Fiche Personne
Réalisateur/trice
Scénariste
Directeur/trice de la photo
© DR
Laurent Chevallier
France

Français
Né le 06 Juin 1955 à Paris (France)
Laurent Chevallier se forme à l’Ecole Louis Lumière à Paris (1974-76), où il reviendra plus tard comme enseignant, et suit un riche parcours à l’image. En tant qu’assistant caméra (1976-82), sur RETOUR À MARSEILLE de René Allio (1980), DIVA de Jean-Jacques Beineix (1981) ou LE MUR de Yilmaz Güney (1983), puis cadreur (dès 1982), sur MON BEAU-FRÈRE A TUÉ MA SŒUR de Jacques Rouffio (1986), FUCKING FERNAND de Gérard Mordillat (1987) ou UNE HISTOIRE DE VENT de Joris Ivens (1988).
Comme directeur de la photographie (dès 1985), il œuvre sur des courts métrages (L’INDEX de Marie-Hélène Quinton, 1985, LE POÈTE QUE JE PRÉFÈRE de Christel Delahaye, 1998), des documentaires (THE TULKUS de Pan Nalin, 1993, MUSIC FOR THE MOVIES : THE HOLLYWOOD SOUND de Joshua Waletzky, 1995), de la fiction télé (« Un médecin des lumières » d’Allio, 1988), et des deuxièmes équipes (LA VENGEANCE DU SERPENT À PLUMES de Gérard Oury, 1984, LES SPÉCIALISTES de Patrice Leconte, 1985, FORTUNE EXPRESS d’Olivier Schatzky, 1988).
En parallèle, il réalise ses propres films, des courts métrages de fiction pour commencer, avec UNE SOURIS ET DES HOMMES (1979), SERAC (1982) et GRIMPEUR ÈTOILE (1989). Mais très vite, c’est le documentaire qui l’accapare, notamment à la télévision, pour laquelle il signe de nombreux reportages, sujets et programmes, diffusés sur TF1, France 2, France 3, Canal+, Arte, La 5e, Planète, Voyage ou Odyssée, et tournés aux quatre coins du monde, de la Patagonie aux Pôles, de la Chine aux Etats-Unis.
, Au sud du sud, réalisé en 1990. Suivent le documentaire sur l’Afrique Djembefola, le long-métrage de fiction L’enfant noir (1995) et un autre documentaire Circus Baobab (2000). En 2003, il signe le long-métrage La vie sans Brahim.
Passionné de montagne, Laurent Chevallier fait de la traversée de l’Antarctique par Jean-Louis Etienne le sujet de son premier long métrage documentaire AU SUD DU SUD (1992) qui atteint les salles ainsi qu’avec des documentaires qui donnent à voir sa passion pour l’Afrique, et particulièrement pour la Guinée, à travers des portraits de grandes figures musicales comme Mamady Keita (DJEMBEFOLA, 1991) et Momo Wandel Soumah (MOMO LE DOYEN, 2007), mais aussi avec le cirque acrobatique et itinérant CIRCUS BAOBAB (2001). Il filme les ponts entre Nord et Sud, ici et là-bas, via les étudiants en jazz de Marciac d’EXPÉRIENCE AFRICAINE (2009), mais aussi via une amitié intense autour d’une épicerie d’Île-de-France, dans LA VIE SANS BRAHIM (2003).
Avec L’ENFANT NOIR (1994), le réalisateur signe en fiction un conte moderne sur un petit guinéen, qui gagne la capitale, Conakry, et fait son apprentissage de la vie.
filmographie :
EXPÉRIENCE AFRICAINE – 2009 – 94 minutes
La Pépinière du désert – 2008 – 90 minutes
Empreintes – Aimé Césaire – 2007 – 52 minutes
Momo le doyen – 2006 – 85 minutes
Hadja Moï – 2005 – 70 minutes
Voyage au pays des peaux blanches – 2003 – 96 minutes
La Vie sans Brahim – 2002 – 64 minutes
Circus Baobab – 2001 – 100 minutes
Un hôpital dans la montagne – 2000 – 52 minutes
Le Djembe – 1998 – 13 minutes
Mögöbalu – 1998 – 59 minutes
Mister Karim – 1997 – 57 minutes
8 Clos à 8000 – 1997 – 52 minutes
Tout là haut – 1997 – 26 minutes
L’ Himalaya – 1997 – 13 minutes
Gens de la lune, Ruwenzori 1995 – 1996 – 52 minutes
Aoutara, jeunes filles Baga – 1996 – 51 minutes
L’ Enfant noir – 1995 – 92 minutes
Les Boxeurs du désert – 1995 – 52 minutes
Notes interdites – un Irlandais de Belfast – 1993 – 53 minutes
Florilegio ou le cirque à l’italienne – 1993 – 52 minutes
Les Gens du pôle – 1992 – 52 minutes
Djembefola – 1991 – 67 minutes
Au Sud du Sud – 1991 – 90 minutes
L’ Essai du pôle – 1990 – 26 minutes
Les Chiens du Pôle – 1988 – 26 minutes
Cyclisme : les 6 jours de Paris – 1984 – 4 minutes
Les Apprentis se réveillent – 1976 – 15 minutes
Source :
www.canalplus.fr/c-cinema/cid226005-laurent-chevallier.html
Laurent Chevallier se forme à l’Ecole Louis Lumière à Paris (1974-76), où il reviendra plus tard comme enseignant, et suit un riche parcours à l’image. En tant qu’assistant caméra (1976-82), sur RETOUR À MARSEILLE de René Allio (1980), DIVA de Jean-Jacques Beineix (1981) ou LE MUR de Yilmaz Güney (1983), puis cadreur (dès 1982), sur MON BEAU-FRÈRE A TUÉ MA SŒUR de Jacques Rouffio (1986), FUCKING FERNAND de Gérard Mordillat (1987) ou UNE HISTOIRE DE VENT de Joris Ivens (1988).
Comme directeur de la photographie (dès 1985), il œuvre sur des courts métrages (L’INDEX de Marie-Hélène Quinton, 1985, LE POÈTE QUE JE PRÉFÈRE de Christel Delahaye, 1998), des documentaires (THE TULKUS de Pan Nalin, 1993, MUSIC FOR THE MOVIES : THE HOLLYWOOD SOUND de Joshua Waletzky, 1995), de la fiction télé (« Un médecin des lumières » d’Allio, 1988), et des deuxièmes équipes (LA VENGEANCE DU SERPENT À PLUMES de Gérard Oury, 1984, LES SPÉCIALISTES de Patrice Leconte, 1985, FORTUNE EXPRESS d’Olivier Schatzky, 1988).
En parallèle, il réalise ses propres films, des courts métrages de fiction pour commencer, avec UNE SOURIS ET DES HOMMES (1979), SERAC (1982) et GRIMPEUR ÈTOILE (1989). Mais très vite, c’est le documentaire qui l’accapare, notamment à la télévision, pour laquelle il signe de nombreux reportages, sujets et programmes, diffusés sur TF1, France 2, France 3, Canal+, Arte, La 5e, Planète, Voyage ou Odyssée, et tournés aux quatre coins du monde, de la Patagonie aux Pôles, de la Chine aux Etats-Unis.
, Au sud du sud, réalisé en 1990. Suivent le documentaire sur l’Afrique Djembefola, le long-métrage de fiction L’enfant noir (1995) et un autre documentaire Circus Baobab (2000). En 2003, il signe le long-métrage La vie sans Brahim.
Passionné de montagne, Laurent Chevallier fait de la traversée de l’Antarctique par Jean-Louis Etienne le sujet de son premier long métrage documentaire AU SUD DU SUD (1992) qui atteint les salles ainsi qu’avec des documentaires qui donnent à voir sa passion pour l’Afrique, et particulièrement pour la Guinée, à travers des portraits de grandes figures musicales comme Mamady Keita (DJEMBEFOLA, 1991) et Momo Wandel Soumah (MOMO LE DOYEN, 2007), mais aussi avec le cirque acrobatique et itinérant CIRCUS BAOBAB (2001). Il filme les ponts entre Nord et Sud, ici et là-bas, via les étudiants en jazz de Marciac d’EXPÉRIENCE AFRICAINE (2009), mais aussi via une amitié intense autour d’une épicerie d’Île-de-France, dans LA VIE SANS BRAHIM (2003).
Avec L’ENFANT NOIR (1994), le réalisateur signe en fiction un conte moderne sur un petit guinéen, qui gagne la capitale, Conakry, et fait son apprentissage de la vie.
filmographie :
EXPÉRIENCE AFRICAINE – 2009 – 94 minutes
La Pépinière du désert – 2008 – 90 minutes
Empreintes – Aimé Césaire – 2007 – 52 minutes
Momo le doyen – 2006 – 85 minutes
Hadja Moï – 2005 – 70 minutes
Voyage au pays des peaux blanches – 2003 – 96 minutes
La Vie sans Brahim – 2002 – 64 minutes
Circus Baobab – 2001 – 100 minutes
Un hôpital dans la montagne – 2000 – 52 minutes
Le Djembe – 1998 – 13 minutes
Mögöbalu – 1998 – 59 minutes
Mister Karim – 1997 – 57 minutes
8 Clos à 8000 – 1997 – 52 minutes
Tout là haut – 1997 – 26 minutes
L’ Himalaya – 1997 – 13 minutes
Gens de la lune, Ruwenzori 1995 – 1996 – 52 minutes
Aoutara, jeunes filles Baga – 1996 – 51 minutes
L’ Enfant noir – 1995 – 92 minutes
Les Boxeurs du désert – 1995 – 52 minutes
Notes interdites – un Irlandais de Belfast – 1993 – 53 minutes
Florilegio ou le cirque à l’italienne – 1993 – 52 minutes
Les Gens du pôle – 1992 – 52 minutes
Djembefola – 1991 – 67 minutes
Au Sud du Sud – 1991 – 90 minutes
L’ Essai du pôle – 1990 – 26 minutes
Les Chiens du Pôle – 1988 – 26 minutes
Cyclisme : les 6 jours de Paris – 1984 – 4 minutes
Les Apprentis se réveillent – 1976 – 15 minutes
Source :
www.canalplus.fr/c-cinema/cid226005-laurent-chevallier.html
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