Événements

Festival du film Amazigh 2012 (FCNAFA)
12ème édition. Thème : « Se projeter dans l’avenir »

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Se projeter dans l’avenir
12ème édition du Festival du Film Amazigh

Une rencontre exceptionnelle avec une moisson de films récents (en compétition et en hors compétition, pour la plupart en avant-première nationale et mondiale), des invités de marque, des cinéastes et des critiques éminents, venus de partout, une sélection stricte de films, des lieux de projections multiples, un panorama de films amazighs à la hauteur des ambitions, des rétrospectives, des hommages, des tables rondes thématiques, des conférences et des débats que nous espérons pertinents…Bref ! Une véritable bouffée d’air frais pour se projeter dans l’avenir, à l’occasion de la 12ème édition du Festival Culturel National Annuel du Film Amazigh.

Le coup d’envoi de la manifestation, qui rayonnera cette année dans la plupart des grandes cités de la région, telles Azeffoun, Larbaâ Nath Irathen, Azazga, Draâ El Mizan, Tizi Rached, sera donné à la ville des genêts (Tizi-Ouzou) par un spectacle et un film en avant première mondiale. Les projections des films en compétition pour décrocher l' »Olivier d’or » (15 films professionnels) et dans le cadre de la section « Jeunes talents » (10 films) commenceront le lendemain matin à Tizi-Ouzou et dans d’autres salles des villes avoisinantes.

Le réalisateur de « La Maison jaune », film aux 33 prix internationaux, Amor Hakkar, présidera le jury de la compétition officielle « Olivier d’or » et Yanis Koussim présidera celui des « Jeunes talents ». Des documentaires, des courts-métrages des films d’animation, des mentions spéciales pour des documentaires scientifiques.

Loin d’être d’éphémères rassemblements d’invités et de films, les festivals jouent un rôle essentiel au niveau culturel, social, éducatif, ne serait-ce que par l’opportunité qu’ils offrent pour échanger et étendre les regards et les perceptions. Au-delà des films, ce qui importe aussi, ce sont les échanges, la solidarité et la convivialité. De ce seul fait, une rencontre cinématographique constitue le lieu idoine où se célèbre l’exercice de la pensée et de la réflexion en tant que moyens d’éveil des publics. Rappelons que l’édition 2011 du Festival culturel national annuel du film amazigh s’est déroulée dans la ville d’Azeffoun, wilaya de Tizi-Ouzou en guise d’hommage particulier aux grands artistes de cette région, à l’image de Rouiched, Amine Kouider, Boudjemaâ El Ankis, Mohamed et Saïd Hilmi, Mohamed Fellag et beaucoup d’autres. Plusieurs éminentes personnalités du cinéma en Algérie avaient rehaussé de leur présence cette manifestation. Citons entre autres, Abderahmane Bouguermouh, Ali Mouzaoui…

Réserve culturelle naturelle, le 7e art, quelle que soit son expression linguistique, se doit de sortir de l’ombre et de rayonner partout dans le pays et hors des frontières. Le succès des onze (11) précédentes éditions est un fait, tout autant que l’implication totale des institutions nationales et locales, du mouvement associatif et du public de chaque wilaya. L’autre véritable gage de réussite est la qualité des films projetés, qui montre à l’évidence que la vitalité d’une cinématographie ne dépend pas seulement de ses créateurs et de ses producteurs. Sans le soutien moral et financier des institutions, aucune relance n’est possible. Si l’on en juge par le nombre d’activités cinématographiques durant ces dernières années dans notre pays, par le nombre de films produits et l’intense fréquentation du public, nous devons admettre que l’Algérie est en train de sortir de l’ornière. Est-ce la relance du cinéma algérien ? C’est notre souhait.

ASSAD Si El Hachemi
Commissaire du festival du film amazigh



PROGRAMME DES FILMS 2012

Sélection Officielle

Compétition – Olivier d’Or


La langue de Zahra
Fatima SISSANI /LM /93′ /2011
Les Kabyles existent d’abord par la parole. Chaque geste, chaque instant de leur quotidien peut donner lieu à une langue de vers, de métaphores, de proverbes… Ne dit-on pas que dans ces contreforts montagneux dont ils sont les hôtes, la joute oratoire était un exercice courant ?
Une réalité qu’on se représente mal lorsque l’on plonge dans la société de l’immigration où ces hommes et femmes, souvent analphabètes, sont relégués exclusivement au rang d’ouvriers et de femmes au foyer…On imagine alors mal les orateurs qu’ils deviennent lorsqu’ils retournent dans leur langue. Cette réalité, je la pressentais. J’en ai réalisé toute l’acuité, mesuré la dimension en filmant ma mère, son quotidien et son histoire. J’ai vu, fascinée, une femme arrimée à sa langue de façon indéfectible. Une femme dévoilant une oralité transmise de génération en génération. Une langue charriant éloquence et poésie pour dire l’enfance bucolique, l’exil, la pauvreté… Cette langue, c’est l’ultime bagage que des milliers d’émigrants kabyles ont emporté avec eux… Une langue pour se construire un ailleurs qui ne soit pas que l’exil…

Cheikh Sidi Bemol
Youssef BASSAID et Yacine REMI /DOC /44’55 » / 2012

Cheikh Sidi Bémol est un artiste complexe. Hocine Boukella, à l’état civil, est un ovni culturel à lui tout seul. Il représente l’Algérie réconciliée avec elle-même, dans toute sa diversité. Avec ses caricatures, signées sous le pseudo Elho, il a su croquer l’âme algérienne. Sa musique, qualifiée de gourbi rock, est ouverte à toutes les influences. Fier de ses racines algériennes, il a su marier Cheikh Hamadi à Led Zepplin, le gnawa au rock, la musique berbère au celtique, le melhoun au jazz, le village à l’univers. Il nous rappelle que s’ouvrir aux autres cultures est une chance, que la musique n’a pas besoin de visa. Biologiste de formation, rien ne le prédestinait a priori à devenir le chef de file de la vague d’artistes algériens arrivés en France à la fin des années 80. Cheikh Sidi Bémol porte un regard ironique, voire sarcastique, mais non dénué de tendresse sur le quotidien de ses concitoyens: corruption, exil, critique des conservatismes, les libertés, etc. Bouzeguène (Kabylie), Alger, Paris, ses ports d’attache, ont marqué son parcours. Et Cheikh Sidi Bémol leur est fidèle en composant aussi bien en kabyle, en arabe qu’en français. Le plus marin des chanteurs algériens nous emmène dans un voyage initiatique.

Ccnu-id tamurt n leqbayel
Ramdane IFTINI /Samy ALLAM /LM /DOC /90’/2011

Chaque peuple a sa culture qui lui vient du fond des âges et le chant rythme l’activité humaine comme les saisons rythment la nature. C’est par la culture que les peuples disent leurs joies et leurs peines.
Chaque société trouve dans le chant et dans la poésie, le moyen d’exprimer son ressenti et ses sentiments. Les voix humaines se mêlent, s’entremêlent, se nouent comme se nouent les racines des oliviers séculaires, et le chant enraciné s’élève pour porter parole, tel un souffle générique colorant la multitude. Depuis la nuit des temps en Kabylie, tous les évènements de la vie sont marqués par des cérémonies. Ils sont célébrés et souvent chantés.

Heureusement que le temps passe
Ferhat MOUHALI /DOC /CM /27′ /2012

C’est l’histoire d’un jeune supporter (Madjid), fan de l’équipe nationale de football qui se retrouve paralysé, sur une chaise roulante, suite à un accident de la circulation survenu à la fin d’un match de foot-ball.

Originaire
Massinissa HOCINE /CM /10′ /2011

Un jeune ouvrier doté d’une « force surnaturelle », exerce une concurrence avec les machines, pour le soulèvement d’objets hors normes.
Sans réaliser le pouvoir qu’il détient. Il est repéré par la direction du territoire, afin de déterminer le phénomène et
son origine.

Id iyi nnan (la nuit ma dit)
Massinissa OULD OULHADJ /FIC /CM/8′ /2012

Une feuille blanche peut bien contenir toute cette relation conflictuelle entre le noir et le blanc, entre le jour et la nuit mais aussi entre le mal et le bien.

Akermus (Figue de Barbarie)
Louhab AKIM /FIC /10′ /2011

L’histoire du film revient sur le destin des jeunes sans papiers en France à la recherche de la stabilité. Mais le passé refait surface pour bouleverser le cours des événements.

Ass yelhan (Un jour parfait)
Noureddine KEBAILI /FIC /CM /20′ /2012

C’est l’histoire d’un jeune scénariste Gaya, qui reçoit un courrier de la part de son producteur qui lui fait comprendre sans détour, que son scénario n’est pas retenu.
Ne comprenant pas la cause de cette reponse négative, il décide d’aller à la rencontre de ce dernier, mais voila que Gaya perd son sang froid, tire sur sa victime et la tue…

Encre et le monde
Sofiane BELLALI /FIC /13′ /2012

Que peut-on faire avec de l’encre? construire le monde et le détruire à la fois, il nous aide et nous aidera, mais à quel prix? tel est la question.

Amour clandestin
Wamar KACIMI /FIC /CM /13′ /2012

Karim, 27 ans, vit en France depuis 7 ans. Il est sans papiers. Depuis l’enterrement de son père auquel il n’a pu assister, sa vie a été bouleversée. Il a reçu un véritable électrochoc! Et plus question pour lui de revivre la même chose avec sa mère. Dehya, 24 ans, est étudiante à la Sorbonne. Elle, aussi, est en France depuis 5 ans. Et cette fois, sa vie, qu’elle pensait être tranquille, vient de prendre un tournant. Elle vient de recevoir un terrible courrier: un délai de quitter le territoire.
Qu’importe! Il leur faut réagir! C’est alors qu’une alternative s’impose à eux: le mariage….

Yidir
Tahar HOUCHI /FIC /CM /15′ /2012

Quelque part dans le monde. Jugurtha, militant incarcéré, interdit à Yidir, son fils âgé de 11 ans, de fréquenter l’école du dominant. La grand-mère, non sans hésitation, décide de passer outre cette interdiction. Yidir, surprend sa maman et sa grand-mère en train de discuter de son avenir. La mère évoque l’école qui « coupe les langues et pioche les têtes »pour y semer les mauvaises graines, allusion à la menace que fait peser cet appareil idéologique de l’Etat sur la langue et la culture ancestrale.
Yidir va interpréter littéralement cette figure de style. Sondésir de suivre le chemin de l’école, comme tous ses amis, se transforme alors en peur et sa réjouissance en crainte. Ainsi, son premier jour d’école devient un cauchemar qui le poursuivra jusque dans son sommeil.

Vava Moh
Yazid SMAIL /FIC /LM /1h 59′ /2012

La famille de vava Moh agit toujours en conformité au droit coutumier et aux règles, formulés ou non, qui régissent la société kabyle. Vava Moh, c’est le vieux, le père, le juge et le saint, il a engendré cinq garçons et trois filles.
Larbi frère ainé de Said qui l’appelle impudemment « le lavé » disposera selon Said des meilleurs parts d’héritage sinon à devenir le seul hériter après la mort de leurs frère Mokrane.

Le Menteur
Ali MOUZAOUI /FIC /LM /1h 20′ /2012

Si Ahcène est un officier de l’ALN qui a offert sa jeunesse pour l’idéal d’Indépendance. Aujourd’hui, il est retranché entre le fantôme de sa défunte épouse hantant sa mémoire, les amitiés de guerriers disparus et Lila, sa fille institutrice, élevée selon les grands principes de la morale.
Souvent, quand il est seul sur son fauteuil roulant, son regard erre de la photographie de sa défunte épouse à la fenêtre, guettant le retour de Lila, sa tendre enfant, sa complice. Le père et la fille vivent l’un pour l’autre, se vouant une confiance assurée, un respect sans contrainte. En un mot, ils se comprennent et s’entendent. Entre eux, point de barrière. Si Ahcène, homme d’ouverture connaît les palpitations du cœur, l’éveil du corps à la jeunesse comme la nature se pare de printemps.

Azaylal (Le Mirage)
Slimane BOUBKEUR /FIC /LM /1h 17′ /2012

Thiziri une jeune fille, victime dans son enfance, d’un enlèvement, par un jeune homme qui a abusé d’elle. Plusieurs année plus tard, Thiziri vit avec une idylle avec Ghilas, un jeune et charmant garçon avec qui il veut partager sa vie, mais la blessure du passé rejaillit et…

Nghigh ur Zrigh (j’ai tué son m’en rendre compte !)
Mourad BOUAMRANE /FIC /LM /1h 25′ /2012

Ali, un jeune père de famille alcoolique va s’engager dans une situation involontaire à cause de son patron Madjid, quand il apprend que celui-ci a fait passer à son insu de la drogue lors de ses livraisons.



Jeunes Talents

Ait Ouabane TIWIZI
Said BELLILI /DOC /26′ /2011

Ath-Ouâvane est un petit village de Kabyle d’environ 1300 habitants; situé au pied du djurdjura en plein axe triangulaire « Bouira-TiziOuzou-Béjaia ». A l’approche de l’été, les fontaines et les puits voient diminuer progressivement leur niveau d’eau ; alors les citoyens se préparent à célébrer une tradition ancestrale « Thiwzi » qui consiste à partager équitablement l’eau de la rivière entre les paysans du village et ce, en créant de petits ruisseaux « thirgwa ». Pour immortaliser cette journée, une autre tradition « thimachratt », vient s’ajouter à « thiwizi » ; là, un bœuf est sacrifié et partagé en présence de tous les villageois ; en parallèle, une exposition est assurée par des femmes au foyer.
Les habitants d’Ath-Ouâvane, joyeux, passent donc cette journée dans un climat de fraternité et de respect mutuel et se donnent rendez-vous pour d’autres occasions.

Tazdayt (Palmier dattier)
Kacem BENZEKRI /DOC /13′ /2011

Le palmier dattier (tazdayt) et la place qu’il occupe chez les populations de Beni Isguen.

Agerruj n tezgi
Katia SAID /DOC /17′ /2012

Brahim raconte sa passion pour la cueillette des champignons au cœur d’une nature verdoyante et abondante en nous rappellant sans cesse que ceschampignons constituent un vrai trésor et qu’il faut préserver ce que la nature nous a donné.
Il incite par la même à préserver cette nature qui recèle des trésors inestimables.

san d yilmezyen n kwiryet
Larbi LALIAM /DOC /43′ /2011

Des jeunes tailleurs de pierres originaires de (kouriet), parlent de leur quotidien, de leurs espoirs et de leurs aspirations pour un avenir meilleur et ce malgré les dures conditions de leur travail qui demande des efforts physiques.

Uzzu
Sonia AHNOU /DOC /26′ /2011

le film est une incitation à parler d’amour. La réalisatrice prend sa caméra et va à la rencontre d’étudiants pour aborder avec eux ce sujet qui est encore tabou dans notre société. Une fois la discussion engagée, les étudiants parlent d’amour, de leurs expériences passées, de leurs chagrins mais aussi de leur bonheur quand ils sont avec les personnes qu’ils aiment.

L’homme et la terre
Djamel BACHA /DOC /20′ /2011

Labourer la terre avec ses bœufs, un exercice plusieurs fois millénaire. Le réalisateur propose un travail pédagogique envers les jeunes générations autour de cette tradition.

Timzizelt di taddrt
Rabah BELABED /FIC /LM /52′ /2011

Un cordonnier et toute la population d’un village qui mène une vie anarchique décident de participer à un marathon qui se prépare dans la région dans l’espoir de décrocher la première place et un pactole de Deux Millions de dinars (2 000 000,00 DA)

Peut-être un jour
Mokhtar DAHMANI /FIC /CM /16′ /2012

Rachid est un jeune artiste qui espère réaliser son rêve dans son pays, celui de devenir artiste de renom. Mais voila qu’il est vite rattrapé par la réalité qui va le pousser à quitter le pays pour partir en France et tenter sa chance pour devenir un grand musicien.

Bouboul & la gallerie des miroirs
Tarik AIT MENGUELLET /ANIM /3′ /2012

Les miroirs conduisent parfois à des illusions surréalistes.
Bouboule peine à se retrouver dans ce monde.

Dessin d’enfants
Kamel SEHAKI /ANIM /3′ /2012

Un film muet qui raconte l’histoire d’un jeune enfant passionné de dessin et qui veut faire passer son message à travers ses dessins.

Hors-Compétition

Furigraphier le vide ; Art poésie toureg pour le IIIé millénaire
Hélene CLAUDOT-HAWAD et Nathalie Michaud /DOC /55′ /2009 /Niger-France

Comment être nomade aujourd’hui ? Comment poursuivre la marche qui multiplie les horizons ? Comment occuper le vide ? Ces questions douloureuses se posent avec une violence accrue dans les espaces arides du Sahara et du Sahel à l’économie asphyxiée, à la population criminalisée et aux territoires âprement convoités pour leurs richesses minières.
Pour résister au chaos et au non-sens, pour lutter contre l’ultime dépossession de soi, celle de l’imaginaire, quarante-quatre poètes touareg réunis pendant trois nuits et trois jours en novembre 2006 à Agadez dessinent des parcours sonores libérés des entraves qui immobilisent leur société et réinventent à leur manière les trames du présent.

Leptis magna, la cité antique, Tamdint yecfan
Abderrazak LARBI-CHERIF /DOC /26′ /2012

Le documentaire raconte l’histoire de la cité antique LEPTIS MAGNA. Fondée environ 1000 ans av JC, elle fut l’une des trois cités les plus célèbres de la Tripolitaine. Sous l’impulsion de son fls Septime Sévères, devenu Empereur de Rome (193-211) elle devint la Rome africaine. Grande, Riche et insolente, Leptis Magna nous raconte aujourd’hui l’âge d’or de la Méditerranée, carrefour de civilisations, creuset de cultures et de religions.

Akarmus, Seg ihder ghar lxel
Boubekeur OULD MOHAND /DOC /23′ /2012
Description scientifique du figuier de barbarie (la raquette, la feur, le fruit) et les différentes étapes de production du vinaigre.
Les effets de la plante sur les maladies telles l’obésité, le cancer, le diabète, le cholestérol, le colon et la circulation sanguine.
Intervenants: Un professeur, docteur en nutrition,un ingénieur d’Etat en agronomie et un herboriste.

Izenzaren
Christian LORRE /DOC /2010 /France

Izenzaren est un groupe de musique Amazigh (berbères marocains) qui fut créé dans les années 70 dans cette vague mondiale de réappropriation des cultures dite « mineures » grâce à la musique traditionnelle populaire « la culture Amazighe a inventé Izenzaren pour se défendre et partager avec les autres »
Les bergers du haut Atlas comme les chauffeurs de taxi d’Agadir, parlent de ce groupe et de son leader Igout Abdelhadi, comme d’une légende, comme d’un mythe de résistance pour un peuple confronté depuis des millénaires, aux vagues successives d’envahisseurs.

Les murmures des cimes
Chergui AMEUR /FIC /2010 /Maroc

La région du sud-est marocain est connue par une grande tradition orale constituée de chants, de poésies, de contes, de mythes. Le documentaire « les murmures des cimes » est un regard centré sur cette tradition à travers trois portraits; Bouaazama Ahmed Ben Aamar, Outtaher My Ahmed et Ammari Amrou.

Bentejui
Armando RAVELO /DOC /2010 /Ile Canaries

Un film qui traite d’un pan de l’histoire locale dans une langue dite amazighe qui a été reconstituée pour les besoins du film.
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