Fiche Personne
Arts plastiques
Vally Saunier
Peintre

Site web : http://vallysaunier.levillage.org/spip/
Français
Influences
Les peintures de Vally Saunier nous livrent les différentes étapes d’un voyage intimiste qui a ses origines au coeurdu corps et se poursuit jusqu’en Afrique. Le support pricipal sur lequel elle peint est le bois qu’elle pyrograve parfois. Son médium est l’acrylique. Vally utilise aussi le pastel gras, l’encre, l’aquarelle. Avec eux, elle joue sur les couleurs et les formes. Des matières brutes, toile de jute, raphia) prennent aussi place dans ses toiles. L’imprégnation de la diversité culturelle africaine influe sur les diverses recherches techyniques de Vally : terre, sable, cauris et perles sont ramenés de ses voyages et utilisés comme matière dans ses tableaux.
Itinéraire
A partir de 1993 Vally étudie le rapport externe-interne du corps. Suite à l’hémiplégie de son père durant son adolescence, elle cherche les signes physiques des sentiments éprouvésau tréfonds de l’organisme. La variété des supports utilisés sert sa volonté de manipuler la surface, de creuser la chair. A la suite de ce travail « exutoire », les masques sont apparus. Ils sont coupés en deux à l’image de la dissymétrie des corps. Puis Vally découvre les Nouba du Soudan et leur tradition séculaire des peintures de corps et de visages. Les hommes aux visages peints la fascinent. Vally étudie aussi les masques sculptés. Dans ses toiles naissent les « masques-visages, visages masqués ». En 1999, sa peinture révèle une nouvelle dynamique. Ses yeux d’artiste s’ouvrent désormais en grand sur le monde extérieur. L’évolution de son travail coïncide en effet avec une série de voyages qui l’emmène sur le continent africain. C’est d’abord sous la lumière du désert marocain et tunisien que ses travaux se nourrissent d’impressions nouvelles. Deux axes d’études s’imposent alors à Vally :
La tradition est une base essentielle de la culture africaine, cela implique pour Vally une recherche formelle particulière. Elle symbolise alors la source traditionnelle avec un travail sur le trait qui s’épure de plus en plus. Sa recherche se poursuit et la pousse à réduire les couleurs de ses toiles à trois : rouge, noir et or. Lors de son voyage au Mali en 2001, elle découvre les idéogrammes africains puis continue sa recherche graphique sur les motifs des tissus.
En parallèle, Vally développe son intérêt pour l’art et l’histoire de la société d’Afrique de l’ouest. Son inspiration puise dans les scènes de la vie quotidienne, des objets traditionnels ainsi que dans ses rencontres avec diverses ethnies (Touareg, Peuls, Bambara, Dogon, Boso…).
Les peintures de Vally Saunier nous livrent les différentes étapes d’un voyage intimiste qui a ses origines au coeurdu corps et se poursuit jusqu’en Afrique. Le support pricipal sur lequel elle peint est le bois qu’elle pyrograve parfois. Son médium est l’acrylique. Vally utilise aussi le pastel gras, l’encre, l’aquarelle. Avec eux, elle joue sur les couleurs et les formes. Des matières brutes, toile de jute, raphia) prennent aussi place dans ses toiles. L’imprégnation de la diversité culturelle africaine influe sur les diverses recherches techyniques de Vally : terre, sable, cauris et perles sont ramenés de ses voyages et utilisés comme matière dans ses tableaux.
Itinéraire
A partir de 1993 Vally étudie le rapport externe-interne du corps. Suite à l’hémiplégie de son père durant son adolescence, elle cherche les signes physiques des sentiments éprouvésau tréfonds de l’organisme. La variété des supports utilisés sert sa volonté de manipuler la surface, de creuser la chair. A la suite de ce travail « exutoire », les masques sont apparus. Ils sont coupés en deux à l’image de la dissymétrie des corps. Puis Vally découvre les Nouba du Soudan et leur tradition séculaire des peintures de corps et de visages. Les hommes aux visages peints la fascinent. Vally étudie aussi les masques sculptés. Dans ses toiles naissent les « masques-visages, visages masqués ». En 1999, sa peinture révèle une nouvelle dynamique. Ses yeux d’artiste s’ouvrent désormais en grand sur le monde extérieur. L’évolution de son travail coïncide en effet avec une série de voyages qui l’emmène sur le continent africain. C’est d’abord sous la lumière du désert marocain et tunisien que ses travaux se nourrissent d’impressions nouvelles. Deux axes d’études s’imposent alors à Vally :
La tradition est une base essentielle de la culture africaine, cela implique pour Vally une recherche formelle particulière. Elle symbolise alors la source traditionnelle avec un travail sur le trait qui s’épure de plus en plus. Sa recherche se poursuit et la pousse à réduire les couleurs de ses toiles à trois : rouge, noir et or. Lors de son voyage au Mali en 2001, elle découvre les idéogrammes africains puis continue sa recherche graphique sur les motifs des tissus.
En parallèle, Vally développe son intérêt pour l’art et l’histoire de la société d’Afrique de l’ouest. Son inspiration puise dans les scènes de la vie quotidienne, des objets traditionnels ainsi que dans ses rencontres avec diverses ethnies (Touareg, Peuls, Bambara, Dogon, Boso…).
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