« Io » de Kossi Efoui (tragédie)
mis en scène par Françoise Lepoix. > gagnez des places pour ce spectacle sur nos pages concours ! Ou profitez d’un tarif préférentiel de 10 euros au lieu de 21 en présentant cette page imprimée.
Représentation
du 06 Mars au 01 Avril 2006
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Théâtre
Théâtre Paris-Villette – 211, avenue Jean Jaurès, 75019 Paris –
Attention pour profiter du tarif préférentiel, il faut présenter cette page imprimée mais aussi réserver (au 01 42 02 02 68), car le nombre de places est limité.
Français
lundi, mardi, jeudi, vendredi 21h
mercredi, samedi 19h30
relâche dimanche et mardi 21 mars
Io, figure centrale de la pièce, personnage mineur du Prométhée enchaîné d’Eschyle, est une jeune fille violée par Zeus. Elle fut condamnée par celui-ci à errer sur la face de la terre jusqu’aux confins du monde. Sa rencontre avec Prométhée, supplicié lui aussi sur ordre de Zeus, la sortira de sa solitude errante puisque celui-ci lui indiquera un chemin de salut et de consolation qui la conduira jusqu’en Afrique, lointain pays d’un peuple noir établi près des eaux du soleil, au bord du fleuve éthiopien, où elle accouchera de l’enfant issu du viol.
En Afrique, aujourd’hui, à la lisière d’un marché aux fétiches. Le spectre d’Io revient sous la forme d’une marionnette. De ce lieu où l’on vient montrer qu’on n’est pas fracassé par la situation fracassée, les personnages nous diront comment, d’années de guerre en années débrouilles, il y avait là un théâtre, puis un centre d’accueil où, de jeunes filles violées – déclinaisons contemporaines d’Io – ont pu trouver un abri pour accoucher. Là est né Le fils de la Mère. C’est par sa voix que nous revient le cri antique : sur les traces de l’outrage peut avoir lieu une autre histoire…
mercredi, samedi 19h30
relâche dimanche et mardi 21 mars
Io, figure centrale de la pièce, personnage mineur du Prométhée enchaîné d’Eschyle, est une jeune fille violée par Zeus. Elle fut condamnée par celui-ci à errer sur la face de la terre jusqu’aux confins du monde. Sa rencontre avec Prométhée, supplicié lui aussi sur ordre de Zeus, la sortira de sa solitude errante puisque celui-ci lui indiquera un chemin de salut et de consolation qui la conduira jusqu’en Afrique, lointain pays d’un peuple noir établi près des eaux du soleil, au bord du fleuve éthiopien, où elle accouchera de l’enfant issu du viol.
En Afrique, aujourd’hui, à la lisière d’un marché aux fétiches. Le spectre d’Io revient sous la forme d’une marionnette. De ce lieu où l’on vient montrer qu’on n’est pas fracassé par la situation fracassée, les personnages nous diront comment, d’années de guerre en années débrouilles, il y avait là un théâtre, puis un centre d’accueil où, de jeunes filles violées – déclinaisons contemporaines d’Io – ont pu trouver un abri pour accoucher. Là est né Le fils de la Mère. C’est par sa voix que nous revient le cri antique : sur les traces de l’outrage peut avoir lieu une autre histoire…
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