Fiche Film
Cinéma/TV
MOYEN Métrage | 1997
Ainsi soit-il ! (So Be It)
Date de sortie en France : 00/00/0000
Pays concerné : Sénégal
Support : 35 mm
Durée : 31 minutes
Genre : drame
Type : fiction
Français
Collection Africa Dreaming.
Une bâtisse obscure. Un dispensaire. Une femme essaie de convaincre son compagnon de quitter ce "lieu de mort" où il travaille. Mais l'homme ne veut pas partir. Elle, la femme, la vie, essaie de l'entraîner, mais en vain. Les seuls êtres qui rôdent autour de ce huis clos sont des enfants malades. Rien ne semble pouvoir se résoudre, rien ne peut se construire, personne ne peut se sauver. Au-delà des déchirements du couple, c'est l'Afrique blessée qui fait entendre sa voix.
La série complète (six courts métrages) dure 165 minutes. D'après une nouvelle de Wollé Soyinka.
support : 35 mm – dolby stéréo
Réalisateur : Joseph GAYE Ramaka
Scénario : Joseph GAYE Ramaka
d'après une pièce de Wole SOYINKA
Image : Jean-Michel HUMEAU
Montage : Juliana SANCHEZ
Son : Pierre GUENNEGAN / GUEHHEGUAN, Patrick
Interprètes :
Maïmouna BOYE,
Alex DESCAS,
Félicité WOUASSI
Makharam MADEIRA,
Néné Diagne SANé
Thèmes : pauvreté, Afrique
Année : 1997
Pays : Sénégal
Production : Les Ateliers de l'Arche (France) / Catalyst Films (Afrique du Sud) / La Sept Arte (France)
Distribution : Ateliers de l'Arche (Les), Cinémathèque Afrique (Institut Français)
langue : Français/ Wolof/ Sous-titres en français
Diffusion TV : Arte France
1997 | 54e Mostra Internationale d'Arte Cinematografica de Venise.
* Lion d'Argent – Premier prix de la Section Corto-cortissimo
1998 | Festival Vues d'Afrique, Montréal.
* Premier Prix du court métrage
ROTTERDAM 1997<br>VUES D'AFRIQUE 1998 – Prix de la communication interculturelle (CM)<br>AMIENS 1998
Une bâtisse obscure. Un dispensaire. Une femme essaie de convaincre son compagnon de quitter ce "lieu de mort" où il travaille. Mais l'homme ne veut pas partir. Elle, la femme, la vie, essaie de l'entraîner, mais en vain. Les seuls êtres qui rôdent autour de ce huis clos sont des enfants malades. Rien ne semble pouvoir se résoudre, rien ne peut se construire, personne ne peut se sauver. Au-delà des déchirements du couple, c'est l'Afrique blessée qui fait entendre sa voix.
La série complète (six courts métrages) dure 165 minutes. D'après une nouvelle de Wollé Soyinka.
support : 35 mm – dolby stéréo
Réalisateur : Joseph GAYE Ramaka
Scénario : Joseph GAYE Ramaka
d'après une pièce de Wole SOYINKA
Image : Jean-Michel HUMEAU
Montage : Juliana SANCHEZ
Son : Pierre GUENNEGAN / GUEHHEGUAN, Patrick
Interprètes :
Maïmouna BOYE,
Alex DESCAS,
Félicité WOUASSI
Makharam MADEIRA,
Néné Diagne SANé
Thèmes : pauvreté, Afrique
Année : 1997
Pays : Sénégal
Production : Les Ateliers de l'Arche (France) / Catalyst Films (Afrique du Sud) / La Sept Arte (France)
Distribution : Ateliers de l'Arche (Les), Cinémathèque Afrique (Institut Français)
langue : Français/ Wolof/ Sous-titres en français
Diffusion TV : Arte France
1997 | 54e Mostra Internationale d'Arte Cinematografica de Venise.
* Lion d'Argent – Premier prix de la Section Corto-cortissimo
1998 | Festival Vues d'Afrique, Montréal.
* Premier Prix du court métrage
ROTTERDAM 1997<br>VUES D'AFRIQUE 1998 – Prix de la communication interculturelle (CM)<br>AMIENS 1998
English
So Be It
A foreign doctor (Alex Descas) discovers the "heart of darkness" in the Wolof village where he works, when a mentally ill child he befriends becomes the scapegoat for "bad spirits." Michael, an idealistic foreign doctor, has had little success bringing the promises of modernity to a dusty village of the damned in the Sahel. His lover, Sunma, a teacher and native of the place, has no illusions about the village, believing it to be "a world which will cannibalize its children" (according to a Wolof incantation) in a futile effort to compensate for human powerlessness. She simply wants to live and love – and leave before the killing starts. But Michael is transfixed; he stays and tries, ineffectively, to prevent the villagers from sacrificing a mentally disturbed mute boy he has befriended. Perhaps Michael sees in himself, even in his hope for scientific progress, a reflection of the villagers' own horror at human fate. Joseph Gai Ramaka, Senegal, 1997, 26m., color. In French & Wolof with English subtitles
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