Fiche Personne
Musique
Ricardo Vilas
Chanteur/euse, Auteur-compositeur/trice
Brésil

Français
Chanteur, compositeur, parolier, musicien, producteur musical et artistique, cet enfant d’Ipanema a puisé sur les plages de Rio, où il est né, ses mélodies pleines de tendresse et ses rythmes aux couleurs de soleil. Après avoir été poussé par la dictature à s’exiler au Mexique, puis en France et avoir monté le duo Teca et Ricardo – qui lui valu un tabac à l’Olympia aux côtés de Claude Nougaro et de Baden Powel – il rentra au Brésil où il occupa pendant plusieurs années le poste de directeur musical de la chaîne brésilienne Tv Globo. Ce magicien de l’acoustique étant un éternel mutant ne pouvant se limiter à cette seule occupation, il entame alors une carrière solo et s’adonne à de nouvelles expériences musicales.
Mais si la nostalgie des vagues d’Ipanema l’avait ramené au Brésil à la fin de la dictature, la nostalgie du pavé parisien va très vite l’amener à se partager entre le Brésil et la France et à devenir une sorte de liaison entre les deux pays. Créateur dans l’âme, épris de culture dans tous les sens du terme, il participe aussi à des publications et élabore un grand nombre de projets artistiques, aussi bien à Rio qu’à Paris. Boulimique de la composition et de la scène, ses nombreux disques, qui témoignent d’innombrables recherches musicales, sortent alors simultanément des deux côtés de l’atlantique et il se présente avec autant de succès sur les scènes de son Brésil natal, où il puise son immense énergie et son inspiration, que sur les scènes françaises. Ces compostions, d’une grande diversités et enrichies de paroles souvent engagées et toujours imprégnées de poésie ont su conquérir un public extrêmement éclectique sur les deux continents.
Après nous avoir entraîné, dans son dernier disque, à Ipanéma, quartier mytique de son enfance, Ricardo a choisi cette année de rentre hommage au Brésil et à la France, deux pays cher à son c?ur en invitant de vieux amis musiciens, Nicolas Krassic, Wagner Tisso et Vitor Biglione à participer à l’enregistrement de « Mon Cher ami ». A ses nouvelles compositions en portugais et en français, Ricardo a tenu à insérer quelques reprises des plus brésiliens des chanteurs français comme Bernard Laviller, Henri Salvador, ainsi que quelques versions françaises de classiques de la musique brésilienne signée Moustaki (Les eaux de mars), ou Stéphanie Malherbe (Mon Cher Ami). En hommage à Claude Nougaro, avec qui il a partagé la scène de l’Olympia dans les années 70, Ricardo a aussi tenu à réenregistrer « La statue de l’homme », une chanson composée avec son ami disparu?
Mais si la nostalgie des vagues d’Ipanema l’avait ramené au Brésil à la fin de la dictature, la nostalgie du pavé parisien va très vite l’amener à se partager entre le Brésil et la France et à devenir une sorte de liaison entre les deux pays. Créateur dans l’âme, épris de culture dans tous les sens du terme, il participe aussi à des publications et élabore un grand nombre de projets artistiques, aussi bien à Rio qu’à Paris. Boulimique de la composition et de la scène, ses nombreux disques, qui témoignent d’innombrables recherches musicales, sortent alors simultanément des deux côtés de l’atlantique et il se présente avec autant de succès sur les scènes de son Brésil natal, où il puise son immense énergie et son inspiration, que sur les scènes françaises. Ces compostions, d’une grande diversités et enrichies de paroles souvent engagées et toujours imprégnées de poésie ont su conquérir un public extrêmement éclectique sur les deux continents.
Après nous avoir entraîné, dans son dernier disque, à Ipanéma, quartier mytique de son enfance, Ricardo a choisi cette année de rentre hommage au Brésil et à la France, deux pays cher à son c?ur en invitant de vieux amis musiciens, Nicolas Krassic, Wagner Tisso et Vitor Biglione à participer à l’enregistrement de « Mon Cher ami ». A ses nouvelles compositions en portugais et en français, Ricardo a tenu à insérer quelques reprises des plus brésiliens des chanteurs français comme Bernard Laviller, Henri Salvador, ainsi que quelques versions françaises de classiques de la musique brésilienne signée Moustaki (Les eaux de mars), ou Stéphanie Malherbe (Mon Cher Ami). En hommage à Claude Nougaro, avec qui il a partagé la scène de l’Olympia dans les années 70, Ricardo a aussi tenu à réenregistrer « La statue de l’homme », une chanson composée avec son ami disparu?
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