ana est borderline, un trouble de la personnalité qui l’empêche de se sociabiliser correctement. En dehors de son travail, sa relation à l’autre devient difficile et Ana se montre maladroite voire agressive, spécialement avec ses proches.
« Factory Girl « فتاة المصنع » » de Mohamed Khan, Egypte, 2013
Dubaï International Film Festival 2013 : Prix d’interprétation féminine, Prix de la critique internationale
Hiyam, un jeune ouvrière dans une usine de textile, vit avec ses collègues dans un quartier populaire. Elle tombe sous le charme de Salah, le nouveau directeur de l’usine, qui a exprimé son admiration pour elle. Hiyam croit que l’amour peut transcender les différences entre les classes de la société. Cependant, quand ses amis à l’usine et les membres de sa famille découvrent sa grossesse, ils l’ont immédiatement accusé d’avoir péché. Hiyam décide de ne pas se défendre et accepte de payer un prix énorme à une société qui ne parvient pas à accepter les femmes indépendantes.
« I am yours, « Jeg er din » » de Iram Haq, Norvège, 2013
Festival de Toronto 2013
Festivals de cinéma européen des Arcs
Candidat de la Norvège pour les Oscars 2014
La vie de Mina, une jeune mère-fille vivant à Oslo avec son fils de 6 ans, Felix. Elle est Norvégienne et Pakistanaise et n’a pas de bonnes relations avec sa famille. Mina est à la recherche de l’amour et malgré de nombreuses relations, aucune n’a vraiment abouti à quelque chose de sérieux. C’est alors qu’elle rencontre Jesper, un réalisateur suédois. Ils tombent amoureux mais Jesper n’est pas prêt pour la vie de famille…
Panorama Marocain
Fenêtre sur le long métrage marocain 2013-2014
Atteindre un plus large public est un de nos soucis. Arriver à tous est un à tous est un de nos rêves. Sortir quelques films récents c’est permettre des interactions d’un autre genre, s’ouvrir sur des film en Amazigh et en Hassani, voilà ce que nous nous proposons dans ce volet-portes-ouvertes du Festival sur les habitants de Salé et régions avoisinantes.
« Derrière les portes fermées » de Mohamed Ahed Bensouda
Samira est une femme belle et élégante. Elle vit en parfaite harmonie avec son mari banquier, leur vie va être bouleversée par l’arrivée d’un nouveau directeur qui commence à la harceler. Elle tente de l’en dissuader en attirant son attention sur le fait qu’elle est mariée mais il insiste pour obtenir d’elle ce qu’il veut quel qu’en soit le prix.
« Graines de grenades » de Abdellah Toukouna
CHIRINE une jeune prostituée, d’une Trentaine d’année, tombe amoureuse d’un jeune artiste peintre de bonne famille. Après avoir essayé de quitter le monde nocturne dans lequel elle vit, pour mener une vie normale comme toutes les autres filles de son âge. L’injustice, la dureté et les préjudices durs, de la société dans laquelle elle évolue vont l’empêcher de quitter et d’oublier définitivement son passé noir.
« Tawnza » de Malika El Anoug (parlant Amazigh)
Une liaison amoureuse sur le net culbute youssef et Zaina dans un passé douloureux dont les racines ont pris naissance dans un village de Sous…
Dans ce petit village où les traditions veulent que les filles portent le voile, les fils de la toile s’entrelacent et se croisent pour tisser l’histoire du mariage de deux amis Brahim de retour dans son village et Houssaine agriculteur … Epousant chaqu’un la soeur de l’autre..
« Ymma » de Rachid Elouali
Abbes, un ex-taulard, adopte illégalement une petite fille de neuf ans et l’élève comme sa propre fille. Depuis sa tendre enfance, il la forme également à l’art de l’arnaque. Le jour où ils tombent sur Sanae, une riche et jolie femme d’affaires, ils ne peuvent s’empêcher de tirer profit de son bel appartement et de son portefeuille garni. Mais ils vont rapidement s’attacher les uns aux autres…
« Aria delma » d’Ahmed Baidou, (parlant Hassani)
Ali, un jeune marocain du Sahara, décide avec un groupe de jeunes de défier les vagues de l’Océan pour rejoindre l’Espagne à bord d’un petit bateau, mais ce voyage s’achève au milieu de la mer après que le bateau s’est renversé. Seul Ali, a réussi à survivre, et commence ainsi un autre long voyage d’une nouvelle vie pour s’auto-construire dans son pays…
Fenêtre sur le court métrage réalisé par des réalisatrices marocaines, 2013-2014
Cette rubrique constitue en fait une fenêtre ouverte sur les courts, conçus, écrits, réalisés ou produit par des femmes ou tout simplement qui traitent d’elles et de leurs univers mais où la sensibilité féminine prédomine.
« Mémoires anachroniques » d’Asmae El Moudir
En 1999, entre le passé, le présent et le futur. Asmae une petite fille de 10 ans se souvient des frayements de sa vie. De la vie de son oncle Merzouk et de la mémoire anachronique de son pays le Maroc.
« Le cri de coquelicot » de Janane Fatine Mohammadi
C’est l’histoire de Azar, un jeune homme qui vivait dans la servitude d’un oncle qui lui a donné un abri après la mort de ses parents.
« La bergère » de Fatima Aglaz
Une bergère qui fabrique des poupées et qui est préoccupée par quelque chose.
« Carte postale » de Mahacine Hachadi,
Amina une jeune fille de 12 ans, vit dans un petit village du Haut-Atlas marocain. Ici, il est de tradition de marier les jeunes filles dès leurs premières règles en organisant un mariage collectif pour toutes les gamines à peine pubères.
« Fabulari » de Dalal El Araqui
C’est l’histoire d’un cordonnier affabulateur, Il s’imagine une histoire pour chaque catégorie de chaussures tout en s’apitoyant sur la sienne.
Projections spéciales
Cette rubrique est consacrée à la projection de films en étroite relation avec le thème du festival et non retenue pour la compétition officielle en raison de l’importance de la réalisatrice, de la longueur du film.
« TEN YEAS OF MY LIFE » de Khalid Alzharo, Irak, 2013
Sept femmes irakiennes de différentes ethnies et d’âges ont assisté à la chute du régime de Saddam Hussein en 2003. Elles parlent de changements dans leur vie après avoir subi des violences, la déportation, et d’enlèvement.
« Casablanca calling » de Rosa Rogers, Grande Bretagne, 2013
Au Maroc, une nouvelle génération de guides spirituels a vu le jour, les Morchidates. Elles sont plus de 300 « femmes imams » à arpenter les écoles, les mosquées et les campagnes afin de fournir une assistance spirituelle et sociale basée sur les préceptes de l’Islam.
« Void » (wainon en arabe) de Christelle Ighniades, Liban
Six femmes libanaises représentant trois générations, chacune vit en attente de l’homme de sa vie qui a été enlevé au cours de la guerre civile au Liban. Les vieilles blessures émotionnelles sont ouvertes le jour précédant une manifestation à Beyrouth pour garder leur cause vivante.
« Leila » de Yossera Bouchtia
En situation clandestine et coincée dans un mariage polygame, Laila, une immigrée marocaine, se bat pour élever son fils aux États-Unis. Son courage et son désir d’autonomie vont la pousser à demander de l’aide.
Projections films hommagées
Le choix des films de cette rubrique se fera on accord avec les hommagées elles-mêmes.
Cinéma Invité : « Le Liban »
Le cinéma invité de cette année c’est le cinéma libanais, où un hommage sera rendu à 5 femmes qui ont choisi le cinéma pour dire le pays, les joies et les souffrances de toujours.
« Le Cerf-volant » de Randa Chahal Sabbag, 2003 (LM/Fiction)
Lamia, seize ans, vit dans un village au sud du Liban, frontalier avec Israël. Des barbelés séparent la bourgade en deux, cet espace est devenu le terrain de jeux des enfants. C’est là que l’adolescente fait voler son cerf-volant tout en observant la partie du village où il lui est interdit d’aller.
« Chaque jour est une fête » de Dima El Hor, 2010 (LM/Fiction)
C’est le jour de la fête de l’indépendance du Liban : 3 femmes qui ne se connaissent pas prennent un même bus qui va les emmener à la prison située dans l’arrière-pays. Au milieu de cette terre aride, parsemée de mines et de rêves décapités, le voyage devient la quête de leur propre indépendance.
« Shehrazad’s tales » « Journal de Shéhérazade » de Zeina Daccache, 2013, (LM/Doc)
Des femmes emprisonnées, femmes et mères, sont mises au coeur du documentaire ‘Le journal de Shéhérazade’, filmé au cours d’un projet théâtral/thérapie par la scène, organisé par Zeina Daccache au Liban en 2012 dans la prison de Baabda. Les prisonnières s’extraient des profondeurs de leur expérience personnelle et se confrontent au patriarcat en préparant et présentant la première pièce de théâtre jouée dans une prison pour femmes arabe.
« Sleepless Night » « Layali bala noum » de Eliane Raheb, 2013 (LM/Doc)
Deux personnes irrémédiablement marquées par la guerre du Liban vont se rencontrer : l’ancien responsable des services secrets de la milice Chrétienne des « Forces Libanaises », Assaad Shaftari, en quête de rédemption, et Maryam Saiidi, qui recherche désespérément son fils communiste Maher, disparu il y a 30 ans au cours d’une opération militaire planifiée par le parti de Assaad. Leur rencontre pourrait-elle apporter de l’espoir et fermer les plaies d’une guerre civile vieille de 38 ans ?
« E-muet » de Corine Chawi, 2013 (LM/Doc)
La première vraie histoire d’amour de Nanou vient de s’achever brusquement. Après maintes relations frivoles, Rajwa s’achemine vers une vie de couple rangée. J’observe en silence mes deux amies, explore leur beauté intrigante, me nourris de leur passion, de leurs doutes et de leurs expériences. Au fil des années, elles deviennent des mondes que je parcours à la recherche de ma propre voie.
1er Forum
Thème : « L’image de la femme dans le cinéma de femme: de la condamnation émotionnelle à l’instauration de la parité »
Qu’entend-on par le cinéma de femme et pourquoi ce cinéma?
Modérateur : Driss EL KORRI (Maroc): Ecrivain et critique de cinéma. Modérateur du colloque.
2ème Forum
Thème : « Le film documentaire, un regard féminin »
Il est important d’ouvrir le débat sur ce phénomène qui ne laisse personne indifférent, en présence de réalisatrices arabes, de critiques, de journalistes du Maroc et du monde arabe, à travers un espace de rencontre d’échange et de dialogue qui se poursuivra après le festival qui aura la mission de coordonner entre ses différents composants.
Forum préparé par le Professeur Ahmed Akhchichine
Dialogue de cinéastes
Animus & anima
Regard croisé d’un homme et d’une femme sur la question du genre au cinéma
Cette année, le Dialogue croisé sera entre le réalisateur marocain Saad Chraibi et deux réalisatrices françaises, Simone Bitton et Catherine Pointevin qui a été Chef monteur sur deux longs métrages de Saad Charibi.
La rencontre sera suivie par la projection d’extraits de leurs films respectifs.
Présentation d’ouvrage
Le choix d’ouvrage de cette édition est « Parlez-moi d’amour » de Bahae Trabelsi, écrivain, la première à avoir offert à la littérature contemporaine un regard neuf sur la société.
Ateliers d’écriture de scénario
Les bénéficiaires de cette formation sont censés déposer leurs produits finaux avant la tenue de la 8ème édition. Un jury sera formé à l’occasion et choisira le meilleur scénario.
Les encadreurs des ateliers
– Laetitia Kügler, scénariste, France
– Reza Serkanian, scénariste, réalisateur, Iran
– Danielle Suissa, productrice, réalisatrice et metteur en scène marocaine, Maroc
– Mohamed Arious, scénariste, écrivain, Maroc
– Mohamed Belfequih, enseignant, Maroc
– Youssef ait Hammou, enseignant, Maroc
Activités Parallèles
– Débats avec les réalisateurs des films en compétition officielle
– Conférence de presse avec les hommagées
– Rencontre avec les réalisateurs des films en projection spéciale
– Exposition de peintre sur les portraits femmes
– Visite de Rabat – Salé
– Inauguration de la salle de cinéma « Malaki » sis à la Médina (par la Commune Urbaine), avec la projection du documentaire « Casablanca calling » de Rasa Ragers (UK).
Les espaces du festival
1- Espace « Hollywood » (900 places).
* Cérémonie d’ouverture ;
* Projection du film d’ouverture ;
* Projection des films en compétition officielle ;
* Projections spéciales des films ;
* Projection des films des hommagées ;
* Cérémonie de clôture ;
* Projection du film de clôture.
2- Complexe « Said Hajji » à Sala Al Jadida (350 places).
*Projection des films « Cinéma invité » ;
* Projection des courts métrages marocains
* Projection des longs métrages marocains
3- Complexe « Menzah » à Ouad Eddahab (450 places).
* Projection des courts métrages marocains
* Projection des longs métrages marocains
4- Salle de projection du Complexe « Dawliz » (300 places).
* Projection des films des hommagées ;
* Projection des films libanais
5- Salle de conférence du Complexe « Dawliz » (300 places).
* Débats des films en compétition officielle ;
* Forums ;
*Dialogue de cinéastes
6- Club scientifique de l’Association Bouregreg
* Ateliers de cinéma
7- Hôtel « Dawliz » et siège de l’Association Bouregreg
* Administration du Festival.
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