Archives mensuelles : juin, 2004

Critique

Cela commence sur des scènes de rues, des ambiances, des bribes de dialogues, le marché : Ouagadougou est le sujet de ce film, un vrai personnage, mais cela est fait…

Entretien

Mame Faguèye Bâ, Saint-Louisienne basée à Dakar incarne l’élégance de l’ancienne capitale du Sénégal et de l’AOF. Ses créations oscillent entre le moderne et le traditionnel, la matière transformée par…

Document

L’exil, muse ou démon ? Tel est le thème de l’un des débats qui se sont tenus à l’occasion du Festival du cinéma, de la création et des arts contemporains…

Critique

Pour nous qui avons travaillé d’arrache pied au spécial Haïti d’Africultures (numéro 58, qui comporte d’ailleurs une passionnante contribution de Charles Najman), ce film est du pain béni : il…

Critique

Rien d’étonnant à ce que le film débute sur les escaliers de la butte Montmartre, haut-lieu historique du Paris populaire. C’est dans cette lignée que se situe Jean Odoutan, celle…

Critique

Qu’est-ce qui fait donc l’Afrique se déchirer ? Regina Fanta Nacro est comme ses pairs habitée par les drames de l’Afrique contemporaine et choisit avec courage pour son premier long…

Entretien

The film is insisting on the fact that the UN-managed refugee camp remains a no-go area, inaccessible to the police where juvenile delinquents cannot be caught. These teenagers find themselves…

Entretien

Le film met l’accent sur le fait que le camp géré par les Nations Unies reste une zone de non-droit inaccessible à la police et mettant les jeunes délinquants hors…

Critique

Shot in video, in the style a news report, the film begins with the arrival of refugees in a UN camp. But very quickly, the camera becomes more fictional as…

Critique

Cela commence avec l’arrivée de réfugiés dans un camp de l’ONU, tournée en vidéo, style reportage. Mais très vite, la caméra se fait plus fictionnelle pour aborder le vécu d’un…

Critique

« Si je savais écrire, je t’écrirais jour et nuit » : la voix d’Aïcha (Leila El Ahyani) se superpose aux magnifiques paysages enneigés de l’Atlas. C’est Casablanca qui la sépare de…

Critique

D’entrée, le corps : Selim torse nu devant la glace. C’est à ce niveau très intime et physique que se situe Un fils : Selim se prostitue, en compagnie de…

Critique

« New York, pourquoi combats-tu la tendresse ? » Pour pousser son coup de gueule anti-Bush, Chahine se fait à nouveau autobiographique, comme il l’avait été dans Alexandrie pourquoi (1979), La Mémoire…

Critique

La blessure, c’est une jambe prise dans la porte d’un bus, une jambe qui saigne et que l’on laisse sans soins, une femme noire allongée sur le sol dans le…