Dans un passé récent, les extravagances outrancières de Hegel, tentaient de convaincre que les peuples noirs n’avaient fait qu’assister en spectateurs à la marche de l’histoire. Et pour enfoncer le clou, l’Africaniste anglais Basile Davidson de s’interroger dans le numéro d’octobre 1959 du Courrier de l’UNESCO : « Le Noir est-il un homme sans passé ? » Si de tels érudits versaient déjà dans les ténèbres du saugrenu, alors que dire des élucubrations stériles d’un homme d’Etat – peu sensible aux règles de la téranga sénégalaise -, qui argumentait le plus sérieusement du monde, sur les peuples africains, qui ne seraient « pas suffisamment entrés dans l’histoire » ? Sauf que l’histoire des peuples du continent noir a débuté bien avant celle du reste de l’humanité. Elle l’a tout simplement engendrée.
Du point de vue scientifique il est communément admis aujourd’hui, que tous les hommes qui peuplent notre planète ont une terre d’origine commune : l’Afrique. Ce qui sous-tend que nos ancêtres seraient bien apparus en Afrique noire, il y a quelques millions d’années ! Leur transformation de l’état de « primates » à celle d’humanoïdes puis d’êtres humains est due au hasard et aux effets de la sélection naturelle. Tout commence à partir de ce phénomène appelé Tectonique des plaques, qui va jouer un rôle déterminant dans la formation des continents mais, également, dans le processus d’hominisation. On sait que les plaques « dérivent » à la surface du manteau terrestre, lequel communique avec le magma qui constitue le noyau central de la terre. Et que les continents, au cours des âges géologiques, vont se morceler pour former des îles comme Gorée, l’archipel du Cap Vert et/ou des terres distinctes. Et que la vie « explosera » à la surface de ces terres. Ainsi, jusqu’au Crétacé soit, quelque 110 millions d’années, l’Europe et l’Amérique ne formaient qu’un continent : l’Euramérique ; puis, la montée des mers aidant, la première sera isolée de l’Amérique quoique restant toujours rattachée à l’Afrique. Bien des espèces avaient eu le temps de profiter de la liaison intercontinentale, pour s’installer en Europe et en Afrique. C’est ainsi qu’un étrange animal du nom de Purgatorus du Montana, un primate vivant dans les Montagnes Rocheuses, en profitait pour émigrer et s’adapter aux nouvelles conditions du milieu. Il laissera des traces sur la butte Montmartre, à Paris, où un descendant sera reconnu sous le nom d’Adapis parisiensis. Notre Adapis, soucieux sans doute d’échapper aux rudes conditions climatiques prévalant alors dans ces lieux, passera en Afrique où il évoluera. On l’y retrouve plus tard, bien changé, car la tête s’est arrondie et la queue s’est allongée. Il était en quelque sorte l’ancêtre des singes, dont le premier aura pour nom : Aegyptopithecus. Il y en a bien sûr d’autres, tels le Proconsul ou encore le Sivapithèque de l’Inde. Mais ce primate de 5 à 6 kg, exhumé au Fayoum en Egypte, sera l’un des « maillons » de départ du fil commun reliant les singes aux hommes. Passons sur la querelle des paléontologues et anthropologues quant à « l’ancêtre commun manquant » pour nous intéresser aux Australopithèques, c’est-à-dire les grands singes d’Afrique australe, chez qui se manifestera pour la première fois la nécessité d’évoluer. La dérive de l’Afrique vers le nord produit de nombreux phénomènes qui n’intéressent guère que le spécialiste. Notons toutefois que sa liaison avec l’Europe via l’Arabie facilitera les échanges de faunes et de flores.
Cette même dérive provoqua il y a environ sept millions d’années, un événement majeur dans l’histoire géologique du continent : l’effondrement et l’affaissement, sur quelque 4.000 m de profondeur, de la Vallée du Rift, dans l’Est africain et l’élévation de sa bordure. Cet accident naturel coupa l’Afrique en deux par une énorme faille géologique longue de 6.000 km, qui va de l’Éthiopie à la Tanzanie en passant par les hauts plateaux du Kenya. Le phénomène provoqua un important changement de climat à l’Est où la forêt cédera la place à la savane. Nombreuses furent les espèces d’Australopithèques retenues prisonnières dans l’est du continent où sévissait une sécheresse rude dans un milieu hostile. Leurs congénères restés de l’autre côté du rift continueront à vivre dans les mêmes conditions climatiques et avec les mêmes habitudes alimentaires. Ces espèces aux conditions de vie inchangées évolueront vers nos cousins actuels restés des singes. En revanche, pour les prisonniers du rift, allait s’appliquer le principe majeur de l’évolution darwinienne : s’adapter ou disparaître. En clair, leur devenir sera affaire de la sélection naturelle, de survivance du groupe le plus apte. Isolées dans les nouveaux biotopes, nombreuses seront les populations qui s’éteindront non sans permettre aux autres d’entamer leur « marche en avant », autrement dit, le processus d’hominisation qui aboutira avec succès à la survenance de nos ancêtres directs. Le trait principal de cette évolution vers l’hominisation est : perte de l’habitude de grimper aux arbres pour, se redressant progressivement sur leurs membres postérieurs, pratiquer la bipédie qui leur permettra d’éviter bien des dangers (prédateurs) et de mieux chasser. La première découverte d’un squelette préhominien quasi complet en Afrique (dans l’Afar, en Éthiopie), fut celle de Lucy qui est l’un des plus anciens fossiles connus de ce type. Pour la petite histoire, la « mutante ancestrale » fut baptisée de ce prénom, car, au moment de sa découverte, les paléontologues écoutaient la chanson des Beatles « Lucy in the sky with diamonds. » Cette femelle, qu’on peut qualifier de proto-humaine – dont l’appellation scientifique est Australopihecus afarensis -, était âgée d’une vingtaine d’années. Pesant de 20 à 25 kg, elle mesurait 1m 20 et aurait vécu il y a 3 200 000 ans. Cet « ancêtre africain direct ou indirect », qui précède d’un petit million d’années l’apparition des premiers hommes (Homo habilis, Homo ergaster, Homo erectus
), était incontestablement bipède car son bassin n’était pas celui d’un singe quoique son crâne fût bien celui d’un australopithèque arboricole. Ses habitudes alimentaires étaient déjà proches des nôtres. Lucy se nourrissait de fruits et de tubercules, et utilisait des outils primitifs en pierre. Toutes choses égales, cette petite personne (et son espèce) était jusqu’ici considérée comme l’un de nos plus lointains ancêtres sans qu’on sache, à vrai dire, lequel serait le « bon. », car Lucy n’a plus vraiment la cote. Le débat reste ouvert, depuis la découverte du « plus vieil hominidé » fossile nommé « Millenium ancestor », titre que lui ravissait Toumaï dont le crâne a été découvert au Tchad – toujours en Afrique noire -, par l’équipe du professeur Michel Brunet en 2001. Cet hominidé serait vieux, semble-t-il, de 7 millions d’années, son histoire reste cependant à affiner. Dans un premier temps, les paléontologues ont pensé que, du fait d’une importante sécheresse, Lucy, et probablement quelques-uns de ses contemporains voire prédécesseurs, aurait disparu sans laisser de descendance et qu’une suite d’hominidés plus adaptés aurait abouti à notre véritable ancêtre, l’Homo habilis. Apparu il y a 2 500 000 ans, l’Homo habilis a été découvert, sous sa forme fossile, par le Dr Leakey au bord du lac Turkana au Kenya.
Cet hominidé fabriquait des outils plus perfectionnés que ceux des Australopithèques et polissait le silex. L’Homo ergaster (« qui réalise l’homme »), son successeur direct en Afrique, préfigure la lignée des hommes. Ce successeur est l’Homo erectus (l’homme dressé.) Apparu en Afrique aux alentours de 1,8 millions d’années, on peut considérer l’erectus comme « l’Africain colonisateur de la planète » et fondateur des lignées humaines. Quittant le continent noir, Homo erectus se faufilera vers l’Europe et l’Asie par les détroits de Bab El Mandeb (d’où la Mer rouge s’ouvre vers l’Arabie), de Gibraltar et aussi par la Sicile. On retrouve ses traces en Afrique de l’Est, en Afrique du Nord, en Chine (où il vécut il y a 1 million d’années) et en Europe il y a 700.000 ans.
L’Homo erectus apprendra à perfectionner la taille de ses outils en pierre et à maîtriser le feu. Son descendant lointain, l’Homo sapiens (l’homme doté d’intelligence, l’homme sage
), sera le premier à enterrer ses morts contrairement à ses ancêtres qui les abandonnaient aux charognards. Apparu en Afrique il y a environ 100 000 ans, au Paléolithique supérieur, Homo sapiens est l’homme moderne par excellence, celui dont le cerveau atteindra 1300 cm3 en moyenne contre seulement 800 pour erectus. Il est l’ultime maillon de la chaîne du processus d’hominisation, c’est-à-dire nous. Il se caractérise par bien des points dont la transcription du langage, qui est déjà la première expression de la pensée. D’autres disent la grammaire c’est-à-dire non pas la reconnaissance des mots mais l’art de les combiner. Quant à son intelligence, elle lui a permis d’apprendre, d’accumuler le savoir et de le transmettre, pour finir par domestiquer et dominer son environnement. Notons que le pape Jean-Paul II – sans aucun doute un des plus courageux des souverains pontifes -, sera d’ailleurs le premier à comprendre que contrairement aux religions, la vérité scientifique n’est pas une question de croyances mais de faits prouvés. Le Saint homme a fini par reconnaître en 1996 devant l’Académie pontificale des Sciences, que la théorie de l’évolution est « Plus qu’une hypothèse », admettant ainsi que la piste d’Adam et Eve était devenue intenable. Toutefois, pour permettre aux créationnistes de maintenir la tête hors de l’eau, il a exploité la seule véritable faille de la théorie de l’évolution en ajoutant que : « Entre le règne animal et l’espèce humaine, il existe un saut fondamental que les processus évolutifs ne peuvent totalement décrire », en clair le fameux chaînon manquant. Pour autant toutes les études d’ADN prouvent, que l’homme et le chimpanzé avaient un même ancêtre commun il y a environ 7 millions d’années. On a aussi découvert qu’avec nos chers cousins chimpanzé, nous partageons beaucoup plus que cela, comme la bipédie, la culture, l’outil, la politique et même la sexualité pour le plaisir.
Pour le peuplement récent de la planète, il y a 50 000 ans, Homo sapiens s’installait déjà en Australie, en Asie mineure et en Extrême-Orient. Peuplant l’Europe il y a quelque 40.000 ans, sa migration en Amérique (via le détroit de Behring) en provenance d’Asie, aurait eu lieu il y a un peu moins de 30.000 ans. Les peuples américains longtemps qualifiés d’Indiens ou de « Peaux rouges » sont donc les descendants en ligne directe de l’Homo sapiens asiatique. Plus notre ancêtre commun s’éloignera de l’Afrique, son berceau natal, plus il devra s’adapter aux modes sociobiologiques imposés par son environnement. Ces facteurs le transformeront physiquement et d’une certaine manière, psychiquement. Au cours des millénaires, il devra donc faire face, ici et là, aux conditions écologiques et sociologiques, en particulier celles découlant du climat. On considère que son phénotype (ensemble des caractères physiques et psychologiques) subira bien des modifications. C’est ainsi qu’un long séjour sous des climats froids provoquera l’amincissement du nez et la disparition progressive de la mélanine – élément de pigmentation – en surface, pour laisser apparaître une peau dite blanche ou jaune. Car la couleur de la peau, des yeux, la couleur et la texture des cheveux comme la forme du nez, tout cela n’est que caractères adaptatifs secondaires dont la « chimie intérieure » est responsable bien entendu. Il est à présent certain que nous, les humains dotés de sapience, appartenons tous à une espèce unique quoique présentant des variations phénotypiques multiples. Autrement dit : notre parenté biologique ne fait aucun doute et cela en dépit des différences dont celles parfois qualifiées abusivement de « raciales. » A ce chapitre, de tout temps pour des raisons idéologiques ou politiques, des hommes se sont employés à leur donner une prétendue existence biologique et une classification en types déterminés. Cette manuvre fallacieuse tendait à crédibiliser l’existence de « races » différentes et hiérarchisées. Au XIXème siècle, la plupart des travaux entrepris par les paléontologues, qui étaient presque tous des médecins militaires coloniaux, tournaient autour de la théorie dite du Polycentrisme. Ceci pour ne trouver aucune parenté entre l’homme blanc, Indo-européen supérieur et les autres. Cette théorie voulait démontrer en clair, puisque des Homo erectus, ont peuplé presque en même temps l’Afrique, l’Europe et l’Asie, chacun avait son ancêtre et son évolution. Le processus de modernisation de l’homme (ou Sapientisation), se serait produit sur chaque continent, selon des facteurs culturels spécifiques à chaque peuple. Des « preuves scientifiques » furent même exhibées, comme l’homme de Piltdown – découvert dans le Sussex -, possible ancêtre de l’homme blanc, mais fabriqué par le géologue anglais Charles Dawson et que nombre de scientifiques considèrent aujourd’hui, comme la plus grande supercherie des deux derniers siècles. Toutes ces constructions incohérentes allaient être balayées par la Vallée de L’Homo dans l’Est africain, qui livrera ses secrets beaucoup plus tard. Les scientifiques allaient y découvrir la série la plus nombreuse, la plus complète et la plus continue des restes de nos plus lointains ancêtres. Ainsi parler de « différences », « d’infériorité » ou de « supériorité » raciale d’un groupe d’individus donné, comme l’ont suggéré bien des auteurs comme Gustave le Bon ou encore le comte de Gobineau, conduit à une impasse au plan de la science et induit des dangers bien plus grands. En fait, il n’existe aucune base véritablement biologique sur laquelle établir une classification générale des « races », sinon des signes particuliers, qui ne sont que des agrégats héréditaires des peuples habitant un lieu géographique donné, que les conditions de milieu ont façonné et qui leur sont propres. Précisons pour terminer qu’avec l’apparition d’une nouvelle discipline scientifique, née à partir des travaux du moine Mendel, la Génétique, les choses ont eu le temps de se déliter. Ainsi, dès 1931, Julian Huxley, zoologue de l’Université de Londres, se rend sur place en Afrique. Au terme de ses contacts avec les peuples du continent noir, il décida de rejeter au nom de la Génétique la notion de race. Ce terme étant de pure convenance et qui permet seulement d’appréhender la diversité humaine. Et Julian de suggérer le remplacement du concept de « race » par celui de « groupe ethnique », plus approprié. Ce concept définit une identité commune à partir de critères culturels, linguistiques, historiques, géographiques et participant d’une même civilisation.
Tous les groupes ethniques connus appartiennent à la seule race d’Homo sapiens que nous sommes. Et du fait du peuplement de la planète à partir de l’Afrique, les continents européen et asiatique ont été habités pendant longtemps par des hommes de type négroïde. Ce premier migrateur habitant de l’Europe, était l’Homme de Grimaldi. La différenciation ethnique et non « raciale », s’est effectuée en Europe, probablement en France méridionale et en Espagne, à la fin de la dernière glaciation würmienne entre – 40 000 ans et – 20 000 ans. Les négroïdes de Grimaldi ont laissé d’innombrables traces sur toute l’étendue de l’Europe et de l’Asie, depuis la presqu’île ibérique jusqu’au Lac Baïkal en Sibérie, passant par la France, l’Autriche, la Crimée et le bassin du Don. Dans ces deux dernières régions, le Professeur Gherassimov a identifié et confirmé le type négroïde des crânes trouvés dans le Moustérien moyen. Pour boucler la boucle quant au chapitre de la diversité ethnique, si des expériences ont permis de distinguer la race chevaline de la race canine, elles n’ont jamais permis d’établir une différence identique pour ce qui concerne les hommes, quels que soient leurs groupes ethniques ou leurs couleurs. Une équipe dirigée par le professeur Wilson a étudié à l’A.D.N, les Mitochondries chez plus d’une centaine de femmes d’ethnies différentes (Asiatiques, Européennes, Aborigènes, Africaines et Métisses issues de tous croisements.) Le résultat de ces travaux révèle la présence de plusieurs gènes que l’on ne retrouve en totalité que chez une femelle africaine, simple point de départ de la lignée commune. La Génétique a ainsi déraciné les préjugés raciaux de leur base biologique, pour rejoindre la paléontologie et constater scientifiquement, que la notion de race au pluriel est sans fondement chez les humains. Aussi, dans Histoire générale de l’Afrique, Tome 2, une étude réalisée par l’UNESCO et faisant désormais autorité sur la question se conclut ainsi : Les premiers hommes, étaient ethniquement homogènes et forcément négroïdes. « La Loi de Gloger », qui s’applique aussi à l’espèce humaine, veut que les organismes des animaux à sang chaud qui se développent sous un climat chaud et humide aient systématiquement une pigmentation noire (eumélanine.) Si l’humanité a pris naissance en Afrique, sous la latitude des Grands Lacs dans la vallée du Kenya, elle avait nécessairement une pigmentation noire dès l’origine. Aussi, l’Afrique berceau de l’humanité, est une réalité paléontologique et anthropologique. En outre, dès les premiers millénaires de l’histoire de l’humanité – notamment au cours des périodes paléolithique et néolithique, le rôle tenu par ses peuples fut aussi de tout premier ordre. Car passant de la préhistoire à l’histoire, nombre de peuples du continent noir – bien qu’usant de l’antique média de l’oralité -, ont mis sur pied des ensembles politiques, économiques et culturels des plus élaborés. L’Afrique a vu naître et s’épanouir des civilisations aussi prestigieuses que celle du Grand Zimbabwe qui fut la deuxième du continent, après celle de l’Égypte pharaonique, notamment en termes d’architecture. Cette civilisation aux constructions grandioses, fut bâtie par le peuple shona qui s’y implanta vers 400 avant notre ère. Ces vestiges témoignent visiblement, qu’il existait au sein de ce peuple noir, l’équivalent de mathématiciens, d’astronomes avertis – l’édifice jouit d’une orientation précise -, d’architectes doués ; d’ingénieurs en construction en pierres et en génie civil et d’urbanistes. Autres merveilles sont aussi les civilisations de la 25ème dynastie des pharaons noirs d’Egypte, de la Nubie, de l’Éthiopie, de Ghana, du Mali. Celles de Nok, d’Ikbo Ukwo, d’Ifé – au nord du Nigeria actuel – ont également livré pendant plus d’un millénaire, des chefs-d’uvre parmi les plus exceptionnels et surprenants connus à ce jour, meublant les plus grands musées et que recherchent encore les plus avertis des collectionneurs du monde entier. C’est là un apport inestimable de l’Afrique, au patrimoine historique de l’humanité. Alors, pourrait-on se demander, comment des peuples auraient pu engendrer la préhistoire de l’humanité et participer à l’évolution de son historique patrimoine futur, sans être « suffisamment entrés dans l’histoire » ? Puisque du point de vue strictement temporel, l’on peut affirmer sans risque de se tromper qu’au commencement était notre ancêtre l’Africain
Publié en partenariat avec [CulturesSud]///Article N° : 9833
4 commentaires
recherches tres impretionantes et instructives
Commenter le passage en insistant sur le peuplement de la terre et la différenciation raciale
Je suis ahuri par ce que je viens de lire. Les noirs africains n ont rien créé n ont rien inventé et non rien découvert. Cette propagande afrocentriste débile est juste le fruit d une haine du blanc que vous jalousez et d un complexe abyssal d infériorité. Mais tous les faits sont malheureusement là. La race blanche est la race dominante. C est pas de votre faute. C est pas de ma faute. C’est l hustoire.
Il faut lire le livre : Le contrat raciale, ça vous permettra de comprendre d’où vous vient votre complexe de supériorité décomplexé et vos idioties.