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Tous les articles en lien avec Le « souffle des ancêtres » est une morale de vie

  • Sembène Ousmane, réinventer le futur ?
    « Cʼest à nous de créer nos valeurs, de les reconnaître, de les transporter à travers le monde, mais nous sommes notre propre soleil », disait Sembène Ousmane. Le 21 mai 2023 au Pavillon des Cinémas du monde de l’Institu…
  • Fespaco 2009 : l’inquiétude
    A la fois fête populaire, convivial lieu de rencontre et occasion de découverte et médiatisation des dernières productions africaines, le rendez-vous biennal des cinémas d’Afrique suscite l’enthousiasme général. Cette an…
  • Hergla 2008 : l’écriture de liberté de Djibril Diop Mambety
    Les 4èmes Rencontres de Hergla, organisées du 18 au 23 juillet 2008 par le cinéaste Mohamed Challouf et le critique Hassouna Mansouri dans un merveilleux petit village tunisien de bord de mer accueillaient cette année un…
  • Les médias face au génocide rwandais
    Animé par Catherine Ruelle (RFI), la Semaine de la Critique a proposé un débat faisant suite à la projection du film de Jean-Christophe Klotz, « Kigali, des images contre un massacre », sur la question du rôle des médias f…
  • Un lien intime
    Chaque année, l’Association Racines présente une autre image de l’Afrique. En 2002, « l’Afrique et ses religions, regards de cinéastes » est une programmation itinérante, présentée à Paris et en Ile de France, mais aussi d…
  • Contre l’Islam dogmatique
    Dans son long métrage documentaire « Mille et une voix soufies », le réalisateur tunisien Mahmoud Ben Mahmoud, auteur de « Siestes grenadine », plaide pour un Islam libéral et intérieur.Pourquoi ce film ? A l’origine, c’éta…
  • Victime de l’école coranique
    Dans « Cinq jours d’une vie », le réalisateur malien Souleymane Cissé critique l’école coranique quand elle dévie vers la mise en esclavage des enfants. »Cinq jours d une vie » a été votre premier film ? Oui, il représente …
  • « Nous sommes avant tout des animistes », dit le documentariste sénégalais, mais il décèle dans le Mouridisme un fond culturel africain.
    La Confrérie des Mourides est un de tes premiers films. Qu’est-ce qui t’a poussé à t’interroger sur cette confrérie mouride ? Moi je m’intéresse au documentaire. J’avais été impressionné par « Le grand Magal » de Blaise S…
  • Karmen censuré
    Comme Africultures l’a déjà rapporté (n°41) par une correspondance de Dakar, le film Karmen du Sénégalais Jo Gaye Ramaka a été interdit à l’arme blanche, par l’intervention musclée dans la salle de cinéma de Mourides out…
  • Le « souffle des ancêtres » est une morale de vie
    Dans « Le Prix du pardon », le réalisateur sénégalais développe une esthétique abstraite pour ouvrir la compréhension du lien avec les ancêtres.Pourquoi avoir adapté le livre « Le prix du pardon » ? J’ai choisi ce livre de …
  • Le Prix du pardon
    Un étrange brouillard recouvre un village de pêcheurs au Sénégal. On chuchote, on parle de malédiction. Baye Sogui le vieux chef spirituel se meurt. Son fils Mbanick, et son ami d’enfance rivalisent pour séduire Maxoye, …
  • Il faut une nouvelle génération
    Sélectionné en compétition officielle au festival de Cannes en 1996, Po di Sangui est un regard essentiel sur le devenir écologique et spirituel de notre planète.Pourquoi ce film ? Po Di Sangui parle du rapport entre l’…
  • Une synthèse intérieure
    Dans des courts métrages comme « Ainsi soit-il » ou dans les longs métrages comme « Nitt… Ndoxx ! Les faiseurs de pluie », vous avez exploré la spiritualité sénégalaise. Oui, c’est vrai que c’est quelque chose qui vient de …
  • Le Prix du pardon
    Mansour Sora Wade a choisi pour son premier long métrage d’adapter librement le roman éponyme de Mbissane Ngom (ed. NEAS), d’origine Lebu comme lui. La mer est omniprésente dans cette histoire dramatique où Yatma (Hubert…
  • Siméon, contre la division
    L’oralité du conte, la gestuelle des corps, la danse et la musique : il y a tout dans Siméon.Comment est venu Siméon ? C’était juste après un film politique puisque parlant de l’apartheid, un film commandé par les studi…
  • Jit : la musique est tonique !
    Jit, tourné en 1990, fit un tabac en alignant de petites scènes musicales mettant en scène un héros essayant de trouver la dot de sa promise. Le Zimbabwe y apparaît en couleurs vives enjolivant le réel jusqu’à le magnifi…
  • Racines noires 98, rencontre des cinémas du monde noir
    Nous quittons pour quelque numéros notre démarche transversale en centrant notre dossier sur une discipline artistique. Il s’agit d’honorer par un travail de recherche les partenariats développés avec les festivals qui n…
  • à propos du Gone du Chaâba
    Retour sur le Gone du Chaâba, livre d’Azouz Begag et film de Philippe Ruggia (critique dans notre précédent numéro) : comment un cinéaste s’approprie un écrit pour le conformer à ce qu’il désire communiquer.Pourquoi adap…