Fiche Personne
Musique
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Mamou Sidibé
Musicien/ne
Mali

Site web : www.akwaabamusic.com
Français
Son père est un balafoniste confirmé et sa mère une célèbre chanteuse. Elle apprendra donc à leurs côtés. Plus tard, elle se fait remarquer pendant les fêtes du village au clair de lune.
Adolescente, elle chante pour encourager les paysans dans les champs, mais bien décidée a faire carrière, Mamou abandonne son village pour s’installer à Bamako.
Et c’est au tournant des années 80 qu’elle intègre le groupe d’Oumou Sangaré. Choriste, elle participe à la réalisation de son premier album qui fera un véritable tabac : « Avec Oumou Sangaré, j’ai appris beaucoup de choses. elle a renforcé ma passion », précise-t-elle.
A travers les « Sumu », les cérémonies de baptême et de mariage, Mamou consolide ses acquis et quitte le groupe d’Oumou Sangaré, Caprice ? Plutôt désir d’entreprendre une carrière solo. Mais il faudra attendre pratiquement dix ans avant qu’elle puisse prouver son talent? Finalement, c’est Mali K7 qui lui propose un contrat. Et elle débute les répétitions avec Moussa Koné : « Quand Mamou venait ici, début 1998, malgré sa belle voix, il a fallu qu’elle travaille beaucoup. J’ai même pensé qu’elle allait lâcher prise. Mais elle est restée courtoise et ne s’est jamais énervée », explique Yves Wernert.
Dotée d’une formidable capacité de travail et d’une volonté farouche, Mamou Sidibé parvient à atteindre son objectif dès son premier enregistrement. Le succès est au bout de l’effort.
« Nakan » (Le destin) album produit par Philippe Berthier, réalisé par Yves Wernert et Moussa Koné lance Mamou dans la cour des divas de la chanson malienne.
Adolescente, elle chante pour encourager les paysans dans les champs, mais bien décidée a faire carrière, Mamou abandonne son village pour s’installer à Bamako.
Et c’est au tournant des années 80 qu’elle intègre le groupe d’Oumou Sangaré. Choriste, elle participe à la réalisation de son premier album qui fera un véritable tabac : « Avec Oumou Sangaré, j’ai appris beaucoup de choses. elle a renforcé ma passion », précise-t-elle.
A travers les « Sumu », les cérémonies de baptême et de mariage, Mamou consolide ses acquis et quitte le groupe d’Oumou Sangaré, Caprice ? Plutôt désir d’entreprendre une carrière solo. Mais il faudra attendre pratiquement dix ans avant qu’elle puisse prouver son talent? Finalement, c’est Mali K7 qui lui propose un contrat. Et elle débute les répétitions avec Moussa Koné : « Quand Mamou venait ici, début 1998, malgré sa belle voix, il a fallu qu’elle travaille beaucoup. J’ai même pensé qu’elle allait lâcher prise. Mais elle est restée courtoise et ne s’est jamais énervée », explique Yves Wernert.
Dotée d’une formidable capacité de travail et d’une volonté farouche, Mamou Sidibé parvient à atteindre son objectif dès son premier enregistrement. Le succès est au bout de l’effort.
« Nakan » (Le destin) album produit par Philippe Berthier, réalisé par Yves Wernert et Moussa Koné lance Mamou dans la cour des divas de la chanson malienne.
English
Mamou is a djelimousso or griot from the Wassoulou region of south-east Mali. For about 30 years now the region has been a musical hotbed for experimentation, where Manding and Peul traditions are fused with western instruments. Mamou started singing to encourage workers in the fields, before heading to the big city, Bamako, where she sang as a back-up singer for Malian star Oumou Sangaré. Mamou eventually left Oumou to develop her own style. Today, in Mali, she’s considered one of the most prominent song divas.
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