Tous les articles en lien avec « Qui connaît un métier peut en vivre et en faire profiter un pays »
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Le Panthéon de la joie, de Jean OdoutanEn sortie dans les salles françaises le 3 mai 2023, le nouveau film de Jean Odoutan était également en sélection dans la section Panorama au Fespaco de février 2023. Il communique de bonnes vibrations ! Vous appréciez…
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Pim-Pim Tché – Toast de vie ! de Jean OdoutanTourné en pellicule au Bénin en 2008, Pim-Pim Tché – Toast de vie ! est le 5ème long métrage de Jean Odoutan, et son deuxième entièrement tourné au Bénin après Barbecue Pejo. S’il ne sort que le 17 février 2016 dans les …
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La critique occidentale des cinémas africains entre cinéphilie et universalismeLa critique cinéphilique a longtemps fait passer les cinémas africains et maghrébins par le filtre de l’esthétique et de l’exotisme, voire de l’orientalisme. Elle les ignore encore davantage que les cinémas asiatiques. L…
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« Qui connaît un métier peut en vivre et en faire profiter un pays »Cinéaste béninois, Jean Odoutan est l’initiateur et délégué général du Festival international de Cinéma de Ouidah, Quintessence. Au terme de la 4ème édition de ce festival (7-11 janvier 2006), une rencontre-bilan à son d…
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Ouidah 2005 : quelle quintessence ?3ème édition du festival Quintessence du 7 au 12 janvier à Ouidah, Bénin : le festival dirigé par le cinéaste Jean Odoutan est un incroyable et attachant mélange à l’image de son infatigable instigateur. »Je suis la solut…
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La Valse des gros derrièresRien d’étonnant à ce que le film débute sur les escaliers de la butte Montmartre, haut-lieu historique du Paris populaire. C’est dans cette lignée que se situe Jean Odoutan, celle d’Arletty (« atmosphère, est-ce que j’ai …
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Le phénomène OdoutanBarbecue Pejo (Africultures 24), Djib (Afr. 32), Mama Aloko (Afr. 44, avec un entretien), bientôt La valse des gros derrières : il fait des longs métrages avec des budgets de courts métrages mais à la chaîne, un ou deux …
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Mama AlokoVoilà une femme d’une cinquantaine d’année, une matrone, qui tient un restaurant dans un quartier populaire de Paris, et y vend des bananes frites. Elle a un souci : le service d’hygiène va passer et il lui faut trouver …
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« Je m’applaudis tout court »Barbecue Pejo se déroulait au Bénin, Mama Aloko et Djib en France. Quel est le sens de ce passage de l’Afrique à Paris ? C’est du Jean Odoutan, né au Bénin, venu en France. Il raconte d’abord une aventure africaine pour…
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Les nouvelles stratégies des cinéastes africainsAu cinéma, face à l’exigence d’authenticité qui fonderait l’africanité, la question de la réalité reste centrale. A la lumière de quelques films récents, les nouvelles stratégies adoptées par les cinéastes pour refuser l…
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DjibOdoutan filme comme il est : gouailleur, engagé à 100 %, amuseur public et passionné de calembours, entier et finalement un peu brouillon. Il fait le pari de tourner vite et souvent, dans une grande économie de moyens, c…
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Barbecue PejoElle n’y va pas de main morte pour désigner son mari paysan : flémard, gagne-petit, ramasse-miettes Il se démène pourtant pour trouver des solutions à leur misère, mais le taxi acheté à grands frais flanche tout de suit…
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à propos de Barbecue PejoVotre film est frappant par, je dirais, le plaisir de la parole En tant que chanteur, j’écris des paroles, et comme j’ai fait des études littéraires, j’aime bien jouer avec les mots. Accompagnées par des paroles, les i…