Festival International Jean Rouch 2010 (29ème Bilan du Film Ethnographique)
29ème édition
Français
Du 27 mars au 5 avril 2010
Au Muséum National d’Histoire Naturelle
Salle de cinéma : Grande Galerie de l’Evolution – Auditorium
www.comite-film-ethno.net
www.mnhn.fr
Le développement important du cinéma ethnologique a conduit à la création en France d’un festival qui lui est uniquement consacré. Sous l’impulsion de Jean Rouch, est inauguré en 1982 le Bilan du film ethnographique qui reste jusqu’à présent le seul événement de cet ordre en France. Organisé depuis 29 ans, il présente les tendances les plus originales de l’anthropologie audiovisuelle dans le monde et près de 1 250 films y ont été projetés. Cette manifestation dont le rayonnement n’a cessé de croître est devenue aujourd’hui l’une des plus importantes sur le plan international.
En 2008, en hommage à son fondateur, le Bilan du film ethnographique est devenu : Festival International Jean Rouch. Ce fut l’occasion d’une réorganisation en profondeur des différentes phases de préparation de la manifestation et la création d’une direction artistique du festival. Un comité international issu de l’audiovisuel et de la recherche sélectionne les films.
Cette manifestation de référence, organisée en partenariat avec le CNRS Images et le Muséum national d’Histoire naturelle, s’adresse aux productions de documentaires de création à caractère anthropologique qui tentent de rendre compte des différentes manières qu’ont les êtres humains de vivre leurs sociétés. Le festival accorde une grande importance aux innovations aussi bien thématiques que formelles. Une attention particulière est portée à la production de films issus des différentes écoles de cinéma documentaire ainsi qu’à la relation du réel avec la fiction. Chaque séance de projection est suivie d’un débat avec les réalisateurs présents.
Compétition internationale : vingt-sept films produits de 2008 à 2010, souvent inédits en France, concourent pour les prix suivants :
– Grand prix Nanook – Jean Rouch (CNRS Images : 1 500 €)
– Prix Mario Ruspoli (Direction du Livre et de la Lecture, Ministère de la Culture : 1 000 € et diffusion du film dans les réseaux de lecture publique)
– Prix du Patrimoine Culturel Immatériel (Mission du patrimoine, Ministère de la Culture : 1 000 €)
– Prix Bartok (Société Française d’Ethnomusicologie : 1 000 €)
– Prix Fatumbi – décerné à un premier film d’anthropologie – (Société Française d’Anthropologie Visuelle : 500 €)
Carte blanche au CNRS Images et aux Ateliers Varan
En ouverture de la manifestation, le samedi 27 mars, le CNRS Images programmera dans le cadre de sa Carte Blanche une sélection de documentaires anthropologiques récemment produits.
Le dimanche 28 mars, Séverin Blanchet et en présence de réalisateurs afghans, présentera une rétrospective de films réalisés dans le cadre des ateliers Varan à Kaboul qu’il anime depuis 2006.
Organisation du festival :
Pierre Lamarque, directeur artistique du festival, anthropologue et cinéaste.
Françoise Foucault, secrétaire générale du Comité du film ethnographique.
Laurent Pellé, coordinateur.
Silvia Guido, presse et communication.
Au Muséum National d’Histoire Naturelle
Salle de cinéma : Grande Galerie de l’Evolution – Auditorium
www.comite-film-ethno.net
www.mnhn.fr
Le développement important du cinéma ethnologique a conduit à la création en France d’un festival qui lui est uniquement consacré. Sous l’impulsion de Jean Rouch, est inauguré en 1982 le Bilan du film ethnographique qui reste jusqu’à présent le seul événement de cet ordre en France. Organisé depuis 29 ans, il présente les tendances les plus originales de l’anthropologie audiovisuelle dans le monde et près de 1 250 films y ont été projetés. Cette manifestation dont le rayonnement n’a cessé de croître est devenue aujourd’hui l’une des plus importantes sur le plan international.
En 2008, en hommage à son fondateur, le Bilan du film ethnographique est devenu : Festival International Jean Rouch. Ce fut l’occasion d’une réorganisation en profondeur des différentes phases de préparation de la manifestation et la création d’une direction artistique du festival. Un comité international issu de l’audiovisuel et de la recherche sélectionne les films.
Cette manifestation de référence, organisée en partenariat avec le CNRS Images et le Muséum national d’Histoire naturelle, s’adresse aux productions de documentaires de création à caractère anthropologique qui tentent de rendre compte des différentes manières qu’ont les êtres humains de vivre leurs sociétés. Le festival accorde une grande importance aux innovations aussi bien thématiques que formelles. Une attention particulière est portée à la production de films issus des différentes écoles de cinéma documentaire ainsi qu’à la relation du réel avec la fiction. Chaque séance de projection est suivie d’un débat avec les réalisateurs présents.
Compétition internationale : vingt-sept films produits de 2008 à 2010, souvent inédits en France, concourent pour les prix suivants :
– Grand prix Nanook – Jean Rouch (CNRS Images : 1 500 €)
– Prix Mario Ruspoli (Direction du Livre et de la Lecture, Ministère de la Culture : 1 000 € et diffusion du film dans les réseaux de lecture publique)
– Prix du Patrimoine Culturel Immatériel (Mission du patrimoine, Ministère de la Culture : 1 000 €)
– Prix Bartok (Société Française d’Ethnomusicologie : 1 000 €)
– Prix Fatumbi – décerné à un premier film d’anthropologie – (Société Française d’Anthropologie Visuelle : 500 €)
Carte blanche au CNRS Images et aux Ateliers Varan
En ouverture de la manifestation, le samedi 27 mars, le CNRS Images programmera dans le cadre de sa Carte Blanche une sélection de documentaires anthropologiques récemment produits.
Le dimanche 28 mars, Séverin Blanchet et en présence de réalisateurs afghans, présentera une rétrospective de films réalisés dans le cadre des ateliers Varan à Kaboul qu’il anime depuis 2006.
Organisation du festival :
Pierre Lamarque, directeur artistique du festival, anthropologue et cinéaste.
Françoise Foucault, secrétaire générale du Comité du film ethnographique.
Laurent Pellé, coordinateur.
Silvia Guido, presse et communication.
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