Archives mensuelles : février, 2003

Critique

Nah fala makes for the same kind of happy viewing as a Jacques Demy musical. Manu Dibango’s songs are full of life, the dance scenes make you want to get…

Critique

On voit « Nah falla » avec le même bonheur qu’une comédie musicale de Jacques Demy : les chants orchestrés par Manu Dibango sont pleins de vie, les danses donnent envie de…

Critique

It is no coincidence that the title of Mama Keïta’s film is the same as that of French director, Jean Renoir. Both films are all but picturesque. Both films present…

Critique

Le fait que Mama Keïta ait repris le même titre que le film de Renoir n’est pas neutre : ici aussi, rien n’est pittoresque. Ici aussi, un puzzle relationnel baigné…

Critique

The film begins with archive images from 1998, with soldiers at last proclaiming, « We want peace ». These are the film’s only images of a war that is nonetheless constantly present…

Critique

Drawing on all the tricks of Hollywood action films, Nabil Ayouch produces an efficient cinema. His third feature film uses and abuses them a little too systematically, with its punchy…

Critique

Puisant dans les ficelles des films d’action américains, Nabil Ayouch fait un cinéma efficace. Son troisième long métrage en use et en abuse, avec systématisme : musique à coups de…

Critique

There is one particularly beautiful scene (of many) in Poupées d’argile (Clay Dolls). Omrane, who goes round rural backwaters looking for maids to hire out to rich Tunisian families, discovers…

Critique

Il y a dans « Poupées d’argile » une très belle scène (parmi tant d’autres) : Omrane, courtier de « bonnes à tout faire » qui va les chercher au bled pour les louer…

Critique

The image is unforgettable, a group of children emerging from beneath the stalls of a still-deserted Brazzaville market. They are the « dirty seven » gang, as they like to call themselves.…

Critique

L’image est saisissante : des enfants émergent au petit matin de sous les étals d’un marché de Brazzaville encore désert. C’est le groupe des « sept salopards », le nom qu’ils se…

Entretien

You chose to shoot your film, which is about Brazzaville street children, in a different country. I don’t think you speak Lingala, the language the children speak in the film.…

Reportage/festivals

Le festival Etonnants voyageurs à Bamako connaissait sa troisième édition du 3 au 10 février, écumant en province à Kayes, Kita, Koulikoro, Mopti, Ségou et Tombouctou. Alors que les activités…

Critique

Cité Campus puise dans l’univers quotidien des jeunes durant la période de préparation du bac pour aborder les intrigues amoureuses, petites jalousies, rivalités, et autres problèmes spécifiques à la jeunesse…

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