Les lettres de prison de Rosa Luxembourg forment l’épine dorsale du collage essayiste de Salhab. Ses descriptions lyriques de la nature témoignent d’une joie de vivre non influencée par la situation politique de l’époque et ne sont pas vues, mais plutôt écoutées- en allemand et en arabe. En liaison avec des images d’un Berlin hivernal, une polyphonie de différentes couches visuelles et acoustiques se chevauchant est produite.

Rosa Luxemburg’s prison letters form the backbone of Salhab’s essayistic collage. Luxemburgs’s lyrical descriptions of nature bear show a joie de vivre undimmed by the political situation of the time and is not seen, but rather listened to – in both German and Arabic. In connection with images of a wintry Berlin, a polyphony of different overlapping visual and acoustic layers is produced.