Fiche Personne
Cinéma/TV
André Gladu
Réalisateur/trice
Canada

Français
Après des études en communication graphique à l’École des beaux-arts de Montréal, puis au London College of Printing, en Angleterre, André Gladu se rend à New York, pour parfaire sa formation au School of Visual Arts. Il s’initie ensuite au cinéma, à la radio et à la télévision, à l’Université Columbia.
En 1971, André Gladu réalise son premier film à l’Office national du film du Canada, Le reel du pendu, un documentaire sur la musique traditionnelle des francophones en Amérique. De 1974 à 1979, il nous revient avec Le son des Français d’Amérique, une série de 27 films produits pour Radio- Canada, traitant de l’histoire et des traditions musicales des différentes communautés francophones en Amérique (coréalisée avec Michel Brault). Par la suite, il signe deux documentaires traitant de la meunerie à vent, La Pointe du moulin (1979) et Les dompteurs de vent (1981), puis deux films présentant des peintres importants dans l’histoire de l’art québécois, Marc- Aurèle Fortin, 1888-1970 (1983) et Pellan (1985).
Poussant encore plus à fond son intérêt pour les cultures traditionnelles d’Amérique, André Gladu part ensuite à la découverte des musiques nées sur les rives du Mississipi, dans le sud des États- Unis. Il y réalise plusieurs documentaires : Zarico (1984), Noah (1985), Liberty Street Blues (1986) et Snooks (1993).
De retour au Québec, il réalise le court métrage Gilles Vigneault : portager le rêve (1993), pour enchaîner avec Gaston Miron : les outils du poète (1994) et Le feu sacré (1995), film faisant découvrir l’École nationale du cirque. En 1996, afin de souligner les 100 ans du cinéma québécois, André Gladu réalise, en coproduction avec l’Office national du film, La conquête du grand écran.
Assumant ensuite la direction du Studio Culture et Expérimentation ACIC de l’ONF, de 1997 à 2002, le producteur André Gladu y apporte sa vision personnelle doublée d’une expérience de plus de 25 ans en tant que réalisateur et pédagogue. Il y produit, entre autres, les films d’un des grands documentaristes actuels, Serge Giguère, Le reel du mégaphone et Suzor Coté, les films de la collection Libres courts, premières oeuvres de sept jeunes cinéastes, ainsi que Femmes et religieuses, de Lucie Lachapelle ; La danse du guerrier, de Marie Brodeur; Voyage au nord du monde, et Bacon, le film, de Hugo Latulippe ; Aviature, de Bruno Boulianne ; René Dumont : l’homme-siècle, de Richard D. Lavoie ; et le tout dernier film de Iolande Cadrin-Rossignol, Hubert Reeves, conteur d’étoiles. Il prépare ensuite, à titre de cinéaste-résident de l’ONF, une série télé sur les peuples francophones d’Amérique du Nord : La piste Amérique.
En 1971, André Gladu réalise son premier film à l’Office national du film du Canada, Le reel du pendu, un documentaire sur la musique traditionnelle des francophones en Amérique. De 1974 à 1979, il nous revient avec Le son des Français d’Amérique, une série de 27 films produits pour Radio- Canada, traitant de l’histoire et des traditions musicales des différentes communautés francophones en Amérique (coréalisée avec Michel Brault). Par la suite, il signe deux documentaires traitant de la meunerie à vent, La Pointe du moulin (1979) et Les dompteurs de vent (1981), puis deux films présentant des peintres importants dans l’histoire de l’art québécois, Marc- Aurèle Fortin, 1888-1970 (1983) et Pellan (1985).
Poussant encore plus à fond son intérêt pour les cultures traditionnelles d’Amérique, André Gladu part ensuite à la découverte des musiques nées sur les rives du Mississipi, dans le sud des États- Unis. Il y réalise plusieurs documentaires : Zarico (1984), Noah (1985), Liberty Street Blues (1986) et Snooks (1993).
De retour au Québec, il réalise le court métrage Gilles Vigneault : portager le rêve (1993), pour enchaîner avec Gaston Miron : les outils du poète (1994) et Le feu sacré (1995), film faisant découvrir l’École nationale du cirque. En 1996, afin de souligner les 100 ans du cinéma québécois, André Gladu réalise, en coproduction avec l’Office national du film, La conquête du grand écran.
Assumant ensuite la direction du Studio Culture et Expérimentation ACIC de l’ONF, de 1997 à 2002, le producteur André Gladu y apporte sa vision personnelle doublée d’une expérience de plus de 25 ans en tant que réalisateur et pédagogue. Il y produit, entre autres, les films d’un des grands documentaristes actuels, Serge Giguère, Le reel du mégaphone et Suzor Coté, les films de la collection Libres courts, premières oeuvres de sept jeunes cinéastes, ainsi que Femmes et religieuses, de Lucie Lachapelle ; La danse du guerrier, de Marie Brodeur; Voyage au nord du monde, et Bacon, le film, de Hugo Latulippe ; Aviature, de Bruno Boulianne ; René Dumont : l’homme-siècle, de Richard D. Lavoie ; et le tout dernier film de Iolande Cadrin-Rossignol, Hubert Reeves, conteur d’étoiles. Il prépare ensuite, à titre de cinéaste-résident de l’ONF, une série télé sur les peuples francophones d’Amérique du Nord : La piste Amérique.
Films(s)
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Liberty street bluesLong-métrage – 1986Liberty Street Blues célèbre le rythme et la joie profonde de gens dont les racines remontent au temps de l’esclavage. Un tour de la Nouvelle-Orléans, berceau du jazz moderne. Déambulez dans les ruelles en compagnie du p…André Gladu est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
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ZaricoMoyen-métrage – 1984Zarico est la musique populaire distincte de la culture créole noire francophone du sud-ouest de la Louisiane. Ce film retrace les pas de la population créole, pour en suivre les diverses influences musicales et le dével…André Gladu est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
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