Fiche Personne
Théâtre
Cinéma/TV
Littérature / édition
Aziz Degga
Ecrivain/ne, Acteur/trice, Comédien(ne)
(Homme)
Algérie
©
Site web : www.imdb.com/name/nm0214740
Français
Abdelaziz Degga, né le 10 novembre 1945 à Alger est un comédien, humoriste et écrivain algérien. Il est le frère de Nasreddine Degga également artiste, humoriste et imitateur.
Ce fils de Climat-de-France, à Alger, a débuté sa carrière d’artiste en faisant du théâtre. En 1967, il intègre la section des arts dramatiques du Conservatoire d’Alger. Il joue alors en dialectal et en français et ce, aux côtés de Azzedine Medjoubi, Madjid Bey, Abdelah Bouzida, Norredine Lameche, Samir Bencherifa et Rabah Allam dans la pièce L’Exception et la règle de Bertold Brecht. Jusqu’en 1972, il enchaîne les pièces classiques à tonalité dramatique. Après les Perses d’Eschyle (1967) il campe un rôle dans la représentation en dialectal d’Echaab …Echaab (Le Peuple). En 1969 on le retrouve dans La Poudre d’intelligence de Kateb Yacine. Ensuite en 1972 dans la troupe théâtrale du même Kateb qui va faire une tournée de plusieurs mois en France pour y jouer Mohamed prend ta valise. "J’ai pu me tailler un petit personnage dans la pièce de Brecht, j’ai joué le porteur, donc à partir de là j’ai commencé. Après il y a eu Kateb Yacine, c’était quelque chose de nouveau, que ce soit au niveau de la forme ou au niveau de l’écriture, le groupe vivait ensemble, et l’auteur vivait avec nous".
Dans son C.-V, l’épisode de Sonatour (Centre touristique de Moretti) où il va faire de l’animation sonne comme une phase de transition entre le théâtre et les arts audiovisuels. Avant donc d’apparaître sur les écrans du cinéma et de télévision, Degga s’essaye à Sidi Fredj dans la Voûte de Djamel Allam au one man show en montant des spectacles de bruitage, basés sur la narration d’histoires suggérées par l’imitation de bruits. Degga excelle dans l’interprétation des voix des films westerns. "Chaque spectateur construit lui-même les personnages à partir d’un bruit, il va construire son espace, bref il participe à la création de l’image".
Degga a joué dans une dizaine de films de cinéma et dans sept téléfilms, ce qui est appréciable pour un acteur qui, plus est, évolue en Algérie. "J’ai toujours campé des rôles qui dégagent de la gaieté, je n’aime pas me mettre dans la peau de personnages qui pleurnichent, j’interprète des rôles humoristiques, décontractés, pas sérieux, mais qui n’appartiennent pas au type mondain". Dans Omar Gatlato de Merzak Allouache, il a interprété le rôle de Moh S’mina, "un personnage qui détend un peu l’ambiance".
Une exception qui confirme la règle, Degga avoue qu’il a aimé Al Intihar (Le Suicide) de Mustapha Badie où il campe le rôle tragique d’un simplet. Ses yeux enjoués s’animent à l’évocation de ce personnage. "Zohra, issue d’une famille bourgeoise, se marie avec moi. Le couple aura un gosse et le simplet finira par se suicider. Lors de la nuit de noces, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, il voyait autour de lui beaucoup de monde, il parait que c’est un personnage qui a réellement existé à La Casbah d’Alger, c’était quelqu’un qui n’arrêtait pas de prédire sa propre mort". Badie a pris quand même la liberté de filmer une séquence qui ne figurait pas dans le texte de Mohamed Dib d’où a été tiré le scénario du film. "C’est d’ailleurs le film qui m’a plu le plus, aujourd’hui, il n’y a pas de réalisateur de la trempe de Badie, je pense qu’il est unique, c’est une école. Quand il regarde les acteurs, il leur donne ce qu’il faut, c’est lui qui a découvert les grands personnages tels Beyouna, Ouardia, etc. Il a déniché des talents qui n’auraient jamais pu jouer au cinéma. Dans "L’Incendie", on reste admiratif devant le jeu des actrices, on se demande comment il a pu restituer les différentes postures de femmes de Dar Sbitar. Quand il travaille Badie n’a pas de scénariste, il n’a rien, il a tout dans la tête. Il développe tout de suite. Il visionne les séquences et puis il les refait quand ça ne lui plait pas et puis il a son montage. Sur le plan humain, il est très attentif dans ses relations avec les gens. Quand il m’a vu il m’a confié le rôle du simplet en me disant "tu vas jouer le mari de Zohra, tu es un gars sympa", je m’y suis plié car j’ai trouvé que ça sortait de l’ordinaire".
Concernant Allouache, Degga le classe dans une autre catégorie. "Allouache, c’est autre chose, je pense que son génie a été d’écrire un scénario où il n’y a presque rien, il savait que les acteurs pouvaient construire des relations entre eux, en intégrant notamment la chanson et tout le reste, avec de petits flashs, ça c’est une autre méthode. "Omar Gatlato" est le fruit d’un scénario où l’on ne pouvait pas concevoir que le réalisateur dicte à l’acteur de poser par exemple un verre sur la table, on aurait tout compliquer, mais il a donné la liberté aux comédiens d’évoluer, de créer spontanément des dialogues qu’on entend tous les jours dans la rue, c’est-à-dire non classiques" et d’ajouter "il avait une capacité d’écoute, son mérite à lui, c’est qu’il ne fixait pas tout, il laissait les acteurs respirer un peu, sachant qu’ils peuvent comprendre certaines choses mieux que lui».
Pour Degga s’il y a eu des films algériens intéressants, beaucoup ont fait dans le stéréotype, "il y a des scénarios où tu entres et tu t’éclates, il y en a d’autres où tu restes figé. C’est toujours la même rengaine, les mêmes personnages, les mêmes thèmes, la police, "sbitar", la porte s’ouvre, "djouz, rani qima teyebt lqahoua" viens, le café est prêt) le téléphone sonne, allô, "allo, arah djay, ouch rak dir" (Il va venir, qu’est-ce que tu fais) "mazal bach nzeoudjou" (il va falloir attendre pour qu’on puisse se marier), et puis ça se focalise sur la famille qui commence à se désintégrer, le vieux est malade, il va mourir, et puis c’est l’héritage, mais on ne veut pas partager, bref, on joue des thèmes qu’on voit au tribunal».
Les circonstances dans lesquelles se déroule le tournage peuvent provoquer une désaffection par rapport au film, explique Degga. "Dans "Les Déracinés" de Lamine Merbah, j’ai eu un passage que je n’ai pas aimé; je devais jouer l’usurier, un épicier qui ne prend pas d’argent, mais de l’or ou du métal argent". "L’atmosphère était viciée dès le départ car après une bagarre entre le directeur de la photo et la maquilleuse, la tension était montée d’un cran. J’ai joué juste une demi-journée ou une journée, mais je n’ai pas aimé. En arrivant à Miliana, je me suis retrouvé face à une grève. A l’hôtel de Hamamm Righa, j’ai trouvé Lamine Merbah, malade, alité et Hadj Rahim qui lui tendait une tisane; je me suis dit, alors, que suis-je venu faire ici". Et de poursuivre "Dans "Le Troisième acte" de Rachid Benbrahim, j’ai joué le rôle d’un patron de resto, je n’ai pas aimé cette histoire où il y avait la scène d’une bagarre entre un écrivain et un peintre, je devais tourner ma scène à Khemis el-Khechna,en nocturne. Mais Benbrahim avait oublié le coassement des grenouilles dans le barrage, car la scène se jouait à ce niveau-là. C’était beau, on aurait dit l’arrière d’un bateau. Mais on n’entendait que les grenouilles. La bande son était donc foutue. Benbrahim n’a pas su gérer la situation, il parlait de doubler le son et ne se souciait que des grands comédiens à l’image d’Agoumi». Degga confesse qu’il ne s’est pas senti également à l’aise dans Morituri de Touita Okacha, "j’ai joué le rôle d’un journaliste qu’on allait assassiner".
Depuis son départ à la retraite du cinéma, à 65 ans, Abdelaziz Degga se consacrera à l'écriture de contes et nouvelles pour enfants illustrée par le plasticien Abderrahamne Ouattou. Friand de contes et d’anecdotes, il collectionna, sa vie durant, des milliers d’histoires qu’il a consignées dans des fiches qu’il garde à la maison. Son truc consiste à enregistrer de brefs échanges de paroles qu’il a eues avec des personnages célèbres. Les faits réels ainsi recueillis sont saupoudrés de notes imaginaires avant d’être proposés à la lecture sous forme de nouvelles.
Aziz Degga décède le 12 avril 2019, à l'âge de 74 ans, suite à une maladie. Le documentaire hommage "Aziz Degga, conteur", du réalisateur Hamid Benamra est actuellement en préparation.
Abdelaziz Degga, comédien, un acteur rieur et conteur
Larbi Graïne, Midi-Libre du 8 Mars 2010
https://www.imdb.com/name/nm0214740
Ce fils de Climat-de-France, à Alger, a débuté sa carrière d’artiste en faisant du théâtre. En 1967, il intègre la section des arts dramatiques du Conservatoire d’Alger. Il joue alors en dialectal et en français et ce, aux côtés de Azzedine Medjoubi, Madjid Bey, Abdelah Bouzida, Norredine Lameche, Samir Bencherifa et Rabah Allam dans la pièce L’Exception et la règle de Bertold Brecht. Jusqu’en 1972, il enchaîne les pièces classiques à tonalité dramatique. Après les Perses d’Eschyle (1967) il campe un rôle dans la représentation en dialectal d’Echaab …Echaab (Le Peuple). En 1969 on le retrouve dans La Poudre d’intelligence de Kateb Yacine. Ensuite en 1972 dans la troupe théâtrale du même Kateb qui va faire une tournée de plusieurs mois en France pour y jouer Mohamed prend ta valise. "J’ai pu me tailler un petit personnage dans la pièce de Brecht, j’ai joué le porteur, donc à partir de là j’ai commencé. Après il y a eu Kateb Yacine, c’était quelque chose de nouveau, que ce soit au niveau de la forme ou au niveau de l’écriture, le groupe vivait ensemble, et l’auteur vivait avec nous".
Dans son C.-V, l’épisode de Sonatour (Centre touristique de Moretti) où il va faire de l’animation sonne comme une phase de transition entre le théâtre et les arts audiovisuels. Avant donc d’apparaître sur les écrans du cinéma et de télévision, Degga s’essaye à Sidi Fredj dans la Voûte de Djamel Allam au one man show en montant des spectacles de bruitage, basés sur la narration d’histoires suggérées par l’imitation de bruits. Degga excelle dans l’interprétation des voix des films westerns. "Chaque spectateur construit lui-même les personnages à partir d’un bruit, il va construire son espace, bref il participe à la création de l’image".
Degga a joué dans une dizaine de films de cinéma et dans sept téléfilms, ce qui est appréciable pour un acteur qui, plus est, évolue en Algérie. "J’ai toujours campé des rôles qui dégagent de la gaieté, je n’aime pas me mettre dans la peau de personnages qui pleurnichent, j’interprète des rôles humoristiques, décontractés, pas sérieux, mais qui n’appartiennent pas au type mondain". Dans Omar Gatlato de Merzak Allouache, il a interprété le rôle de Moh S’mina, "un personnage qui détend un peu l’ambiance".
Une exception qui confirme la règle, Degga avoue qu’il a aimé Al Intihar (Le Suicide) de Mustapha Badie où il campe le rôle tragique d’un simplet. Ses yeux enjoués s’animent à l’évocation de ce personnage. "Zohra, issue d’une famille bourgeoise, se marie avec moi. Le couple aura un gosse et le simplet finira par se suicider. Lors de la nuit de noces, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, il voyait autour de lui beaucoup de monde, il parait que c’est un personnage qui a réellement existé à La Casbah d’Alger, c’était quelqu’un qui n’arrêtait pas de prédire sa propre mort". Badie a pris quand même la liberté de filmer une séquence qui ne figurait pas dans le texte de Mohamed Dib d’où a été tiré le scénario du film. "C’est d’ailleurs le film qui m’a plu le plus, aujourd’hui, il n’y a pas de réalisateur de la trempe de Badie, je pense qu’il est unique, c’est une école. Quand il regarde les acteurs, il leur donne ce qu’il faut, c’est lui qui a découvert les grands personnages tels Beyouna, Ouardia, etc. Il a déniché des talents qui n’auraient jamais pu jouer au cinéma. Dans "L’Incendie", on reste admiratif devant le jeu des actrices, on se demande comment il a pu restituer les différentes postures de femmes de Dar Sbitar. Quand il travaille Badie n’a pas de scénariste, il n’a rien, il a tout dans la tête. Il développe tout de suite. Il visionne les séquences et puis il les refait quand ça ne lui plait pas et puis il a son montage. Sur le plan humain, il est très attentif dans ses relations avec les gens. Quand il m’a vu il m’a confié le rôle du simplet en me disant "tu vas jouer le mari de Zohra, tu es un gars sympa", je m’y suis plié car j’ai trouvé que ça sortait de l’ordinaire".
Concernant Allouache, Degga le classe dans une autre catégorie. "Allouache, c’est autre chose, je pense que son génie a été d’écrire un scénario où il n’y a presque rien, il savait que les acteurs pouvaient construire des relations entre eux, en intégrant notamment la chanson et tout le reste, avec de petits flashs, ça c’est une autre méthode. "Omar Gatlato" est le fruit d’un scénario où l’on ne pouvait pas concevoir que le réalisateur dicte à l’acteur de poser par exemple un verre sur la table, on aurait tout compliquer, mais il a donné la liberté aux comédiens d’évoluer, de créer spontanément des dialogues qu’on entend tous les jours dans la rue, c’est-à-dire non classiques" et d’ajouter "il avait une capacité d’écoute, son mérite à lui, c’est qu’il ne fixait pas tout, il laissait les acteurs respirer un peu, sachant qu’ils peuvent comprendre certaines choses mieux que lui».
Pour Degga s’il y a eu des films algériens intéressants, beaucoup ont fait dans le stéréotype, "il y a des scénarios où tu entres et tu t’éclates, il y en a d’autres où tu restes figé. C’est toujours la même rengaine, les mêmes personnages, les mêmes thèmes, la police, "sbitar", la porte s’ouvre, "djouz, rani qima teyebt lqahoua" viens, le café est prêt) le téléphone sonne, allô, "allo, arah djay, ouch rak dir" (Il va venir, qu’est-ce que tu fais) "mazal bach nzeoudjou" (il va falloir attendre pour qu’on puisse se marier), et puis ça se focalise sur la famille qui commence à se désintégrer, le vieux est malade, il va mourir, et puis c’est l’héritage, mais on ne veut pas partager, bref, on joue des thèmes qu’on voit au tribunal».
Les circonstances dans lesquelles se déroule le tournage peuvent provoquer une désaffection par rapport au film, explique Degga. "Dans "Les Déracinés" de Lamine Merbah, j’ai eu un passage que je n’ai pas aimé; je devais jouer l’usurier, un épicier qui ne prend pas d’argent, mais de l’or ou du métal argent". "L’atmosphère était viciée dès le départ car après une bagarre entre le directeur de la photo et la maquilleuse, la tension était montée d’un cran. J’ai joué juste une demi-journée ou une journée, mais je n’ai pas aimé. En arrivant à Miliana, je me suis retrouvé face à une grève. A l’hôtel de Hamamm Righa, j’ai trouvé Lamine Merbah, malade, alité et Hadj Rahim qui lui tendait une tisane; je me suis dit, alors, que suis-je venu faire ici". Et de poursuivre "Dans "Le Troisième acte" de Rachid Benbrahim, j’ai joué le rôle d’un patron de resto, je n’ai pas aimé cette histoire où il y avait la scène d’une bagarre entre un écrivain et un peintre, je devais tourner ma scène à Khemis el-Khechna,en nocturne. Mais Benbrahim avait oublié le coassement des grenouilles dans le barrage, car la scène se jouait à ce niveau-là. C’était beau, on aurait dit l’arrière d’un bateau. Mais on n’entendait que les grenouilles. La bande son était donc foutue. Benbrahim n’a pas su gérer la situation, il parlait de doubler le son et ne se souciait que des grands comédiens à l’image d’Agoumi». Degga confesse qu’il ne s’est pas senti également à l’aise dans Morituri de Touita Okacha, "j’ai joué le rôle d’un journaliste qu’on allait assassiner".
Depuis son départ à la retraite du cinéma, à 65 ans, Abdelaziz Degga se consacrera à l'écriture de contes et nouvelles pour enfants illustrée par le plasticien Abderrahamne Ouattou. Friand de contes et d’anecdotes, il collectionna, sa vie durant, des milliers d’histoires qu’il a consignées dans des fiches qu’il garde à la maison. Son truc consiste à enregistrer de brefs échanges de paroles qu’il a eues avec des personnages célèbres. Les faits réels ainsi recueillis sont saupoudrés de notes imaginaires avant d’être proposés à la lecture sous forme de nouvelles.
Aziz Degga décède le 12 avril 2019, à l'âge de 74 ans, suite à une maladie. Le documentaire hommage "Aziz Degga, conteur", du réalisateur Hamid Benamra est actuellement en préparation.
Abdelaziz Degga, comédien, un acteur rieur et conteur
Larbi Graïne, Midi-Libre du 8 Mars 2010
https://www.imdb.com/name/nm0214740
English
Sometimes credited as Aziz Degga
Films(s)
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MorituriLong-métrage – 2007Pendant la guerre civile des années 1990, qui a déchiré l'Algérie, le commissaire de police Brahim Llob, par ailleurs écrivain à ses heures, traque les islamistes au quotidie…Aziz Degga est lié(e) à ce film en tant que comédien(ne)
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Little Big DégelaLong-métrage – 2006Portrait du comédien Azziz DeggaAziz Degga est lié(e) à ce film en tant que acteur/trice
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Il était une fois dans l’OuedLong-métrage – 2004Juin 1988, fête de la musique, cité Paul Eluard, en banlieue parisienne. Quelques jeunes gens parlent des vacances qui les attendent. Parmi eux, Yacine, 19 ans, d’origine maghrébine, et Johnny, un garçon blond à la peau …Aziz Degga est lié(e) à ce film en tant que comédien(ne)
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De Hollywood à TamanrassetLong-métrage – 1990[DVD disponible à la médiathèque des 3 mondes ] Dans une bourgade à la périphérie d’Alger la blanche les habitants insatisfaits de leur vie se prennent pour les héros de leurs feuilletons télévisés favoris. C’est ainsi q…Aziz Degga est lié(e) à ce film en tant que comédien(ne)
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Sahara BluesLong-métrage – 1990Sahara Blues (صحراء بلو), est un film de Rabah Bouberras, sorti en 1990. Mounya n'aime pas le désert, et elle n'aime pas Majid non plus, mais elle a accep…Aziz Degga est lié(e) à ce film en tant que acteur/trice
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Le Clandestin (1989)Long-métrage – 1989"Le Clandestin" réalisé par Benamar Bakhti, sorti est une comédie sur la société algérienne. N'ayant pas de métier précis, Si Abdellah, père…Aziz Degga est lié(e) à ce film en tant que comédien(ne)
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Cri de PierreLong-métrage – 1987"Cris de Pierre" ets un film algérien écrit er réalisé par Abderrahmane Bouguermouh, sorti en 1987. Synopsis Emmené par Daoudi, un architecte désenchanté, …Aziz Degga est lié(e) à ce film en tant que comédien(ne)
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Omar GatlatoLong-métrage – 1976Omar Gatlato (en arabe : عمر قتلتوا الرجلة) est une comédie algérienne de Merzak Allouache sortie en 1977. Synopsis La vie à…Aziz Degga est lié(e) à ce film en tant que acteur/trice
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