À travers le cri de jeunes Algérois vivant dans le renoncement, Haçla (la clôture) tente de donner à voir et à entendre, dans le labyrinthe d'impasses que constitue la ville d'Alger et ses environs, une société bloquée, refermée sur elle-même, où le cadre de la parole devient le seul espace de liberté individuelle.

Through the cry of young Algerians living in renunciation, Haçla (the fence) tries to give to see and to hear, in the labyrinth of impasses that constitutes the city of Algiers and its surroundings, a blocked society, closed in on itself, where the framework of speech becomes the only space of individual freedom.