Fiche Personne
Théâtre
Cinéma/TV
René Georges
Metteur/se en scène, Acteur/trice, Dramaturge
Belgique
Français
Diplômé de l’IAD, René Georges reçoit le Prix de l’Union des Artistes en 1993. Il dirige l’ XK theater Group, un collectif qui développe une recherche artistique résolument moderne, tournée vers notre monde et embarquée dans les thématiques sociales et individuelles de son temps. Il s’inspire étroitement pour ses mises en scène et ateliers du travail théorique et pratique du dramaturge Anglais Edward Bond.
Chargé de cours à l’Institut des Arts de Diffusion (section théâtre). Des mises en scène dont: « Allah n’est pas obligé » d’Ahmadou Kourouma, programmée au Théâtre de Poche à Bruxelles en janvier 2004 et qui totalise plus de 15000 spectateurs à ce jour. Tournée en Afrique (Burkina Faso, RDC) et en France. « Pulsion » de Franz Xaver Kroetz, jouée au Théâtre de Namur et au Théâtre de Poche à Bruxelles. Un partenariat de mise en scène avec Christian Leblicq de « Printemps dans un jardin de fou » d’Henri Frédéric Blanc, jouée au Théâtre de l’Ancre à Charleroi (mais aussi à Avignon, Bordeaux, Bruxelles, Verdun et qui tourne encore pour le moment?)
« Excédents de poids, insignifiant amorphe » de Werner Schwab, produite aux Bateliers de Namur, en collaboration avec le TAPS.
Il vient de terminer deux mises en scène, un texte d’Edward Bond « Maison d’arrêt » au Théâtre de Poche et « Bash, latterday plays » de Neil Labute au ZUT à Bruxelles et au Théâtre Jardin Passion à Namur. Et le dernier en date, « In limine » de et par Michèle Nguyen pour le festival de Mythos à Rennes 2008.
De nombreux rôles au Théâtre dont : dernièrement au Rideau de Bruxelles, il jouait Michania dans « Black milk » de Sigarev, mais aussi le soldat dans « Anéantis » de Sarah Kane mis en scène par Michel Bernard, le père dans « Visage de Feu » de Mayenburg, toujours mis en scène par Michel Bernard. Il fut Ganni Gorda dans « Le café des patriotes » de Jean-Marie Piemme, mis en scène par Philippe Sireuil au Théâtre Varia en 2001 et repris dans la foulée au Théâtre de Lille. René Georges a par ailleurs joué dans des pièces aussi variées que « Jeux de deux » de Sami Keskiväläla (Finlande) pour le Marathon Européen de l’écriture à Bruxelles, dans « Chien » de Paul Nizon, « Ciment » de Heiner Müller, « Le dernier chant d’Ophélie », une création de la compagnie du Grand Guignol (Prix spécial du Public au Festival de Châlon), « Le baiser de la femme araignée » de Manuel Puig, « Ubu Reine » d’après les carnets secrets d’Helena Ceausescu, « La langue, l’exil »d’après Tahar Ben Jelloun et Mahmoud Darwich, « La Vague à l’âme » d’après l’?uvre de Fernando Pessoa (115 représentations à ce jour), « A ceux qui viendront après nous » par le collectif Brecht, « Pièces d’identité-Les Grandes Ombres » de Jean-Marie Piemme, « La cruche cassée » de Heinrich Von Kleist. Il travaille fréquemment avec la Compagnie expérimentale Victor B et Jean-Michel Frère (2 spectacles : « Victor B », « Une certaine image du Bonheur »), « Le Public » de Garcia Lorca mis en scène de Frédéric Dussenne?
Le secteur d’activités très varié de René Georges couvre entre autres des courts métrages, des ateliers destinés aux jeunes défavorisés, des collaborations avec Benoît Mariage sur le casting de ses films. Il est aussi consultant sur des films de fiction. Il donne encore des formations à des futurs instituteurs et enseignants du secondaire, anime des ateliers « théâtre et expression » dans les écoles, mais aussi en Afrique (avec les enfants des rues de Ouagadougou notamment). Il a écrit plusieurs scénarios de fiction dont « Le fils du soleil » inspiré de la vie de Rimbaud. René Georges est également producteur du groupe instrumental « Rayangnewind » (Burkina Faso)
Chargé de cours à l’Institut des Arts de Diffusion (section théâtre). Des mises en scène dont: « Allah n’est pas obligé » d’Ahmadou Kourouma, programmée au Théâtre de Poche à Bruxelles en janvier 2004 et qui totalise plus de 15000 spectateurs à ce jour. Tournée en Afrique (Burkina Faso, RDC) et en France. « Pulsion » de Franz Xaver Kroetz, jouée au Théâtre de Namur et au Théâtre de Poche à Bruxelles. Un partenariat de mise en scène avec Christian Leblicq de « Printemps dans un jardin de fou » d’Henri Frédéric Blanc, jouée au Théâtre de l’Ancre à Charleroi (mais aussi à Avignon, Bordeaux, Bruxelles, Verdun et qui tourne encore pour le moment?)
« Excédents de poids, insignifiant amorphe » de Werner Schwab, produite aux Bateliers de Namur, en collaboration avec le TAPS.
Il vient de terminer deux mises en scène, un texte d’Edward Bond « Maison d’arrêt » au Théâtre de Poche et « Bash, latterday plays » de Neil Labute au ZUT à Bruxelles et au Théâtre Jardin Passion à Namur. Et le dernier en date, « In limine » de et par Michèle Nguyen pour le festival de Mythos à Rennes 2008.
De nombreux rôles au Théâtre dont : dernièrement au Rideau de Bruxelles, il jouait Michania dans « Black milk » de Sigarev, mais aussi le soldat dans « Anéantis » de Sarah Kane mis en scène par Michel Bernard, le père dans « Visage de Feu » de Mayenburg, toujours mis en scène par Michel Bernard. Il fut Ganni Gorda dans « Le café des patriotes » de Jean-Marie Piemme, mis en scène par Philippe Sireuil au Théâtre Varia en 2001 et repris dans la foulée au Théâtre de Lille. René Georges a par ailleurs joué dans des pièces aussi variées que « Jeux de deux » de Sami Keskiväläla (Finlande) pour le Marathon Européen de l’écriture à Bruxelles, dans « Chien » de Paul Nizon, « Ciment » de Heiner Müller, « Le dernier chant d’Ophélie », une création de la compagnie du Grand Guignol (Prix spécial du Public au Festival de Châlon), « Le baiser de la femme araignée » de Manuel Puig, « Ubu Reine » d’après les carnets secrets d’Helena Ceausescu, « La langue, l’exil »d’après Tahar Ben Jelloun et Mahmoud Darwich, « La Vague à l’âme » d’après l’?uvre de Fernando Pessoa (115 représentations à ce jour), « A ceux qui viendront après nous » par le collectif Brecht, « Pièces d’identité-Les Grandes Ombres » de Jean-Marie Piemme, « La cruche cassée » de Heinrich Von Kleist. Il travaille fréquemment avec la Compagnie expérimentale Victor B et Jean-Michel Frère (2 spectacles : « Victor B », « Une certaine image du Bonheur »), « Le Public » de Garcia Lorca mis en scène de Frédéric Dussenne?
Le secteur d’activités très varié de René Georges couvre entre autres des courts métrages, des ateliers destinés aux jeunes défavorisés, des collaborations avec Benoît Mariage sur le casting de ses films. Il est aussi consultant sur des films de fiction. Il donne encore des formations à des futurs instituteurs et enseignants du secondaire, anime des ateliers « théâtre et expression » dans les écoles, mais aussi en Afrique (avec les enfants des rues de Ouagadougou notamment). Il a écrit plusieurs scénarios de fiction dont « Le fils du soleil » inspiré de la vie de Rimbaud. René Georges est également producteur du groupe instrumental « Rayangnewind » (Burkina Faso)
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