Tous les articles en lien avec Dialaw project un hub théâtral humain pour interroger le mythe du développement moderne
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Sérapis x Joanes promulguent le « Civil love » au village MacéLes 7, 8 et 9 juin derniers s’est tenue l’exposition Civil love des artistes plasticiens Joanes et Sérapis au Village Macé, dans le 11e arrondissement de Paris. L’occasion pour Africultures de découvrir les dernières œuv…
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Laura Lutard : “Je suis pour une poésie vivante, contemporaine et oralisée! ”Rencontre avec Laura Lutard, poète, comédienne, metteure en scène et auteure du recueil Au bord du bord (Editions Bruno Doucey 2022), également invitée surprise du Festival Voix-Vive de Sète, qui s’est tenu du 21 au 29 j…
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L’amour sur toile avec JoanesJoanes a le regard hagard, un brin mélancolique, et peint avec frénésie l’amour sur toile ; sa naïveté, ses contradictions mais aussi ses addictions. Fils du musicien camerounais Jean-Marie Ahanda, il est né et a grandi …
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Dialaw project un hub théâtral humain pour interroger le mythe du développement modernePour son retour au théâtre avec Dialaw Project, l’emblématique chorégraphe Germaine Acogny s’est entourée du metteur en scène Mikaël Serre et d’un collectif d’artistes venus du Sénégal, de France, d’Allemagne, du Luxembo…
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Tirailleurs africains : pour une construction nouvelle de la mémoireNouvelle création de la metteure en scène Alice Carré, la pièce Brazza-Ouidah- Saint-Denis jouée au TGP de Saint-Denis en France en ce mois de mai, invite à parcourir l’histoire et les mémoires des tirailleurs africains,…
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« A travers le voguing et la musique baroque, c’est le monde qu’on renverse ! »Des bals de voguing de Baltimore aux bals baroques de la cour du Roi Soleil ; de la tradition égyptienne du Baladi, aux fanfares de rue en uniforme… Rien a priori ne prédestinait ces mouvements et expressions artistiques…
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Yannick Oho Bambe : Quand l’humanité frappe à nos portes, à quoi pensons-nous, à quoi rêvons-nous ?« Qu’est-ce que la crise humanitaire et de réfugiés mondiale, qui s’est produite à l’été 2015 dans des proportions inégalables, peut me révéler par rapport au modèle de société que nous sommes en train de construire et q…
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Elgas : « J’interroge ce que c’est d’aimer quand on est un « incompétent affectif » »Aimer, comment, pourquoi mais surtout à quoi bon ? C’est avec Mâle noir, son premier roman paru aux Editions Ovadia, que l’écrivain sénégalais Elgas pousse la porte des relations sentimentales – et avec elle – celle d’u…
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Penser la crise écologique depuis les Outre-MerAuteur de « Une écologie décoloniale- Penser l’écologie depuis le monde caribéen » (2019), Malcom Ferdinand coordonne ce mois-ci, avec Mélissa Manglou, doctorante en géographie et en anthropologie, un numéro historique d…
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« Se faire photographier permet de se mettre en vulnérabilité »On pourrait dire qu’elle n’a pas « l’œil dans son sac ». Dans sa bio Instagram, Yasmine Hatimi donne vite le ton et emprunte à la poétesse américaine Anne Sexton ces mots « I like you; your eyes are full of language ». C…
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[TRIBUNE] « Faut-il avoir peur du décolonial? »Le 25 septembre, le journal Le Monde a publié la tribune de 80 psychanalystes accusant la “pensée décoloniale” de renforcer “le narcissisme des petites différences”. Au même moment, les alertes racistes se multiplient e…
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Ecrire l’Afrique-MondeLes actes de la première édition des Ateliers de la pensée organisée l’année dernière à l’initiative de Felwine Sarr et Achille Mbembé ont été publiés, aux éditions Philippe Rey. Il s’agit d’une somme des vingt-et-une co…
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Silence du chœur de M. Mbougar Sarr : un roman humain plus qu’humanisteAprès son premier roman, Terre ceinte (Présence Africaine), salué par la critique et récompensé par de nombreux prix, Mohamed Mbougar Sarr vient de publier Silence du chœur, chez le même éditeur. Le jeune auteur sén…
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Les Ateliers de la pensée à Dakar pour achever le tournant décolonialLa première édition des Ateliers de la pensée, organisée à l’initiative de Felwine Sarr et Achille Mbembe, a pris fin le 31 octobre à Saint-Louis au Sénégal. Pendant quatre jours, une vingtaine d’intellectuels se sont ré…
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Gemaine Acogny : oser la parole, libérer le gesteCelle que l’on surnomme « la divinité des Sables » est de retour sur son territoire premier : la scène, avec A un endroit du début, une fable puissante, intime et universelle que le public est invité à découvrir au théâtre…
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Danse contemporaine au Burkina Faso : entre perte de vitesse et renaissancePendant longtemps, et aujourd’hui encore, la simple évocation du vocable de danse africaine dite contemporaine a toujours donné voie à des controverses de tous genres.L’inopportune association de la danse africaine à une…
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« Faire bouger les choses ! »Une « affaire de femme » ? En Afrique de l’Ouest, il est fréquent d’entendre que la danse est « une affaire de femme ». Des Djendjoba maliens aux Sabar sénégalais, les cercles qui se forment lors des événements festifs regr…
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Femme de combat/Combat de femme 3 : Germaine AcognyAvec la série Femme de combat/combat de femme, Africultures vous propose des portraits choisis de femmes. Elles utilisent leur art ou tout simplement leur voix, pour parler, montrer, décrire la place de la femme dans la …
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Danse, Bamako, danse !Pendant une semaine des centaines de chorégraphes, venus de 17 pays d’Afrique, se réunissent pour participer à la biennale de danse contemporaine « danse l’Afrique, danse ». Les rencontres chorégraphiques itinérantes se dé…
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Corps noirs, regards blancs : retour sur la danse africaine contemporaineCe qu’il est convenu d’appeler » la danse africaine contemporaine » connaît une diffusion internationale grandissante. Salia Nï Seydou, Faustin Linyekula, Tché Tché, Boyzie Cekwana autant de révélations de ce mouvement …
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Transmettre autrement…Pour la danse contemporaine africaine, la question de la transmission fait l’objet d’une riche réflexion.En 1977 s’ouvrait à Dakar MUDRA Afrique, première école panafricaine du spectacle sous la direction de Germaine Aco…
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Toubab Dialaw :Consciente de l’enjeu capital de la formation dans l’évolution de la danse contemporaine africaine, la danseuse et chorégraphe sénégalaise Germaine Acogny crée, en 1997, un centre à Toubab Dialaw, au Sénégal. Pari risqué…
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Je conseille de faire le tour du monde et de revenirTreize ans après « Yé’ou » (l’Éveil), son premier solo, la chorégraphe Germaine Acogny revient avec « Tchouraï » sur un parcours singulier, entre Afrique et Europe.Entre le Sénégal, l’Afrique de l’Ouest ou la France, vos ate…
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Danse contemporaine en Afrique : état des lieux, état des vœuxL’Atelier Danse qui s’est tenu lors du colloque « Territoires de la création » en septembre dernier à Lille a tenté de faire le point sur les besoins de la danse contemporaine africaine en matière de formation, de producti…
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Montpellier Danse 2000 : le grand écart des créations africainesTémoignant de l’intérêt grandissant de l’Occident pour les danses contemporaines d’Afrique, le festival Montpellier Danse leur a, cette année, largement ouvert ses portes. L’occasion de mesurer, à travers les six créatio…
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L’Afrique du sud mène la danse à TananariveLes 3èmes Rencontres de la création chorégraphique d’Afrique et de l’Océan indien se sont déroulées en novembre dernier dans la capitale malgache, Antananarivo. Remportant deux des trois prix du concours, les compagnies …
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Une maison de la danse renait au SénégalQuinze ans après la fermeture de Mudra Afrique, la danseuse et chorégraphe Germaine Acogny rouvre un centre de formation au Sénégal. Un stage de trois mois, destiné aux danseurs professionnels africains, aura lieu au pri…