Murmures
Projection inaugurale du Fespaco
mars 2011 | Inaugurations | Cinéma/TV | Burkina Faso
Source : lepays.bf
© fespaco 2011
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« Un pas en avant – les dessous de la corruption » du Béninois Sylvestre Amoussou retenu
Les travaux des jurys dans le cadre des compétitions officielles de la 22e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) ont été officiellement ouverts le 27 février 2011 par la projection du film inaugural. Il s’agit du long métrage, « Un pas en avant – les dessous de la corruption », du réalisateur-comédien béninois Sylvestre Amoussou qui a été retenu pour l’ouverture des activités professionnelles. Placée sous la présidence de Tertius Zongo, Premier ministre burkinabè, cette séance a connu la participation de beaucoup de cinéastes et de comédiens dont le réalisateur et acteur principal du film, ainsi que d’autres acteurs ayant incarné des rôles dans ce film.
Ce chef-d’œuvre d’une heure quarante-cinq minutes, sixième film en compétition au FESPACO de Sylvestre Amoussou, est une parfaite illustration de l’œuvre de dénonciation et de combat de la corruption. C’est donc une fiction inspirée des nombreuses réalités en la matière, mettant à nu la mascarade d’individus sans scrupule qui prétendent œuvrer pour l’humanitaire.
Selon Sylvestre Amoussou, réalisateur et acteur principal « C’est une très grande émotion pour moi parce que c’est la première fois que je diffuse le film. Ce film pose des questions, des sujets de société, sans prétendre y apporter des solutions. Il ouvre donc le débat parce que même si la corruption est mondiale, elle est un frein au développement de l’Afrique. Les gens vont rigoler en regardant les séquences du film en disant que c’est du cinéma, mais il y a une part de vérité dans ce qui est traduit par le film. »
Extraits de l’article de Juste PATOIN du Pays publié le 2 mars 2011
Lire l’intégralité sur : [ici]
Ce chef-d’œuvre d’une heure quarante-cinq minutes, sixième film en compétition au FESPACO de Sylvestre Amoussou, est une parfaite illustration de l’œuvre de dénonciation et de combat de la corruption. C’est donc une fiction inspirée des nombreuses réalités en la matière, mettant à nu la mascarade d’individus sans scrupule qui prétendent œuvrer pour l’humanitaire.
Selon Sylvestre Amoussou, réalisateur et acteur principal « C’est une très grande émotion pour moi parce que c’est la première fois que je diffuse le film. Ce film pose des questions, des sujets de société, sans prétendre y apporter des solutions. Il ouvre donc le débat parce que même si la corruption est mondiale, elle est un frein au développement de l’Afrique. Les gens vont rigoler en regardant les séquences du film en disant que c’est du cinéma, mais il y a une part de vérité dans ce qui est traduit par le film. »
Extraits de l’article de Juste PATOIN du Pays publié le 2 mars 2011
Lire l’intégralité sur : [ici]
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