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Poésie / Conte
© nunfilm
Over 16 years, An Algerian male eye on femininity and dancing.
A film with Algerian dancer and Martial Arts Champion Assia Guemra and Syrian film director Mohamad Malas.
Algerian film director Hamid Benamra makes free independant films since he was 17 in 1981.
LONG Métrage | 2016
Hizam (Ceinture) – حزام
© nunfilm
Date de sortie en France : 00/00/0000
Pays concerné : Algérie
Durée : 86 minutes
Genre : portrait
Type : documentaire
Site web : http://nunfilm.com/
Français
Le regard d'un cinéaste algérien sur le féminin et la danse. Un film avec la danseuse algérienne Assia Guemra, Championne d'Arts Martiaux et le réalisateur Syrien Mohamad Malas.
"célèbre, avec intelligence et courage, le corps, la beauté, la femme mais aussi la liberté" REPORTERS (Algeria)
"un poème aux femmes qui ont forgé mon masculin", NIKKANBERTIA (Japan)
"La caméra anticipe chaque regard et épouse chaque pas", AL AHRAM WEEKLY(Egypt)
"Au cœur d'un fait cinématographique exceptionnel", AL ARAB (UK)
"2016 : Hizam & Rêveries de l'acteur solitaire", AL FADJR (Algérie)
une féminité dense sans laquelle le masculin n'a pas de valeur le grand frère", AL KAHERA (Egypt)
"une image exceptionnelle de mélanges civilisationnels", ALRAI (Jordan)
"La femme est l'étoile manquante de nos écrans", ALBILAD (Bahrain)
"Tel un scarabée, un cinéaste ne doit jamais renoncer", CIFF BULLETIN (Egypt)
“un style artistique très avancé, des films sans frontières”, ASHARQ AL-AWSAT (London)
"La ceinture n’est pas un accessoire", AL FADJR (Algeria)
Résumé pour les catalogues officiels :
L'identité masculine, avant de brandir les couleurs de la nation doit lever un étendard qui n'a pas de couleur car il les porte toutes, celui du féminin.
16 ans que la caméra cueille avec précision chaque pas, chaque main, chaque souffle dans un mouvement gracieux et authentique exprimant une féminité en quête d'elle-même.
Ce n'est pas un abécédaire de la danse ni un catalogue de playmates, ni un plaidoyer féministe, il s'articule autour de la vie et de la mort avec un cœur dansant.
Les femmes ici ne sont pas philosophes ni partisanes politiques, elles se confient dans une liberté sereine.
Assia Guemra, avant d'être danseuse, était championne de karaté, une discipline où la couleur de la ceinture importe peu si l'on n'est pas capable de faire face à l'adversaire.
Dans la danse orientale, la ceinture n'est pas un objet d'apparat mais ce qui donne au ventre tempo.
La ceinture n'est pas un accessoire de cabaret ni appât cinématographique, c'est l'axe autour duquel tourne l'amour du féminin, de la mère , de l'épouse , de la sœur, de la camarade, c'est l'étoile manquante de nos écrans.
Le réalisateur s'approche du ventre qui l'a porté et du corps dans lequel il trouve refuge, il comprend que la femme est son miroir.
L'identité masculine, avant de brandir les couleurs de la nation doit lever un étendard qui n'a pas de couleur car il les porte toutes, celui du féminin.
16 ans que la caméra cueille avec précision chaque pas, chaque main, chaque souffle dans un mouvement gracieux et authentique exprimant une féminité en quête d'elle-même.
Ce n'est pas un abécédaire de la danse ni un catalogue de playmates, ni un plaidoyer féministe, il s'articule autour de la vie et de la mort avec un cœur dansant.
Les femmes ici ne sont pas philosophes ni partisanes politiques, elles se confient dans une liberté sereine.
Assia Guemra, avant d'être danseuse, était championne de karaté, une discipline où la couleur de la ceinture importe peu si l'on n'est pas capable de faire face à l'adversaire.
Dans la danse orientale, la ceinture n'est pas un objet d'apparat mais ce qui donne au ventre tempo.
La ceinture n'est pas un accessoire de cabaret ni appât cinématographique, c'est l'axe autour duquel tourne l'amour du féminin, de la mère , de l'épouse , de la sœur, de la camarade, c'est l'étoile manquante de nos écrans.
Le réalisateur s'approche du ventre qui l'a porté et du corps dans lequel il trouve refuge, il comprend que la femme est son miroir.
English
Hizam (Belt)
Over 16 years, An Algerian male eye on femininity and dancing.
A film with Algerian dancer and Martial Arts Champion Assia Guemra and Syrian film director Mohamad Malas.
Algerian film director Hamid Benamra makes free independant films since he was 17 in 1981.
"The camera serves the movement, anticipates every look and adjusts to every step", AL AHRAM WEEKLY (Egypt)
"Hizam is not about dance, but about life and death", THE ARAB WEEKLY (UK)
"2016 : Hizam & Reveries of the Solitary Actor", AL FADJR (Algeria)
"Assia Guemra, the dancer & Mohamad Malas, the elder brother", AL KAHERA (Egypt)
"exceptional pictures of civilizational mixing", ALRAI (Jordan)
"Women are the missing stars of our screens", ALBILAD (Bahrain)
"A filmmaker should be like a scarab who never gives up", CIFF BULLETIN (Egypt)
“a high-level artistic style, his films know no borders”, ASHARQ AL-AWSAT (UK)
"the belt is not formal", AL FADJR (Algeria)
"celebrates, with intelligence and courage, the body, the beauty, women and freedom", REPORTERS (Algeria)
"A poem to women who shaped me as a man", NIKKANBERITA (Japan)
Summary for official catalogs :
Male identity, before brandishing the national colors should raise a banner with no colors since it wears them all, the female banner.
For 16 years, the camera has been catching a feminity searching for itself.
This is not an dancing abecedarium nor a brochure of playmates, nor a feminist petition, women here confide serenely and freely.
Assia Guemra had the France Taekwondo championship before she became a dancer, a discipline where the color of the belt does not matter if you cannot face your opponent.
In Middle-Eastern dancing, the belt is not a nightclub accessory nor a cinematographic lure but gives its tempo to the belly.
The filmmaker comes close to the womb that carried him and to the body where he finds refuge in and understands that the woman is his mirror.
Male identity, before brandishing the national colors should raise a banner with no colors since it wears them all, the female banner.
For 16 years, the camera has been catching a feminity searching for itself.
This is not an dancing abecedarium nor a brochure of playmates, nor a feminist petition, women here confide serenely and freely.
Assia Guemra had the France Taekwondo championship before she became a dancer, a discipline where the color of the belt does not matter if you cannot face your opponent.
In Middle-Eastern dancing, the belt is not a nightclub accessory nor a cinematographic lure but gives its tempo to the belly.
The filmmaker comes close to the womb that carried him and to the body where he finds refuge in and understands that the woman is his mirror.
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