Fiche Personne
Théâtre
Cinéma/TV
Aïcha Thiam
Réalisateur/trice, Scénariste, Monteur/se, Administrateur/trice
Sénégal
© Courtesy St-Louis Doc Festival
Français
Réalisatrice sénégalaise et malienne.
Aïcha THIAM est née le 27 octobre 1979 à MERKSEM (ANVERS, Belgique), d’un père Peulh sénégalais et d’une mère Peulh malienne d’origine sénégalais elle a grandi entre la Belgique, le Congo Kinshasa, le Sénégal et le Mali. Elle vit et travaille à Dakar la capitale du Sénégal.
Après un bac L2 à Dakar, elle s’inscrit en Faculté des sciences juridiques de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Elle arrête ses études de droit pour s’inscrire dans un centre d’initiation aux métiers de l’audiovisuel Le MEDIA CENTRE DE DAKAR. Dans ce centre elle y découvre son gout pour le septième art. En 2003, elle réalise son premier film documentaire « Fissabilahi » qui aborde le thème de la mendicité des enfants talibés dans la ville de Dakar. Le film a était primé dans plusieurs festivals.
Elle continue sa formation sur les plateaux de tournage de Moussa Séne Absa (cinéaste sénégalais). Elle a été l’assistante de feu Johnson Traoré, cinéaste sénégalais sur plusieurs films documentaires. Elle a participé également aux ateliers d’écriture de film documentaire de l’association AFRICADOC.
En 2006 elle est admise à l’Université Senghor pour y suivre une formation en management de la production audiovisuelle. Son passage à l’Université d’été de la FEMIS à été déterminant dans sa carrière : le documentaire devient son champ d’expression. Elle réalise plusieurs courts métrages documentaires et des films institutionnels.
Elle obtient un Master 2 en « Réalisation Documentaire de Création » à l’Université de Grenoble en 2011. Son film de fin d’étude, « Le jeu du coq et de la caméra » questionne l’altérité dans le cinéma documentaire (La relation entre « le filmeur » et le « filmé »)
Elle travaille depuis 2004 comme réalisatrice à la Télévision Nationale Sénégalaise (la RTS1) et parallèlement travaille en free lance comme directrice de production sur des projets de films documentaire et de fiction.
Elle a obtenu un Master 2 en Management des medias à L’ESJ de Lille et fini son premier long métrage documentaire « La rue des sœurs noires » en coproduction avec Survivance et DS Productions. Dans ce film, elle mène une enquête à Anvers sa ville natale sur l’histoire des négociants en diamant dont faisait partie son père et s’interroge sur la migration africaine aujourd’hui à Anvers.
En 2019, elle est membre du jury officiel du 6e Festival du film documentaire de Saint-Louis, Sénégal, présidé par Ousmane William Mbaye, aux côtés de Fatima Fall, Saliou « Alibeta » Sarr et Bassirou Niang.
FILMOGRAPHIE
« La Rue des Sœurs Noires », Film documentaire de 64 mn qui porte sur une enquête à Anvers sur l’histoire familiale de négociants en diamants ouest africain et évoque des questionnements sur les migrations d’aujourd’hui. || Coproduction SURVIVANCE/DS PRODUCTIONS année 2014
« Camarade Etudiant », Documentaire de 26 mn qui interroge les problèmes de l’enseignement supérieur au Sénégal. La réalisatrice accompagne pendant une année universitaire deux étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar || Coproduction RTS/CIRTEF année 2014. Diffusé sur RTS/ et le réseau TV5 MONDE
« Fatou Fatou Mécaniciennes », Pilote de la série Documentaire » Amazones » qui porte sur les femmes qui font des métiers traditionnellement réservés aux hommes || Coproduction RTS/CIRTEF Année 2012. Diffusé sur RTS/AFRICABLE/ORTM/ORTG/CRTV//Le réseau TV5 MONDE
« Le Jeu du coq et de la camera », Film de fin de Master de 8mn || Production Ardèche images année 2011.
« Le Cri de la Mer », film Documentaire de 26 mn qui porte sur la question de l’émigration clandestine à travers l’histoire des jeunes sénégalais qui tentent de rejoindre l’Espagne en traversant l’océan atlantique avec des pirogues. || Coproduction RTS /CIRTEF. Grand Prix, Prix du Meilleur film documentaire et Prix de la meilleure image au Festival de court métrage de Douala Cameroun / Le Djengou d’Argent 2eme Prix Documentaire au Beach Festival de Kribi Cameroun. Diffusé sur RTS/AFRICABLE/ORTM/ORTG/CRTV/Le réseau TV5 MONDE
« Papa », Un film Documentaire de 8 mn qui rend un hommage posthume à son père dans un poème filmée. || Coproduction Media centre année 2006 / GSRA Diffusé sur RTS/ /ORTM/ORTG/CRTV/RTBF/TV5 AFRIQUE. Prix du Meilleur film Documentaire Media 10.10 Belgique / 2eme Prix Documentaire Clap ivoire 2009 Cote d’Ivoire / Mention Spécial du jury au Festival Ajazeera Film Documentary Qatar
« Juste un bout de papier « , Documentaire de fin de formation de 17 mn sur Une algérienne sans papiers en France || Productions FEMIS année 2006
« Yakaar, Court Métrage Fiction de 16mn || Autoproduction année 2006.
« Gabil le pagne magique », Film documentaire de 26 minutes sur les tisseuses de pagne traditionnel en Casamance une région du Sénégal || Production : USOFORAL année 2005
Mention spéciale au Festival du quartier Dakar. Diffusé sur la RTS/ TV5 Afrique
-« Fisabillahi », Film Documentaire de 13 mn) sur l’exploitation des enfants talibés, || Production : LES PRODUCTIONS DU QUARTIER année 2003, Prix du public Prix du Meilleur documentaire Prix du jury au Festival du film de quartier de Dakar / Prix de la meilleur vidéo au Festival des vidéastes Francophone de Montréal 2004/ Prix du public au Festival Image et Vie (Dakar).
Aïcha THIAM est née le 27 octobre 1979 à MERKSEM (ANVERS, Belgique), d’un père Peulh sénégalais et d’une mère Peulh malienne d’origine sénégalais elle a grandi entre la Belgique, le Congo Kinshasa, le Sénégal et le Mali. Elle vit et travaille à Dakar la capitale du Sénégal.
Après un bac L2 à Dakar, elle s’inscrit en Faculté des sciences juridiques de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Elle arrête ses études de droit pour s’inscrire dans un centre d’initiation aux métiers de l’audiovisuel Le MEDIA CENTRE DE DAKAR. Dans ce centre elle y découvre son gout pour le septième art. En 2003, elle réalise son premier film documentaire « Fissabilahi » qui aborde le thème de la mendicité des enfants talibés dans la ville de Dakar. Le film a était primé dans plusieurs festivals.
Elle continue sa formation sur les plateaux de tournage de Moussa Séne Absa (cinéaste sénégalais). Elle a été l’assistante de feu Johnson Traoré, cinéaste sénégalais sur plusieurs films documentaires. Elle a participé également aux ateliers d’écriture de film documentaire de l’association AFRICADOC.
En 2006 elle est admise à l’Université Senghor pour y suivre une formation en management de la production audiovisuelle. Son passage à l’Université d’été de la FEMIS à été déterminant dans sa carrière : le documentaire devient son champ d’expression. Elle réalise plusieurs courts métrages documentaires et des films institutionnels.
Elle obtient un Master 2 en « Réalisation Documentaire de Création » à l’Université de Grenoble en 2011. Son film de fin d’étude, « Le jeu du coq et de la caméra » questionne l’altérité dans le cinéma documentaire (La relation entre « le filmeur » et le « filmé »)
Elle travaille depuis 2004 comme réalisatrice à la Télévision Nationale Sénégalaise (la RTS1) et parallèlement travaille en free lance comme directrice de production sur des projets de films documentaire et de fiction.
Elle a obtenu un Master 2 en Management des medias à L’ESJ de Lille et fini son premier long métrage documentaire « La rue des sœurs noires » en coproduction avec Survivance et DS Productions. Dans ce film, elle mène une enquête à Anvers sa ville natale sur l’histoire des négociants en diamant dont faisait partie son père et s’interroge sur la migration africaine aujourd’hui à Anvers.
En 2019, elle est membre du jury officiel du 6e Festival du film documentaire de Saint-Louis, Sénégal, présidé par Ousmane William Mbaye, aux côtés de Fatima Fall, Saliou « Alibeta » Sarr et Bassirou Niang.
FILMOGRAPHIE
« La Rue des Sœurs Noires », Film documentaire de 64 mn qui porte sur une enquête à Anvers sur l’histoire familiale de négociants en diamants ouest africain et évoque des questionnements sur les migrations d’aujourd’hui. || Coproduction SURVIVANCE/DS PRODUCTIONS année 2014
« Camarade Etudiant », Documentaire de 26 mn qui interroge les problèmes de l’enseignement supérieur au Sénégal. La réalisatrice accompagne pendant une année universitaire deux étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar || Coproduction RTS/CIRTEF année 2014. Diffusé sur RTS/ et le réseau TV5 MONDE
« Fatou Fatou Mécaniciennes », Pilote de la série Documentaire » Amazones » qui porte sur les femmes qui font des métiers traditionnellement réservés aux hommes || Coproduction RTS/CIRTEF Année 2012. Diffusé sur RTS/AFRICABLE/ORTM/ORTG/CRTV//Le réseau TV5 MONDE
« Le Jeu du coq et de la camera », Film de fin de Master de 8mn || Production Ardèche images année 2011.
« Le Cri de la Mer », film Documentaire de 26 mn qui porte sur la question de l’émigration clandestine à travers l’histoire des jeunes sénégalais qui tentent de rejoindre l’Espagne en traversant l’océan atlantique avec des pirogues. || Coproduction RTS /CIRTEF. Grand Prix, Prix du Meilleur film documentaire et Prix de la meilleure image au Festival de court métrage de Douala Cameroun / Le Djengou d’Argent 2eme Prix Documentaire au Beach Festival de Kribi Cameroun. Diffusé sur RTS/AFRICABLE/ORTM/ORTG/CRTV/Le réseau TV5 MONDE
« Papa », Un film Documentaire de 8 mn qui rend un hommage posthume à son père dans un poème filmée. || Coproduction Media centre année 2006 / GSRA Diffusé sur RTS/ /ORTM/ORTG/CRTV/RTBF/TV5 AFRIQUE. Prix du Meilleur film Documentaire Media 10.10 Belgique / 2eme Prix Documentaire Clap ivoire 2009 Cote d’Ivoire / Mention Spécial du jury au Festival Ajazeera Film Documentary Qatar
« Juste un bout de papier « , Documentaire de fin de formation de 17 mn sur Une algérienne sans papiers en France || Productions FEMIS année 2006
« Yakaar, Court Métrage Fiction de 16mn || Autoproduction année 2006.
« Gabil le pagne magique », Film documentaire de 26 minutes sur les tisseuses de pagne traditionnel en Casamance une région du Sénégal || Production : USOFORAL année 2005
Mention spéciale au Festival du quartier Dakar. Diffusé sur la RTS/ TV5 Afrique
-« Fisabillahi », Film Documentaire de 13 mn) sur l’exploitation des enfants talibés, || Production : LES PRODUCTIONS DU QUARTIER année 2003, Prix du public Prix du Meilleur documentaire Prix du jury au Festival du film de quartier de Dakar / Prix de la meilleur vidéo au Festival des vidéastes Francophone de Montréal 2004/ Prix du public au Festival Image et Vie (Dakar).
English
Senegalese Malian Film & TV Director.
She was born in 27/11/1979 in MERKSEM (Antwerpen, Belgium).
Senegalese nationality.
Her father is from Senegal and her mother from Mali.
She was born in 27/11/1979 in MERKSEM (Antwerpen, Belgium).
Senegalese nationality.
Her father is from Senegal and her mother from Mali.
Films(s)
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Rue des soeurs noires (La)Long-métrage – 2014Aïcha Thiam, l’auteur de ce film, est née à Anvers où elle a vécu jusqu’à l’âge de trois ans. Ses parents sont issus de l’ethnie peulh, peuple nomade et commerçant d’Afrique. Elle a grandi entre le Congo, le Mali et le S…Aïcha Thiam est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
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Cri de la Mer (Le)Court-métrage – 2008Le Cri de la Mer est le combat d’une mère, Yaye Bayam Diouf, qui a perdu son fils unique dans une pirogue en partance pour les Iles Canaries. Aujourd’hui à Thiaroye-sur-mer, son quartier, sa vie est consacré à la lutte c…Aïcha Thiam est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
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Papa…Court-métrage – 2006Sur une plage où j’ai l’habitude de me recuillir, je m’adresse à mon père. Dans un décor de mer, de ciel, de soleil, de nuages et de sable, j’évoque notre séparation et son retour. Par l’intermédiaire des objets que j’ai…Aïcha Thiam est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
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Gabil, le pagne magiqueCourt-métrage – 2005Voyage au cœur de la Casamance où des femmes nous font découvrir l’art de la confection du pagne Gabil. Réal : Aîcha ThiamAïcha Thiam est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
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Fi SabililahiCourt-métrage – 2003Les talibés, enfants des rues de Dakar. Ce court-métrage aborde le thème de l'exploitation des enfants forcés à la mendicité et de leurs conditions de vie dans les éco…Aïcha Thiam est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
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