Fiche Personne
Musique
Théâtre
Cinéma/TV
Danse
Désiré Écaré
Réalisateur/trice, Acteur/trice, Producteur/trice, Scénariste
Côte d’Ivoire
© courtesy ASCAD
Français
Réalisateur, scénariste, acteur, metteur en scène ivoirien.
Niamkey Désiré ÉCARÉ est un réalisateur, scénariste, acteur, metteur en scène.
Nom : ÉCARÉ
Prénoms : Niamkey Désiré
Né le 15 Avril 1939 à Abidjan – Treichville
Divorcé, deux (02) enfants
08 BP 1151 Abidjan 08.
Niamkey Désiré ÉCARÉ (de son vrai nom EKRARY, selon La Semaine de la Critique 1970) est né en 1939 à Abidjan (Côte d’ivoire). Etudes de théâtre, I.D.H.E.C. Plusieurs métiers et actuellement (en 1985) restaurateur.
Il a réalisé « Concerto pour un exil » (1967, C.M.), « A nous deux France (ou Femme noire, femme nue) » (1970, long métrage), « Visages de femmes » (1985).
Né le 15 avril 1939 à Treichville, en Côte d’Ivoire, Désiré Écaré quitte son pays pour la France en 1961. Après avoir brillamment étudié au Centre d’art dramatique de la rue Blanche – aujourd’hui Ensatt-, il intègre en 1965 l’Idhec, où il obtient un diplôme de réalisateur-producteur. À sa sortie de l’école, il tourne deux moyens métrages : Concerto pour un exil (1968) et À nous deux, France (1970).
Visages de femmes est sa première réalisation en Afrique, tournée avec des comédiens amateurs, éclatants de sincérité. Pour trouver le financement nécessaire à sa production, le cinéaste réalise des films de commande et exerce plusieurs métiers (fonctionnaire, éleveur, restaurateur…). Il commence le tournage en 1973, mais est contraint de l’interrompre par manque de budget : il lui faudra ainsi plus de dix ans pour terminer son film.
En juxtaposant les récits de ses trois héroïnes, liés par des chants et des danses traditionnels, Désiré Écaré montre la quête de liberté et d’indépendance de ces femmes africaines dans une société qui les relègue toujours au second plan ; il témoigne de leur entêtement, alors que tant d’obstacles se dressent, à conquérir la place qu’elles méritent, en milieu urbain comme rural.
Il était membre de l’Académie des sciences des arts, des cultures d’Afrique et des Diasporas Africaines (ASCAD), Société savante indépendante ivoirienne.
Formation
Après avoir vécu son enfance en Côte d’Ivoire, Désiré Ecaré gagne la France en 1961 pour y passer son bac et suivre des cours de théâtre. Entré au Centre d’art dramatique, il en sort deux ans plus tard auréolé d’un deuxième prix d’art dramatique et intègre l’IDHEC. Son diplôme en poche, Désiré Ecare se lance dans la réalisation tout en poursuivant une carrière d’acteur au théâtre (La Tragédie du roi Christophe, L’Exception et la Règle).
Carrière au cinéma
Dès sa première mise en scène, Concerto pour un exil (1968), un moyen métrage sur la vie des étudiants africains à Paris, Désiré Ecare fait mouche et remporte le grand prix du Jeune Cinéma à Hyères. Dans son premier long métrage, A nous deux la France (1969), le cinéaste reprend la même démarche et dresse le portrait non plus seulement d’hommes, mais d’une femme noire désireuse de rivaliser avec les Parisiennes. Avec cette comédie satirique empreinte de légèreté, Désiré Ecare prouve une nouvelle fois son talent. Rentré en Afrique, le réalisateur doit attendre quinze ans pour mener à terme son troisième film, faute de moyens techniques et financiers. Visages de femmes (1985), également écrit et produit par le cinéaste, se divise en trois parties reliées entre elles par des chants et des danses. Hommage à la femme africaine, le film fait pourtant scandale en Afrique. Très applaudi en France, il obtient le prix Fipresci au festival de Cannes, en 1985.
Autres activités
Il a joué dans Rapport pour une Académie de Kafka à la Biennale de Paris, dans une mise en scène de Berenetti.
Décès
Lundi 16 février 2008 à Abidjan (Côte d’Ivoire)
Le Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, a assisté à la levée du corps.
Désiré Niamkey Ecaré est enterré au cimetière de Grand Brassam.
Filmographie
Courts métrages
en tant que : Réalisateur
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
1969 – Femme nue, femme noire = A nous deux, France – Désiré Ecare
en tant que : Scénariste
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
1969 – Femme nue, femme noire = A nous deux, France – Désiré Ecare
en tant que : Dialoguiste
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
en tant que : Auteur du commentaire
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
en tant que : Monteur
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
Longs métrages
en tant que : Réalisateur
1985 – Visages de femmes – Désiré Ecare
avec Eugénie Cissé Roland, Sidiki Bakaba, Albertine N’Guessan, Kouadio Brou, Mahile Véronique
en tant que : Scénariste
1985 – Visages de femmes – Désiré Ecare
en tant que : Producteur
1985 – Visages de femmes – Désiré Ecare
Ouvrages
– Black African cinema / Nwachukwu Frank Ukadike. – Berkeley : University of California press, 1994
– Le cinéma africain : des origines à 1973. ; T. 1 / Vieyra Paulin Soumanou. – Paris : Présence Africaine, 1975
– Le cinéma en Côte d’Ivoire / Victor Bachy. – Bruxelles : OCIC, 1982
– Les cinémas d’Afrique noire : le regard en question / Olivier Barlet. – Paris ; Montréal (Qc) : L’Harmattan, 1996
– Twenty-five black african filmmakers : a critical study with filmography and bio-bibliography [Biographie] / Françoise Pfaff. – New-York ; Westport ; London : Greenwood Press, 1988
Périodiques
– Avant-Scène Cinéma (L’), n° 134, mars 1973
– Cahiers du Cinéma (Les), n° 203, août 1968
– Ciné 71, n° 152, janvier 1971
– Cinéma 70, n° 142, janvier 1970
– Cinéma 70, n° 147, juin 1970
– Cinéma Québec, vol. 3, n° 9-10, août 1974
– CinémAction, n° 26, janvier 1983
– Filmcritica, n° 193, décembre 1968
– Jeune Cinéma, n° 168, juillet-août 1985
– Jeune Cinéma, n° 34, novembre 1968
– Lettres Françaises (Les), n° 1302, 1 octobre 1969
– Nosferatu : Revista de Cine, n° 30, avril 1999
– Positif, n° 97, juillet 1968
– Téléciné, n° 167, décembre 1970
– Téléciné, n° 176, janvier 1973
– Unir Cinéma : revue du cinéma africain (Saint-Louis, Sénégal), n° 18, mai-juin 1985
– Unir Cinéma : revue du cinéma africain (Saint-Louis, Sénégal), n° 19, juillet-août 1985
DIPLÔMES
– Baccalauréat série sciences expérimentales au lycée Diderot de Paris (1962) ;
– Diplôme de fin d’Etudes de l’Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (section Réalisation-production) sujet du Mémoire : Cinéma et Art Nègre), (1966) ;
– DEA à l’Université Paris IV (Art et Archéologie) (1983).
FONCTIONS
– Joue ‘’NOE » d’André Obey (rôle de Noé) à l’hôtel de ville D’Abidjan, (1960) ;
– Ecole Nationale de Théâtre Abidjan sous la Direction de Mme Jacqueline JA-GUROCHE, (1960-1961) ;
– Joue ‘’Papa bon Dieu » de Louis Sapin (rôle de Papa bon Dieu) A l’hôtel de ville d’Abidjan, (1961) ;
– ‘’On passe dans huit jours » de Guitry (cie Mona Sangor) (1962)
– Reprise à Paris de ‘’l’Exception et la règle » de Brecht au Pavillon de Marsan (Cie Jean-Marie Serreau) rôle du juge Création de ‘’Rapport pour une Académie » de Kaf-ka (Biennale de Paris) (1962-1967) ;
– Création de ‘’La Tragédie du roi Christophe » (Cie Jean-Marie Serreau) à Salzbourg, puis à Venise, Berlin, Bruxelles (1963) ;
– Organise à la télévision une dramatique ‘’La Femme et L’Amour ‘’ (Scénario, réalisa-tion, interprétation) Désiré ECARE Joue ‘’On Passe dans huit jours »de Guitry au centre culturel français(1963) ;
– Au Théâtre Odéon de France, Rôle du leader de l’opposition, du vieillard, du prési-dent duConseil d’école, du soldat etc.… Paris, (1964, 1965) ;
– Plusieurs dramatiques à l’Ocra, 45 rue d’Amsterdam Paris (1965) ;
– Conseiller Technique auprès du Ministre du Tourisme (Loua DIOMANDE) (1970) ;
– Mis à la disposition du Ministre de l’Education Nationale, (1970) ;
– Conseiller Technique auprès du Ministre d’Etat Chargé du Tourisme (EKRA Mathieu) (1971) ;
– Membre du Conseil National de la Communication Audiovisuel (Octobre 1995-1997).
DISTINCTIONS
– Deuxième prix du Centre d’Art Dramatique à Paris (1963)
PUBLICATIONS
Monsieur ECARE DESIRE compte à son actif cinq (05) films dont il est auteur.
– ‘’Concerto pour un exil » (premier film) première réalisation Sélectionnée pour la semaine internationale de la critique Festival de Cannes(1968) ;
– ‘’A nous deux France » ou femme Noire (2ème film) Prix spécial du jury à Hyères (1970) ;
– Castigat Ridendo Mores (corriger les mœurs en riant) film Inachevé (3ème film) (1977) ;
– prochain film indépendance ChaCha (5ème film) (1974) ;
– Visage de Femme (4ème film) (1984).
Source :
* Bifi
* www.ascad.ci/web/membreascad/monsieur-ecare-niamkey-dsir141/2
* www.semainedelacritique.com/fr/realisateurs/desire-ecare
* www.festival-lumiere.org/manifestations/visages-de-femmes.html (Festival Lumière 2021, Lyon)
Niamkey Désiré ÉCARÉ est un réalisateur, scénariste, acteur, metteur en scène.
Nom : ÉCARÉ
Prénoms : Niamkey Désiré
Né le 15 Avril 1939 à Abidjan – Treichville
Divorcé, deux (02) enfants
08 BP 1151 Abidjan 08.
Niamkey Désiré ÉCARÉ (de son vrai nom EKRARY, selon La Semaine de la Critique 1970) est né en 1939 à Abidjan (Côte d’ivoire). Etudes de théâtre, I.D.H.E.C. Plusieurs métiers et actuellement (en 1985) restaurateur.
Il a réalisé « Concerto pour un exil » (1967, C.M.), « A nous deux France (ou Femme noire, femme nue) » (1970, long métrage), « Visages de femmes » (1985).
Né le 15 avril 1939 à Treichville, en Côte d’Ivoire, Désiré Écaré quitte son pays pour la France en 1961. Après avoir brillamment étudié au Centre d’art dramatique de la rue Blanche – aujourd’hui Ensatt-, il intègre en 1965 l’Idhec, où il obtient un diplôme de réalisateur-producteur. À sa sortie de l’école, il tourne deux moyens métrages : Concerto pour un exil (1968) et À nous deux, France (1970).
Visages de femmes est sa première réalisation en Afrique, tournée avec des comédiens amateurs, éclatants de sincérité. Pour trouver le financement nécessaire à sa production, le cinéaste réalise des films de commande et exerce plusieurs métiers (fonctionnaire, éleveur, restaurateur…). Il commence le tournage en 1973, mais est contraint de l’interrompre par manque de budget : il lui faudra ainsi plus de dix ans pour terminer son film.
En juxtaposant les récits de ses trois héroïnes, liés par des chants et des danses traditionnels, Désiré Écaré montre la quête de liberté et d’indépendance de ces femmes africaines dans une société qui les relègue toujours au second plan ; il témoigne de leur entêtement, alors que tant d’obstacles se dressent, à conquérir la place qu’elles méritent, en milieu urbain comme rural.
Il était membre de l’Académie des sciences des arts, des cultures d’Afrique et des Diasporas Africaines (ASCAD), Société savante indépendante ivoirienne.
Formation
Après avoir vécu son enfance en Côte d’Ivoire, Désiré Ecaré gagne la France en 1961 pour y passer son bac et suivre des cours de théâtre. Entré au Centre d’art dramatique, il en sort deux ans plus tard auréolé d’un deuxième prix d’art dramatique et intègre l’IDHEC. Son diplôme en poche, Désiré Ecare se lance dans la réalisation tout en poursuivant une carrière d’acteur au théâtre (La Tragédie du roi Christophe, L’Exception et la Règle).
Carrière au cinéma
Dès sa première mise en scène, Concerto pour un exil (1968), un moyen métrage sur la vie des étudiants africains à Paris, Désiré Ecare fait mouche et remporte le grand prix du Jeune Cinéma à Hyères. Dans son premier long métrage, A nous deux la France (1969), le cinéaste reprend la même démarche et dresse le portrait non plus seulement d’hommes, mais d’une femme noire désireuse de rivaliser avec les Parisiennes. Avec cette comédie satirique empreinte de légèreté, Désiré Ecare prouve une nouvelle fois son talent. Rentré en Afrique, le réalisateur doit attendre quinze ans pour mener à terme son troisième film, faute de moyens techniques et financiers. Visages de femmes (1985), également écrit et produit par le cinéaste, se divise en trois parties reliées entre elles par des chants et des danses. Hommage à la femme africaine, le film fait pourtant scandale en Afrique. Très applaudi en France, il obtient le prix Fipresci au festival de Cannes, en 1985.
Autres activités
Il a joué dans Rapport pour une Académie de Kafka à la Biennale de Paris, dans une mise en scène de Berenetti.
Décès
Lundi 16 février 2008 à Abidjan (Côte d’Ivoire)
Le Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, a assisté à la levée du corps.
Désiré Niamkey Ecaré est enterré au cimetière de Grand Brassam.
Filmographie
Courts métrages
en tant que : Réalisateur
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
1969 – Femme nue, femme noire = A nous deux, France – Désiré Ecare
en tant que : Scénariste
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
1969 – Femme nue, femme noire = A nous deux, France – Désiré Ecare
en tant que : Dialoguiste
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
en tant que : Auteur du commentaire
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
en tant que : Monteur
1967 – Concerto pour un exil – Désiré Ecare
Longs métrages
en tant que : Réalisateur
1985 – Visages de femmes – Désiré Ecare
avec Eugénie Cissé Roland, Sidiki Bakaba, Albertine N’Guessan, Kouadio Brou, Mahile Véronique
en tant que : Scénariste
1985 – Visages de femmes – Désiré Ecare
en tant que : Producteur
1985 – Visages de femmes – Désiré Ecare
Ouvrages
– Black African cinema / Nwachukwu Frank Ukadike. – Berkeley : University of California press, 1994
– Le cinéma africain : des origines à 1973. ; T. 1 / Vieyra Paulin Soumanou. – Paris : Présence Africaine, 1975
– Le cinéma en Côte d’Ivoire / Victor Bachy. – Bruxelles : OCIC, 1982
– Les cinémas d’Afrique noire : le regard en question / Olivier Barlet. – Paris ; Montréal (Qc) : L’Harmattan, 1996
– Twenty-five black african filmmakers : a critical study with filmography and bio-bibliography [Biographie] / Françoise Pfaff. – New-York ; Westport ; London : Greenwood Press, 1988
Périodiques
– Avant-Scène Cinéma (L’), n° 134, mars 1973
– Cahiers du Cinéma (Les), n° 203, août 1968
– Ciné 71, n° 152, janvier 1971
– Cinéma 70, n° 142, janvier 1970
– Cinéma 70, n° 147, juin 1970
– Cinéma Québec, vol. 3, n° 9-10, août 1974
– CinémAction, n° 26, janvier 1983
– Filmcritica, n° 193, décembre 1968
– Jeune Cinéma, n° 168, juillet-août 1985
– Jeune Cinéma, n° 34, novembre 1968
– Lettres Françaises (Les), n° 1302, 1 octobre 1969
– Nosferatu : Revista de Cine, n° 30, avril 1999
– Positif, n° 97, juillet 1968
– Téléciné, n° 167, décembre 1970
– Téléciné, n° 176, janvier 1973
– Unir Cinéma : revue du cinéma africain (Saint-Louis, Sénégal), n° 18, mai-juin 1985
– Unir Cinéma : revue du cinéma africain (Saint-Louis, Sénégal), n° 19, juillet-août 1985
DIPLÔMES
– Baccalauréat série sciences expérimentales au lycée Diderot de Paris (1962) ;
– Diplôme de fin d’Etudes de l’Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (section Réalisation-production) sujet du Mémoire : Cinéma et Art Nègre), (1966) ;
– DEA à l’Université Paris IV (Art et Archéologie) (1983).
FONCTIONS
– Joue ‘’NOE » d’André Obey (rôle de Noé) à l’hôtel de ville D’Abidjan, (1960) ;
– Ecole Nationale de Théâtre Abidjan sous la Direction de Mme Jacqueline JA-GUROCHE, (1960-1961) ;
– Joue ‘’Papa bon Dieu » de Louis Sapin (rôle de Papa bon Dieu) A l’hôtel de ville d’Abidjan, (1961) ;
– ‘’On passe dans huit jours » de Guitry (cie Mona Sangor) (1962)
– Reprise à Paris de ‘’l’Exception et la règle » de Brecht au Pavillon de Marsan (Cie Jean-Marie Serreau) rôle du juge Création de ‘’Rapport pour une Académie » de Kaf-ka (Biennale de Paris) (1962-1967) ;
– Création de ‘’La Tragédie du roi Christophe » (Cie Jean-Marie Serreau) à Salzbourg, puis à Venise, Berlin, Bruxelles (1963) ;
– Organise à la télévision une dramatique ‘’La Femme et L’Amour ‘’ (Scénario, réalisa-tion, interprétation) Désiré ECARE Joue ‘’On Passe dans huit jours »de Guitry au centre culturel français(1963) ;
– Au Théâtre Odéon de France, Rôle du leader de l’opposition, du vieillard, du prési-dent duConseil d’école, du soldat etc.… Paris, (1964, 1965) ;
– Plusieurs dramatiques à l’Ocra, 45 rue d’Amsterdam Paris (1965) ;
– Conseiller Technique auprès du Ministre du Tourisme (Loua DIOMANDE) (1970) ;
– Mis à la disposition du Ministre de l’Education Nationale, (1970) ;
– Conseiller Technique auprès du Ministre d’Etat Chargé du Tourisme (EKRA Mathieu) (1971) ;
– Membre du Conseil National de la Communication Audiovisuel (Octobre 1995-1997).
DISTINCTIONS
– Deuxième prix du Centre d’Art Dramatique à Paris (1963)
PUBLICATIONS
Monsieur ECARE DESIRE compte à son actif cinq (05) films dont il est auteur.
– ‘’Concerto pour un exil » (premier film) première réalisation Sélectionnée pour la semaine internationale de la critique Festival de Cannes(1968) ;
– ‘’A nous deux France » ou femme Noire (2ème film) Prix spécial du jury à Hyères (1970) ;
– Castigat Ridendo Mores (corriger les mœurs en riant) film Inachevé (3ème film) (1977) ;
– prochain film indépendance ChaCha (5ème film) (1974) ;
– Visage de Femme (4ème film) (1984).
Source :
* Bifi
* www.ascad.ci/web/membreascad/monsieur-ecare-niamkey-dsir141/2
* www.semainedelacritique.com/fr/realisateurs/desire-ecare
* www.festival-lumiere.org/manifestations/visages-de-femmes.html (Festival Lumière 2021, Lyon)
Films(s)
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Afrique à nous deux (L’)– 1990Film de ECARE, Désiré Année : 1990Désiré Écaré est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
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