Aliénations de Malek Bensmaïl
Pour ouvrir le cycle « cinéma de fabrication locale », nous vous invitons à la projection du film « Aliénations », réalisé par Malek Bensmaïl.
Français
Lieu : Filmathèque Zinet (Office riadh el feth)
Date/heure : vendredi 8 avril 2011, 17:30
Résumé :
Un film sur la souffrance mentale en Algérie. « Chaque jour à travers leur pratique professionnelle, les psychiatres… sont confrontés plus encore que d’autres au malaise de la société. Ils sont parmi les premiers à en observer les symptômes, à tenter de guérir les malades qui viennent consulter, à comprendre les raisons de ces « failles » mais ils restent aussi désarmés que d’autres pour guérir cette société… À travers ce film, il ne s’agit pas de traiter des événements de l’actualité la plus récente en Algérie, mais plutôt de percevoir et de mettre en évidence les courants souterrains qui travaillent cette société et alimentent sa crise… ».
Un film que le cinéaste dédie à son père, un des fondateurs de la psychiatrie algérienne.
Malek Bensmaïl est un réalisateur algérien, né en 1966 à Constantine.
À partir du 8 avril, nous voici partis pour une programmation « cinéma de fabrication locale ». Nous appellerons ce cycle ainsi pour éviter la désignation cinéma algérien, car nous considérons que le cinéma est d’abord un lieu de réflexion en images et en sons avant d’être un objet bureaucratique.
À la programmation, des cinéastes confirmés : Tariq Teguia, Malek Bensmaïl, Habiba Djahnine; des nouveaux nés qui ont fait leurs premiers pas par les ateliers documentaires de Béjaïa Doc, ou des graines de cinéastes qui émergent : Hassan Ferhani, Amal Kateb, Nabil Djedouani, Djamil Beloucif.
Du format court au long, du documentaire à la fiction, ces films ont été peu ou pas du tout vus. Pourtant, ils portent en eux les regards de personnes préoccupées par des thèmes centraux concernant l’espace qu’ils occupent : l’exil, le militantisme, l’africanité, la langue, le mal être social, l’émigration, la clandestinité. Tant de regards sur des sujets qui touchent à l’actualité de l’Algérie et qui donnent une image dénuée de tout cliché médiatique. Si le cinéma sert à quelque chose, c’est à nous montrer l’invisible, celui qu’on ne voit pas, ou qu’on n’a pas envie de voir. Le cinéma comme un miroir pour regarder différemment ce qui nous entoure, car « les miroirs devraient réfléchir à deux fois avant de nous renvoyer notre propre image. »
Vendredi 8 avril
Aliénations, de Malek Bensmaïl
Vendredi 15 avril
Les films de l’atelier documentaire Béjaïa Doc, promotion 2010
– Yazid Arab : « Les pêcheurs de sable » 19′
– Yassine Izarouken : « Kermouss n’sara » Les figues de Barbarie » 18′
– Aboubakr Hamzi « Elberani – L’étranger » 34′
– Amir Bensaifi « Dima Elgoudem! – Vers tous les espoirs » 27′
(en présence de certains réalisateurs)
Vendredi 22 avril
Afric Hotel, de Nabil Djedouani et Hassan Ferhani
(en présence des réalisateurs)
Vendredi 29 avril
Lettre à ma soeur, de Habiba Djahnine
Vendredi 6 mai
Quatre courts-métrages autour du thème: « Fuir, mais pour aller où ? »
– Haçla, Tariq Teguia’23
– Alger moins que zéro, Lamine Ammar-khodja’16
– Ghorba Legend, Amal Kateb’27
– Djoûu, Djamil Beloucif’25
(en présence de certains réalisateurs)
Sauf modifications !
Date/heure : vendredi 8 avril 2011, 17:30
Résumé :
Un film sur la souffrance mentale en Algérie. « Chaque jour à travers leur pratique professionnelle, les psychiatres… sont confrontés plus encore que d’autres au malaise de la société. Ils sont parmi les premiers à en observer les symptômes, à tenter de guérir les malades qui viennent consulter, à comprendre les raisons de ces « failles » mais ils restent aussi désarmés que d’autres pour guérir cette société… À travers ce film, il ne s’agit pas de traiter des événements de l’actualité la plus récente en Algérie, mais plutôt de percevoir et de mettre en évidence les courants souterrains qui travaillent cette société et alimentent sa crise… ».
Un film que le cinéaste dédie à son père, un des fondateurs de la psychiatrie algérienne.
Malek Bensmaïl est un réalisateur algérien, né en 1966 à Constantine.
À partir du 8 avril, nous voici partis pour une programmation « cinéma de fabrication locale ». Nous appellerons ce cycle ainsi pour éviter la désignation cinéma algérien, car nous considérons que le cinéma est d’abord un lieu de réflexion en images et en sons avant d’être un objet bureaucratique.
À la programmation, des cinéastes confirmés : Tariq Teguia, Malek Bensmaïl, Habiba Djahnine; des nouveaux nés qui ont fait leurs premiers pas par les ateliers documentaires de Béjaïa Doc, ou des graines de cinéastes qui émergent : Hassan Ferhani, Amal Kateb, Nabil Djedouani, Djamil Beloucif.
Du format court au long, du documentaire à la fiction, ces films ont été peu ou pas du tout vus. Pourtant, ils portent en eux les regards de personnes préoccupées par des thèmes centraux concernant l’espace qu’ils occupent : l’exil, le militantisme, l’africanité, la langue, le mal être social, l’émigration, la clandestinité. Tant de regards sur des sujets qui touchent à l’actualité de l’Algérie et qui donnent une image dénuée de tout cliché médiatique. Si le cinéma sert à quelque chose, c’est à nous montrer l’invisible, celui qu’on ne voit pas, ou qu’on n’a pas envie de voir. Le cinéma comme un miroir pour regarder différemment ce qui nous entoure, car « les miroirs devraient réfléchir à deux fois avant de nous renvoyer notre propre image. »
Vendredi 8 avril
Aliénations, de Malek Bensmaïl
Vendredi 15 avril
Les films de l’atelier documentaire Béjaïa Doc, promotion 2010
– Yazid Arab : « Les pêcheurs de sable » 19′
– Yassine Izarouken : « Kermouss n’sara » Les figues de Barbarie » 18′
– Aboubakr Hamzi « Elberani – L’étranger » 34′
– Amir Bensaifi « Dima Elgoudem! – Vers tous les espoirs » 27′
(en présence de certains réalisateurs)
Vendredi 22 avril
Afric Hotel, de Nabil Djedouani et Hassan Ferhani
(en présence des réalisateurs)
Vendredi 29 avril
Lettre à ma soeur, de Habiba Djahnine
Vendredi 6 mai
Quatre courts-métrages autour du thème: « Fuir, mais pour aller où ? »
– Haçla, Tariq Teguia’23
– Alger moins que zéro, Lamine Ammar-khodja’16
– Ghorba Legend, Amal Kateb’27
– Djoûu, Djamil Beloucif’25
(en présence de certains réalisateurs)
Sauf modifications !
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