
Danse : limites et grandeurs du Masa 2001
Six compagnies dont trois ivoiriennes : les prestations danse du Masa 2001 furent limitées en nombre et en diversité géographique. Ce qui n’excluait pas de très belles prestations.
Six compagnies dont trois ivoiriennes : les prestations danse du Masa 2001 furent limitées en nombre et en diversité géographique. Ce qui n’excluait pas de très belles prestations.
Compagnie Les 7 Kouss (Sénégal), Les Indépendan-tristes de Williams Sassine. Mise en scène de Jean-Clause Idée
Ecurie Maloba (RDC), « Les dernières nouvelles se sont pas bonnes », de Wilson Dave. Mise en scène de Nono Bakwa
Ymako Teatri (Côte d’Ivoire), » Les Paléos », adapté du roman d’Ahmadou Kourouma « En attendant les bêtes sauvages ». Mise en scène de Patrice Collet
« Les Prisonniers » d’Etienne Minoungou et Alexis Guiengani. Mise en scène d’Etiene Minonungou
Compagnie Sizang-Théâtre (Côte d’Ivoire), « L’Odyssée finale » de Coulibaly Chigatta Modibo. Mise en scène de Ablas Ouedraogo
Compagnie Théâtre du tigre (Gabon), « Mal de Mots », de Dread Paul Mouketa. Mise en scène d’Algoubine Dine.
Compagnie des Dialogues (Congo-Brazaville), « La Cérémonie » d’E. B. Dongala. Mise en scène de Nicolas Bissi
Les 700 places de la salle dévolue au théâtre au Palais de la Culture d’Abidjan ne se remplissaient que rarement pourtant, il y avait de quoi remplir son panier…
Enfin consacré à sa juste valeur par « la profession » lors de ce Masa 2001, le ténor de Treichville est depuis longtemps considéré comme un égal par son modèle et mentor…
Le succès phénoménal de ce groupe ivoirien, sans précédent depuis les premiers albums d’Alpha Blondy, coïncide avec le dixième anniversaire de leur musique, le zouglou, sur lequel Africultures reviendra prochainement…
Le mélomane retrouve au Masa son bonheur, tout ce qui semble désuet, oublié dans les sociétés « surdéveloppées » : le simple plaisir de chanter et de jouer, sans artifices, bien au-delà…
« On ne demande pas un aveugle la couleur de ses yeux » José Pliya, Nègrerrances.Nul ne peut ignorer les dérives xénophobes qui marquent la politique ivoirienne depuis une dizaine d’années avec…
The emergence of female characters in the African continent’s recent cinematographic production confirms the inversion in the distribution of roles heralded by Malian filmmaker Adama Drabo’s Taafe Fanga (Skirt Power)…
Music no longer plays an ornamental role nor is it just a stopgap in the films selected at the 17th Fespaco: it helps to structure the film narrative.
We had planned to publish a series of Fespaco film reviews reflecting a range of voices (African, African-American, and European), but the unreliability of computing one can imagine in Africa…
The musical as a genre is practically unheard of in African cinema. Yet music and dance are omnipresent
« I come from a country where the supernatural is not a scholarly element. » René Depestre We worked together on the Black Actors dossier a year ago. This year we have…
Temps de chien, de Patrice Nganang, Le Serpent à plumes, 2001, 300 p., 105 FF. Tout comme La Promesse des fleurs, le deuxième roman de Patrice Nganang fait la part belle…
Jeune auteur camerounais, Patrice Nganang revient dans son deuxième roman sur l’oralité des « sous-quartiers ».