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Tous les articles en lien avec Je ne fais pas du cinéma, le cinéma se fait en moi : entretien avec Moussa Sène Absa

  • Je ne fais pas du cinéma, le cinéma se fait en moi : entretien avec Moussa Sène Absa
    Moussa Sène Absa était présent à Barcelone pour présenter son film Xalé au festival de cinéma africain Wallay, du 25 au 31 mai 2023. Cet entretien explore les choix esthétiques de l’artiste, ainsi que son imaginaire, afi…
  • Créer pour résister – résister pour créer
    Que peut l’art cinématographique contre les maux qui minent le continent ? Que peut-il contre l’émigration, la mauvaise gouvernance des Etats, la corruption ? Des créateurs et des créatrices pour une nouvelle Afrique…
  • Fespaco 2023 / 2 : le féminin dans les cinémas d’Afrique
    Le Fespaco est une vitrine biennale de l’état du cinéma en Afrique. Nous avons vu dans un premier article comment il est aussi une « affaire d’Etat » ainsi que la façon dont les cinéastes traitent le danger terroriste. Nou…
  • Débats-forums Fespaco 2023 / 2 : Moussa Sene Absa à propos de Xalé
    Le réalisateur sénégalais présentait en compétition officielle au Fespaco 2023 son film Xalé, les blessures de l’enfance. Il fut invité à en parler avec la presse et les professionnels lors des débats-forums du lendemain…
  • De l’indicible au romantique : les masques de l’amour au cinéma
    Rares sont les histoires d’amour dans les cinémas d’Afrique noire, mais les films populaires plongent volontiers dans le romantisme.Nous avions déjà évoqué dans  » Femmes et hommes dans les cinémas d’Afrique noire  » (Afri…
  • La coproduction en francophonie
    Nouvelle étape dans la réflexion francophone organisée par le bureau de liaison de l’espace francophone et soutenue par la Sodec et l’Agence intergouvernementale de la francophonie. La première étape avait été la table-r…
  • à propos de Madame Brouette
    Voilà un destin de femme qui s’affirme : c’est ça qu’il faut montrer aujourd’hui en Afrique ? Il faut être de son temps : s’impliquer mais aussi donner des éléments de réflexion. Donner un visage symbolique d’une femme …
  • Madame Brouette
    « Ecoute cette ode, belle femme » : dès le générique, un véritable plaisir de chants et de danses, Moussa Sene-Absa précise son propos : ce film sera un hommage à l’affirmation des femmes. Bien sûr, cela passera par un réq…
  • Fespaco 1997 : le développement sera culturel ou ne sera pas
    De retour du Festival panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou, Olivier Barlet propose une analyse des tendances actuelles de la cinématographie africaine à partir des longs métrages de la compétition.Lor…
  • à propos de Tableau Ferraille
    L’art aide à rendre les gens heureux en les aidant à digérer la vie : il permet d’avoir prise sur ce qui nous entoure… J’essaye de faire abstraction de tout ce que je connais. L’ennemi de l’art, c’est l’ennui. L’artist…
  • entretiens d’Olivier Barlet avec Moussa Sene Absa (Sénégal)
    Affirmer une vision Il y a deux types de films : les films coup de gueule qui sont poignants et mettent les pieds dans le plat, et les films coup de coeur, films tendresse qui caressent dans le sens du poil et réconfort…
  • Tableau Ferraille
    Ils avancent d’un pas vif dans les ruelles de Dakar, non loin de la mer, groupe d’hommes en boubous bleus, la main sur l’oreille pour s’entendre chanter. Leur choeur a la beauté d’une affirmation, leur polyphonie a le so…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Moussa Sene Absa
    Tu préfères nettement tourner en extérieurs… La vie est plus forte que l’invention ou la parodie de la vie : je préfère donc les décors naturels. A Tableau Ferraille, le métal est travaillé par le soleil, la poussière…