Événements

Continent Afrique 2008
3e édition

Français

Films tout public, Rencontres avec des personnalités du cinéma, et spectacle vivant.
Un bouillon de culture universelle à ne pas manquer

Vendredi 14 Novembre à 20h au cinéma Royal :

– Soirée inaugurale avec la projection de Mange ceci est mon Corps en présence du réalisateur Michel Ange Quay.

Samedi 15 Novembre à 20h30 au Café Music’ :
en partenariat avec le Café Music’

Hassan%
One-man-show TOUT PUBLIC
Durée : 1h25
(billets en vente à partir du 25 octobre au Café-Music)

Hassan Zahi est une des révélations comiques de l’année. Dans ce spectacle en rythme et en musique il campe des personnages qui nous ressemblent en les plaçant dans des situations où le comique jaillit du quotidien.
Hassan% est un spectacle drôle et émouvant, un bel hommage à la nature humaine et à ses diversités.






Hassan ou le rire libéré
« Hassan est le chaînon manquant entre Djamel Debbouze et Valérie Lemercier, avec la tchatche de l’un et le délire de l’autre, voire un petit cousin de Gad Elmaleh » Sud Ouest






Lundi 17 Novembre à 20h au cinéma Royal :


– Projection de Daratt (Tchad) en présence du réalisateur Mahamat Saleh Haroun.



Samedi 22 Novembre à 20h au cinéma Royal :


– Avant séance musicale avec le chanteur haïtien Yves Jazon suivi de la projection de Mange ceci est mon corps.



Les Films :
(Le programme complet et les horaires des séances seront disponibles début Novembre au Royal)

– Mange ceci est mon corps (Haïti, 2008) de Michelange Quay, sortie nationale le 22 Octobre 2008.

Un voyage hypnotique et viscéral – un poème qui nous emmène au plus profond de la souffrance d’Haïti. Madame est venue pour nourrir les masses damnées et affamées de la terre et elles sont venues pour être nourries. Cette faim, ce désir, va emmener Madame au-delà de son isolement vers la réalité d’Haïti, où elle va pour la première fois voir et entendre cette terre et son peuple, sentir la réalité de leur misère, la vérité de son corps. Elle va, enfin, toucher et être touchée.

Rencontre avec le réalisateur Michelange Quay Vendredi 14 à 20h au Royal.

– Daratt (Saison Sèche) (Tchad, 2005) de Mahamat-Saleh Haroun

À quinze ans, Atim part à la recherche de celui qui a tué son père. Il y a bien longtemps, deux mois avant sa naissance… Il arrive à N’djaména, la capitale du Tchad, et mène son enquête pour retrouver Abdallah Nassara, l’assassin…

Rencontre avec le réalisateur Mahamat-Saleh Haroun Lundi 17 à 19h30 au Royal

– Abouna (Notre Père) (Tchad, 2003) de Mahamat-Saleh Haroun, public à partir de 10 ans

Tahir (quinze ans) et Amine (huit ans) se réveillent un beau matin et apprennent que leur père a quitté la maison. Pourquoi ? Ils l’ignorent. Ils sont d’autant plus déçus que ce jour là, le Père devait arbitrer un match de football opposant les gosses du quartier. Les deux enfants attendent son retour puis décident d’aller à sa recherche à travers une longue errance dans la ville.

– Il va pleuvoir sur Conakry (Guinée, 2008) de Cheick Fantamady Camara.

Bibi (Bangali Bayo ou BB, 25 ans), journaliste caricaturiste et Kesso informaticienne, s’aiment. Elle est enceinte de lui. Ils forment un couple moderne. Mais le père de Bibi, Karamako, Imam de Conakry, imprégné de ses convictions religieuses et gardien de la tradition ancestrale, ne veut pas d’un enfant né hors mariage. Cela salirait sa lignée. Conflits de générations et réflexions sur l’évolution des traditions, sont au menu de cette saga familiale.

– VHS Kahloucha (Tunisie, 2008) de Nejib Belkhadi.

Grand fan des films de genre des années 70, Moncef Kahloucha, peintre en bâtiment, tourne des fictions hilarantes en VHS avec l’aide des habitants du quartier populaire Kazmet à Sousse (Tunisie). Il produit ses films, les réalise et y incarne toujours le rôle principal.
Hommage à Youssef Chahine :

– Silence on tourne (Egypte, 2001) de Youssef Chahine

La riche cantatrice et actrice Malak cherche à être aimée pour elle-même. Blessée par son divorce, elle tombe sous le charme d’un arriviste, Lamei, jusqu’à vivre pour lui une passion obsessionnelle. Son scénariste et son metteur en scène tentent alors de la séparer de cet individu qui met en péril sa carrière. Ces derniers font croire à Lamei que la fortune familiale ira à Paula, la fille de Malak.

– Alexandrie… New York (Egypte, 2003) de Youssef Chahine

A l’occasion d’un hommage qui lui est rendu à New York, Yéhia, réalisateur égyptien, retrouve Ginger, son amour de jeunesse.
Ils avaient 19 ans. Le rêve américain était le virus du siècle. Yéhia l’Alexandrin et Ginger l’Américaine étudiaient dans le plus prestigieux Institut d’Art Dramatique, en Californie. Ils s’étaient juré un amour éternel.
Quarante ans après, ils se retrouvent, le monde a changé, le rêve américain s’est transformé… Tout les sépare mais pas tout à fait car Yéhia découvre que Ginger lui avait donné un fils… américain.
A travers une fresque endiablée, où les héros aiment, chantent, dansent, rient et pleurent, Youssef Chahine revisite son passé et nous parle de ses rapports complexes avec l’Amérique qu’il a tant aimée.

– Sonic Mirror (Brésil, 2008) de Mika Kaurismaki.

La passion de Mika Kaurismäki pour la musique, en particulier brésilienne, l’a conduit à réaliser plusieurs films sur ce thème.
Voici Sonic Mirror, un surprenant plongeon émotionnel dans le monde du rythme, un voyage extraordinaire pour comprendre la vie et l’humanité à travers la musique. La musique comme miroir de la communication, la musique comme langage universel…

– Le Sel de la mer (Territoires Palestiniens 2008) de Anne Marie Jacir.

Soraya, 28 ans, née et élevée à Brooklyn, décide de rentrer s’installer en Palestine, le pays d’où sa famille s’est exilée en 1948. Dès son arrivée à Ramallah, Soraya cherche à récupérer l’argent de ses grands-parents gelé sur un compte à Jaffa mais elle se heurte au refus de la banque. Sa route croise alors celle d’Emad, un jeune Palestinien qui, au contraire d’elle, ne souhaite qu’une chose, partir pour toujours. Pour échapper aux contraintes liées à la situation du pays mais aussi pour gagner leur liberté, Soraya et Emad devront prendre leur destin en main quitte à transgresser les lois. Dans cette course à la vie, ils nous emmèneront sur les traces de leur Histoire en Palestine perdue.
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