Représentation « Tourments Noirs »
Solo de Auguste OUEDRAOGO (Compagnie Auguste-Bienvenue) dans le cadre du Festival Africa vive.
Français
« Tourments Noirs » est un solo de Auguste OUEDRAOGO qui s’inspire des discours de Thomas SANKARA pour poser la question de l’identité de l’Homme Noir dans un contexte mondialisé, ainsi que de l’épineuse question du développement de l’Afrique.
Rester soi-même ou tout renier pour intégrer l’inconnu ? Que faire pour redonner à l’Homme Noir sa place au sein des peuples de la planète ? Que faire pour permettre à l’Afrique de prendre le chemin du développement ? Voilà bien des questions qui fâchent, qui inquiètent… qui tourmentent !
Ce qui est sûr, nous dit SANKARA, « …nous devons accepter de vivre africain. C’est la seule façon de vivre libre et de vivre digne. » C’est aussi la seule et unique façon d’évoluer vers un mieux-être des peuples africains, vers un développement durable du continent africain.
Dans ce solo, les discours et les paroles se mêlent volontiers à la musique pour soutenir une danse expressive, douce et violente à la fois. Le corps se fait ici le porte-voix de tout un continent en quête d’un meilleur lendemain. Il exprime ses incertitudes, ses espoirs, ses maux, ses richesses, son avenir, ses Tourments. Il traduit aussi les pensées d’un homme visionnaire qui avait tout vu.
Rester soi-même ou tout renier pour intégrer l’inconnu ? Que faire pour redonner à l’Homme Noir sa place au sein des peuples de la planète ? Que faire pour permettre à l’Afrique de prendre le chemin du développement ? Voilà bien des questions qui fâchent, qui inquiètent… qui tourmentent !
Ce qui est sûr, nous dit SANKARA, « …nous devons accepter de vivre africain. C’est la seule façon de vivre libre et de vivre digne. » C’est aussi la seule et unique façon d’évoluer vers un mieux-être des peuples africains, vers un développement durable du continent africain.
Dans ce solo, les discours et les paroles se mêlent volontiers à la musique pour soutenir une danse expressive, douce et violente à la fois. Le corps se fait ici le porte-voix de tout un continent en quête d’un meilleur lendemain. Il exprime ses incertitudes, ses espoirs, ses maux, ses richesses, son avenir, ses Tourments. Il traduit aussi les pensées d’un homme visionnaire qui avait tout vu.
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