Fiche Film
Cinéma/TV
COURT Métrage | 2013
Sur la rive
Pays concerné : Sénégal
Durée : 26 minutes
Genre : société
Type : documentaire
Français
Sans commentaire, le vécu quotidien et les problèmes économiques des pêcheurs de la rive du fleuve Sénégal à St Louis.
Film de fin d’étude du master 2 de réalisation de documentaire de création de l’université Gaston Berger de St Louis du Sénégal, promotion 2012-2013.
« Un grand panoramique débute Sur la rive de Mariama Sy, plongée dans le quotidien des pêcheurs de la langue de Barbarie, ce coin de terre serré entre le fleuve Sénégal et l’Atlantique où la densité de population est une des plus fortes au monde. Les dangers de la mer et des tourbillons de ce passage mouvant qu’est la « brêche », la concurrence effrontée des chalutiers étrangers qui renversent les pirogues, le maigre revenu et les dépendances multiples, la rude négociation des femmes du marché sur le prix du poisson… tout cela est passionnant et bien filmé, sans une once d’exotisme. Il manquerait un fil narratif, peut-être lié à une personne plutôt que de ne suivre que les activités et l’exposition des enjeux, pour relier le tout dans la progression d’un récit, mais en égrenant les problèmes et défis des pêcheurs, le film rend admirablement compte du réel socio-économique d’une profession. »
Olivier Barlet, Africultures
Film de fin d’étude du master 2 de réalisation de documentaire de création de l’université Gaston Berger de St Louis du Sénégal, promotion 2012-2013.
« Un grand panoramique débute Sur la rive de Mariama Sy, plongée dans le quotidien des pêcheurs de la langue de Barbarie, ce coin de terre serré entre le fleuve Sénégal et l’Atlantique où la densité de population est une des plus fortes au monde. Les dangers de la mer et des tourbillons de ce passage mouvant qu’est la « brêche », la concurrence effrontée des chalutiers étrangers qui renversent les pirogues, le maigre revenu et les dépendances multiples, la rude négociation des femmes du marché sur le prix du poisson… tout cela est passionnant et bien filmé, sans une once d’exotisme. Il manquerait un fil narratif, peut-être lié à une personne plutôt que de ne suivre que les activités et l’exposition des enjeux, pour relier le tout dans la progression d’un récit, mais en égrenant les problèmes et défis des pêcheurs, le film rend admirablement compte du réel socio-économique d’une profession. »
Olivier Barlet, Africultures
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