Fiche Personne
Musique
Théâtre
Cinéma/TV
Danse
Nabil Ayouch
Réalisateur/trice, Producteur/trice, Scénariste, Producteur/trice délégué/e
France, Maroc
© Courtesy Cannes 2024
Site web : www.alinprod.com
Français
Réalisateur, scénariste et producteur français et marocain.
Né le 1er avril 1969 à Paris, Nabil Ayouch passe une partie de sa jeunesse à Sarcelles dans un milieu qu’il définit comme « plutôt modeste ». Très tôt, son père marocain laisse périodiquement sa mère, enseignante française, pour créer à Casablanca, d’une part, une agence de publicité qui deviendra l’une des plus prospères du Royaume et, d’autre part, la Fondation Zakoura, une banque sur le modèle de la Grameen Bank du Bangladesh qui prête aux plus démunis à des taux d’intérêt très bas.
Après trois années de cours de théâtre à Paris (1987-1990), en compagnie de Sarah Boréo et Michel Granvale, il effectue ses débuts comme auteur-metteur en scène, et se lance dans la publicité au poste de concepteur-rédacteur chez Euro-RSCG, expérience qu’il considère aujourd’hui comme « une bonne plate-forme d’observation pour comprendre comment marche un tournage ». Parallèlement à cela, le jeune Nabil Ayouch entre en cinéma, non par les écoles, mais par la voie des stages « à peu près à tous les postes » (les citations sont extraites d’une interview publiée dans le journal Le Monde, du 21 mars 2001).
Saisi par la passion, il décide de s’orienter vers la réalisation, ce qui lui permet d’amorcer une réconciliation avec sa seconde culture marocaine. Il navigue alors d’un bord à l’autre de la Méditerranée, plongeant « d’une culture, d’un monde à l’autre, d’un milieu social à l’autre » pour les besoins de multiples projets. En 1992, il réalise Les Pierres bleues du désert, un premier court métrage avec Jamel Debbouze qui raconte l’histoire d’un jeune homme convaincu qu’il existe de grandes pierres bleues dans le désert. Hommage émouvant aux esprits en quête de vérité, ce petit film simple et poétique annonce déjà Ali Zaoua. Puis, il tourne deux autres courts métrages, Hertzienne Connexion (1993) et Vendeur de silence (1994) pour lesquels il reçoit de nombreux prix internationaux très prometteurs.
Toutefois, la relation avec ses pairs marocains n’aura pas toujours été aisée. « Nous récoltons les fruits de leur courage et de leur labeur. Évidemment, ils ont été un peu surpris, même agacés, quand ils ont vu débarquer au 4e Festival national du film marocain à Tanger, en 1995, une bande de jeunes cinéastes de la diaspora. Ce fut comme un raz-de-marée, la pierre angulaire du jeune cinéma marocain bénéficiant de ses contacts dans les pays développés et des facilités accordées par le Maroc ».
Néanmoins, pour éviter l’enfermement, Nabil Ayouch s’oppose à l’idée de créer une association de réalisateurs quand les cinéastes de la diaspora le lui proposent : « Nous avons la chance d’être dans un pays où le cinéma commence à naître après celui de nos voisins africains. Nous devons donc nous solidariser avec les cinéastes installés au Maroc et fonder une association nous réunissant tous. » Estimant que les défis à relever se situent au Maroc et non en Europe, Nabil Ayouch crée alors en 1999 sa propre maison de production à Casablanca (Ali N’Productions) afin de découvrir de nouveaux talents locaux.
C’est avec une certaine liberté de ton, probablement due à sa double culture qu’en 1997, il met en scène Mektoub, un premier long métrage en forme de « road-movie » policier qui évoque sans complaisance certains sujets tabous de la société marocaine comme la corruption, l’abus de pouvoir, les inégalités, le cannabis… Le film fait exploser le box-office marocain avec plus de 350 000 spectateurs et remporte un succès d’estime en France. L’histoire s’inspire du scandale de l’affaire Tabet, un fait divers retentissant qui a mis à jour un trafic de cassettes pornographiques organisé par le commissaire de police Tabet et impliquant de nombreux hauts fonctionnaires.
En 2002, Nabil Ayouch tourne Une minute de soleil en moins, un téléfilm sur le thème de la parité, qui se déroule à Tanger, pour le compte de la collection « Masculin/Féminin » d’Arte.
En 2008, il sort Whatever Lola Wants, coproduit avec Pathé.
Nabil Ayouch tourne entre la Palestine et Israël son premier long métrage documentaire, « My Land« , en 2011. Il enchaîne avec « Les chevaux de Dieu » (2012), puis « Much Loved » (2015) et « Razzia » (2017).
En 2021, il est nominé pour la première fois à la Palme d’or avec « Haut et fort (Casablanca Beats)« , en Compétition Officielle du 74è Festival de Cannes.
BIO OFFICIELLE
En 1997, Nabil Ayouch réalise son premier long métrage, « Mektoub », qui comme « Ali Zaoua » (2000) a représenté le Maroc aux Oscars, puis viennent « Une minute de Soleil en moins » (2003) et « Whatever Lola Wants » (2008), produit par Pathé. Son premier court-métrage en 1992, « Les Pierres bleues du Désert » révèle Jamel Debouzze.
En 2009, il conçoit et met en scène le spectacle de clôture du Forum Economique Mondial de Davos, après avoir mis en scène plusieurs spectacles vivants tel que l’ouverture du Temps du Maroc en France au Château de Versailles en 1999.
Nabil Ayouch crée en 1999 Ali n’ Productions, société avec laquelle il aide de jeunes réalisateurs à se lancer grâce à des initiatives telles que le Prix Mohamed Reggab, concours de scénario et production de 8 courts métrages en 35 mm. Entre 2005 et 2010, il produit 40 films de genre dans le cadre de la Film Industry. En 2006, il lance le programme Meda Films Development – avec le soutien de l’Union Européenne et de la Fondation du Festival International du Film de Marrakech- une structure d’accompagnement des producteurs et scénaristes des dix pays de la Rive Sud de la Méditerranée, dans la phase de développement de leurs films.
Nabil Ayouch fonde le G.A.R.P. (Groupement des Auteurs, Réalisateurs, Producteurs) en 2002 et la « Coalition Marocaine pour la Diversité Culturelle » en 2003. En 2008, il participe à la création de l’Association Marocaine de lutte contre le Piratage, qu’il préside.
En 2011, il est nommé au Conseil Economique, social et Environnemental.
En 2011 également, il sort son premier documentaire de long métrage, « My Land », qu’il a tourné au Proche-Orient.
Nabil Ayouch termine en 2012 « Les chevaux de Dieu », adaptation au cinéma du roman de Mahi Binebine « les étoiles de Sidi Moumen », qui s’inspire des attentats du 16 mai 2003 à Casablanca.
Sélection officielle au festival de Cannes (Prix François Chalais). Le film représente le Maroc aux Golden Globes et aux Oscars et remporte 26 prix à l’international.
Début 2014, il ouvre avec la Fondation Ali Zaoua – qu’il préside – un Centre Culturel destiné aux jeunes dans le quartier périphérique de Sidi Moumen, dont sont issus les kamikazes du 16 mai 2003.
A ce jour, près de 400 enfants et adolescents sont inscris au Centre « Les étoiles de Sidi Moumen » et viennent y apprendre toutes les formes d’expression artistique.
En novembre 2014, le musée du Louvre rend hommage à Nabil Ayouch en lui offrant une carte blanche de 3 jours pendant laquelle une grande partie de son travail a été montrée au public parisien.
En mars 2015, une exposition sera organisée à la galerie 38 à Casablanca pour montrer le travail photographique dans lequel Nabil Ayouch s’est lancé depuis un an à travers une série consacrée aux marginaux.
En mai 2015, son dernier film « Much Loved » est sélectionné au festival de Cannes, à la Quinzaine des Réalisateurs. En septembre, il remporte le Valois d’Or et le Valois de la meilleure actrice à Angoulême. Interdit au Maroc, distribué en France par Pyramide et vendu à l’international par Celluloïd Dreams, « Much Loved » démarre ses sorties mondiales en septembre.
En 2017, il réalise « Razzia » qu’il a coécrit avec Maryam Touzani, son épouse. Il co-écrit le premier long métrage de sa femme, « Adam » (2019), sélectionné au 72è Festival de Cannes (Un Certain Regard).
FILMOGRAPHIE (réalisateur)
1992 – « Les Pierres bleues du Désert« , premier court-métrage, avec Jamel Debouzze
1993 – « Hertzienne Connexion« , 2ème court-métrage
1994 – « Vendeur de silence« , 3ème court-métrage
1997 – « Mektoub« , 1er Long Métrage fiction
1999 – « Ali Zaoua« , 2è Long Métrage fiction
2003 – « Une minute de Soleil en moins« , TV Film
2007 – « Whatever Lola Wants« , 3è Long Métrage fiction
2011 – « My Land« , 1er long métrage documentaire
2012 – « Les chevaux de Dieu« , 4è Long Métrage fiction
2015 – « Much Loved« , 5è Long Métrage fiction
2017 – « Razzia« , 6è Long Métrage fiction
2021 – « Haut et fort (Casablanca Beats)« , 7è Long Métrage fiction
Source : www.alinprod.com/presentation.php
mise à jour par Thierno DIA, le 18 juillet 2021
Né le 1er avril 1969 à Paris, Nabil Ayouch passe une partie de sa jeunesse à Sarcelles dans un milieu qu’il définit comme « plutôt modeste ». Très tôt, son père marocain laisse périodiquement sa mère, enseignante française, pour créer à Casablanca, d’une part, une agence de publicité qui deviendra l’une des plus prospères du Royaume et, d’autre part, la Fondation Zakoura, une banque sur le modèle de la Grameen Bank du Bangladesh qui prête aux plus démunis à des taux d’intérêt très bas.
Après trois années de cours de théâtre à Paris (1987-1990), en compagnie de Sarah Boréo et Michel Granvale, il effectue ses débuts comme auteur-metteur en scène, et se lance dans la publicité au poste de concepteur-rédacteur chez Euro-RSCG, expérience qu’il considère aujourd’hui comme « une bonne plate-forme d’observation pour comprendre comment marche un tournage ». Parallèlement à cela, le jeune Nabil Ayouch entre en cinéma, non par les écoles, mais par la voie des stages « à peu près à tous les postes » (les citations sont extraites d’une interview publiée dans le journal Le Monde, du 21 mars 2001).
Saisi par la passion, il décide de s’orienter vers la réalisation, ce qui lui permet d’amorcer une réconciliation avec sa seconde culture marocaine. Il navigue alors d’un bord à l’autre de la Méditerranée, plongeant « d’une culture, d’un monde à l’autre, d’un milieu social à l’autre » pour les besoins de multiples projets. En 1992, il réalise Les Pierres bleues du désert, un premier court métrage avec Jamel Debbouze qui raconte l’histoire d’un jeune homme convaincu qu’il existe de grandes pierres bleues dans le désert. Hommage émouvant aux esprits en quête de vérité, ce petit film simple et poétique annonce déjà Ali Zaoua. Puis, il tourne deux autres courts métrages, Hertzienne Connexion (1993) et Vendeur de silence (1994) pour lesquels il reçoit de nombreux prix internationaux très prometteurs.
Toutefois, la relation avec ses pairs marocains n’aura pas toujours été aisée. « Nous récoltons les fruits de leur courage et de leur labeur. Évidemment, ils ont été un peu surpris, même agacés, quand ils ont vu débarquer au 4e Festival national du film marocain à Tanger, en 1995, une bande de jeunes cinéastes de la diaspora. Ce fut comme un raz-de-marée, la pierre angulaire du jeune cinéma marocain bénéficiant de ses contacts dans les pays développés et des facilités accordées par le Maroc ».
Néanmoins, pour éviter l’enfermement, Nabil Ayouch s’oppose à l’idée de créer une association de réalisateurs quand les cinéastes de la diaspora le lui proposent : « Nous avons la chance d’être dans un pays où le cinéma commence à naître après celui de nos voisins africains. Nous devons donc nous solidariser avec les cinéastes installés au Maroc et fonder une association nous réunissant tous. » Estimant que les défis à relever se situent au Maroc et non en Europe, Nabil Ayouch crée alors en 1999 sa propre maison de production à Casablanca (Ali N’Productions) afin de découvrir de nouveaux talents locaux.
C’est avec une certaine liberté de ton, probablement due à sa double culture qu’en 1997, il met en scène Mektoub, un premier long métrage en forme de « road-movie » policier qui évoque sans complaisance certains sujets tabous de la société marocaine comme la corruption, l’abus de pouvoir, les inégalités, le cannabis… Le film fait exploser le box-office marocain avec plus de 350 000 spectateurs et remporte un succès d’estime en France. L’histoire s’inspire du scandale de l’affaire Tabet, un fait divers retentissant qui a mis à jour un trafic de cassettes pornographiques organisé par le commissaire de police Tabet et impliquant de nombreux hauts fonctionnaires.
En 2002, Nabil Ayouch tourne Une minute de soleil en moins, un téléfilm sur le thème de la parité, qui se déroule à Tanger, pour le compte de la collection « Masculin/Féminin » d’Arte.
En 2008, il sort Whatever Lola Wants, coproduit avec Pathé.
Nabil Ayouch tourne entre la Palestine et Israël son premier long métrage documentaire, « My Land« , en 2011. Il enchaîne avec « Les chevaux de Dieu » (2012), puis « Much Loved » (2015) et « Razzia » (2017).
En 2021, il est nominé pour la première fois à la Palme d’or avec « Haut et fort (Casablanca Beats)« , en Compétition Officielle du 74è Festival de Cannes.
BIO OFFICIELLE
En 1997, Nabil Ayouch réalise son premier long métrage, « Mektoub », qui comme « Ali Zaoua » (2000) a représenté le Maroc aux Oscars, puis viennent « Une minute de Soleil en moins » (2003) et « Whatever Lola Wants » (2008), produit par Pathé. Son premier court-métrage en 1992, « Les Pierres bleues du Désert » révèle Jamel Debouzze.
En 2009, il conçoit et met en scène le spectacle de clôture du Forum Economique Mondial de Davos, après avoir mis en scène plusieurs spectacles vivants tel que l’ouverture du Temps du Maroc en France au Château de Versailles en 1999.
Nabil Ayouch crée en 1999 Ali n’ Productions, société avec laquelle il aide de jeunes réalisateurs à se lancer grâce à des initiatives telles que le Prix Mohamed Reggab, concours de scénario et production de 8 courts métrages en 35 mm. Entre 2005 et 2010, il produit 40 films de genre dans le cadre de la Film Industry. En 2006, il lance le programme Meda Films Development – avec le soutien de l’Union Européenne et de la Fondation du Festival International du Film de Marrakech- une structure d’accompagnement des producteurs et scénaristes des dix pays de la Rive Sud de la Méditerranée, dans la phase de développement de leurs films.
Nabil Ayouch fonde le G.A.R.P. (Groupement des Auteurs, Réalisateurs, Producteurs) en 2002 et la « Coalition Marocaine pour la Diversité Culturelle » en 2003. En 2008, il participe à la création de l’Association Marocaine de lutte contre le Piratage, qu’il préside.
En 2011, il est nommé au Conseil Economique, social et Environnemental.
En 2011 également, il sort son premier documentaire de long métrage, « My Land », qu’il a tourné au Proche-Orient.
Nabil Ayouch termine en 2012 « Les chevaux de Dieu », adaptation au cinéma du roman de Mahi Binebine « les étoiles de Sidi Moumen », qui s’inspire des attentats du 16 mai 2003 à Casablanca.
Sélection officielle au festival de Cannes (Prix François Chalais). Le film représente le Maroc aux Golden Globes et aux Oscars et remporte 26 prix à l’international.
Début 2014, il ouvre avec la Fondation Ali Zaoua – qu’il préside – un Centre Culturel destiné aux jeunes dans le quartier périphérique de Sidi Moumen, dont sont issus les kamikazes du 16 mai 2003.
A ce jour, près de 400 enfants et adolescents sont inscris au Centre « Les étoiles de Sidi Moumen » et viennent y apprendre toutes les formes d’expression artistique.
En novembre 2014, le musée du Louvre rend hommage à Nabil Ayouch en lui offrant une carte blanche de 3 jours pendant laquelle une grande partie de son travail a été montrée au public parisien.
En mars 2015, une exposition sera organisée à la galerie 38 à Casablanca pour montrer le travail photographique dans lequel Nabil Ayouch s’est lancé depuis un an à travers une série consacrée aux marginaux.
En mai 2015, son dernier film « Much Loved » est sélectionné au festival de Cannes, à la Quinzaine des Réalisateurs. En septembre, il remporte le Valois d’Or et le Valois de la meilleure actrice à Angoulême. Interdit au Maroc, distribué en France par Pyramide et vendu à l’international par Celluloïd Dreams, « Much Loved » démarre ses sorties mondiales en septembre.
En 2017, il réalise « Razzia » qu’il a coécrit avec Maryam Touzani, son épouse. Il co-écrit le premier long métrage de sa femme, « Adam » (2019), sélectionné au 72è Festival de Cannes (Un Certain Regard).
FILMOGRAPHIE (réalisateur)
1992 – « Les Pierres bleues du Désert« , premier court-métrage, avec Jamel Debouzze
1993 – « Hertzienne Connexion« , 2ème court-métrage
1994 – « Vendeur de silence« , 3ème court-métrage
1997 – « Mektoub« , 1er Long Métrage fiction
1999 – « Ali Zaoua« , 2è Long Métrage fiction
2003 – « Une minute de Soleil en moins« , TV Film
2007 – « Whatever Lola Wants« , 3è Long Métrage fiction
2011 – « My Land« , 1er long métrage documentaire
2012 – « Les chevaux de Dieu« , 4è Long Métrage fiction
2015 – « Much Loved« , 5è Long Métrage fiction
2017 – « Razzia« , 6è Long Métrage fiction
2021 – « Haut et fort (Casablanca Beats)« , 7è Long Métrage fiction
Source : www.alinprod.com/presentation.php
mise à jour par Thierno DIA, le 18 juillet 2021
English
French Moroccan Film Director, Screenwriter and Producer.
Nabil AYOUCH is a Film Director, Screenwriter and Producer. He is known for MUCH LOVED (2015) and RAZZIA (2017).
FILMOGRAPHY
1992 – « Les Pierres bleues du Désert« , 1st short, starring Jamel Debouzze
1993 – « Hertzienne Connexion« , 2nd short
1994 – « Vendeur de silence« , 3rd short
1997 – « Mektoub« , 1st feature
1999 – « Ali Zaoua« , 2nd feature
2003 – « Une minute de Soleil en moins« , TV Film
2007 – « Whatever Lola Wants« , 3rd feature
2011 – « My Land« , 1st feature documentary
2012 – « Les chevaux de Dieu« , 4th feature
2015 – « Much Loved« , 5th feature
2017 – « Razzia« , 6th feature
2021 – « Haut et fort (Casablanca Beats)« , 7th feature
Nabil AYOUCH is a Film Director, Screenwriter and Producer. He is known for MUCH LOVED (2015) and RAZZIA (2017).
FILMOGRAPHY
1992 – « Les Pierres bleues du Désert« , 1st short, starring Jamel Debouzze
1993 – « Hertzienne Connexion« , 2nd short
1994 – « Vendeur de silence« , 3rd short
1997 – « Mektoub« , 1st feature
1999 – « Ali Zaoua« , 2nd feature
2003 – « Une minute de Soleil en moins« , TV Film
2007 – « Whatever Lola Wants« , 3rd feature
2011 – « My Land« , 1st feature documentary
2012 – « Les chevaux de Dieu« , 4th feature
2015 – « Much Loved« , 5th feature
2017 – « Razzia« , 6th feature
2021 – « Haut et fort (Casablanca Beats)« , 7th feature
Films(s)
-
Everybody loves ToudaLong-métrage – 2024Touda rêve de devenir une Cheikha, une artiste traditionnelle marocaine, qui chante sans pudeur ni censure des textes de résistance, d’amour et d’émancipation, transmis depuis des générations. Se produisant tous les soir…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
-
Bleu du caftan (Le)Long-métrage – 2022Halim est marié depuis longtemps à Mina, avec qui il tient un magasin traditionnel de caftans dans la médina de Salé, au Maroc. Le couple vit depuis toujours avec le secret d’Halim, son homosexualité qu’il a appris à tai…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Haut et fortLong-métrage – 2021Anas, ancien rappeur, est engagé dans un centre culturel d’un quartier populaire de Casablanca. Encouragés par leur nouveau professeur, les jeunes vont tenter de se libérer du poids de certaines traditions pour vivre leu…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
-
Razzia – غزيةLong-métrage – 2017Cinq histoires sans lien apparent et pourtant liées par un évènement qui va marquer les rues de Casablanca. Des montagnes de l’Atlas à Casablanca, ville-monde, unique. Deux époques. Abdallah, Salima, Joe, Hakim et Inès….Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
-
Pluie de sueur (Sweet Rain) – عرق الشتاLong-métrage – 2016Mbarek est un petit paysan qui cultive son lopin de terre dans un village du Maroc profond. Il y vit avec sa femme Ayda, son vieux père malade et son fils adolescent Ayoub. Ce bout de terre est leur unique source de reve…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Aji-Bi, les Femmes de l’Horloge – جنب المگانةLong-métrage – 2015« Aji, khti, viens, ma sœur »… C’est ainsi que Marème, vingt ans, accroche ses clientes parmi les passantes, aux abords de l’ancienne médina de Casablanca pour leur poser des faux-cils et des rastas. Marème est une « Aji…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Much LovedLong-métrage – 2015Marrakech aujourd’hui. Noha, Randa, Soukaina, Hlima et les autres vivent d’amours tarifées. Ce sont des putes, des objets de désir. Les chairs se montrent, les corps s’exhibent et s’excitent, l’argent circule au rythme …Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
-
Chevaliers blancs (Les)Long-métrage – 2015Jacques Arnault, président de l’ONG « Move for kids », a convaincu des familles françaises en mal d’adoption de financer une opération d’exfiltration d’orphelins d’un pays d’Afrique dévasté par la guerre. Entouré d’une équ…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice exécutif/ve
-
Aya va à la plage (Aya wal bahr) – آية والبحرCourt-métrage – 2015Aya, 10 ans, travaille comme bonne au centre de Casablanca. Bien qu’enfermée à double tour, Aya, laisse éclore sa joie de vivre. L’enfant espiègle, intelligente et drôle… refait surface au quotidien. Elle trouve du récon…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
C’est eux les chiens…Long-métrage – 2013Majhoul vient de passer 30 ans dans les geôles marocaines pour avoir manifesté en 1981 durant les « émeutes du pain ». Il retrouve la liberté en plein Printemps arabe. Une équipe de télévision en quête de sensationne…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Chevaux de Dieu (Les)Long-métrage – 2012Yachine, 10 ans, vit avec sa famille dans le bidonville de Sidi Moumen à Casablanca. Sa mère, Yemma, dirige comme elle peut toute la famille. Un père dépressif, un frère à l’armée, un autre presque autiste et un troisièm…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
-
My LandLong-métrage – 2010Ce film documentaire donne la parole à de vieux réfugiés palestiniens qui ont fui en 1948 sans jamais retourner sur leur terre, et qui vivent dans des camps au Liban depuis plus de 60 ans. Cette parole est entendue par …Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
-
Whatever Lola WantsLong-métrage – 2007Lola, 25 ans, vit à New York où elle travaille pour la poste en rêvant d’une carrière de danseuse. Youssef, son meilleur ami, est un jeune Egyptien gay installé à New York pour y vivre comme il l’entend. C’est par lui qu…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que réalisateur/trice
-
SqueletteLong-métrage – 2007De retour au village après un séjour en ville, Houcine crie sur tous les toits qu’il veut vendre son corps à la science. Entre conflits d’intérêts et manipulation, le retour de Houcine va faire de la vie au village une g…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Chelh ou bghaha fassia– 2007Résumé : Insouciant, Rachid, un amazigh, et Kenza, une Fassia, vivent leur histoire d’amour avec passion et romantisme jusqu’au jour où ils décident de se marier… Leurs familles respectives s’opposant vivement à leur un…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Manhouss ou zadouh kadouss– 2007Resumé : Le jour où Hassan, un jeune homme particulièrement malchanceux, reçoit une lettre d’embauche, il croise sur son chemin « Da Mouh », l’homme au mauvais oeil… En 2 temps, 3 mouvements, il se retrouve la main coin…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Tiphinar– 2006Resumé : Hicham, un jeune archéologue, est confronté à sa propre schizophrénie dans un village hanté par son passé. Leila, jeune journaliste, cherche a découvrir avec lui le mystère qui se cache derrière une légende. En…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Elle (She)– 2006Résumé : La vie d’Omar devient un cauchemar le jour où une inconnue entre dans sa vie pour le persécuter. Troublé, Omar essaye de connaître l’identité de cette femme. Au fur et à mesure que le harcèlement s’intensifie, …Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Forêt de la Mort (La)– 2006Resumé : une bande de jeunes décide de partir en week-end à la montagne. Inconscients du danger qui les menace, ils s’enfoncent doucement dans la forêt et le cauchemar commence. Genre : Horreur/Fantastique Date de …Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Enveloppe (L’)– 2006Resumé : un jeune boxeur accompagné de son maître se rend à Agadir pour participer à une compétition de kickboxing. Il se retrouve impliqué malgré lui dans un trafic de drogue qui viendra compromettre le déroulement de s…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Agadir Underground– 2006Résumé : Hakim, un policier trouve son bonheur dans les moments de complicité qu’il partage avec sa fille Soraya. le jour où Souraya se fait enlever, son père part à sa recherche. Genre : Action/Policier Date de…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Os de fer (L’) – عظم الحديدLong-métrage – 2006Nord du Maroc. Début des années 90. Son Bac en main, Rahil décide, contre l’avis de sa famille, de poursuivre ses études à l’université. Elle y découvre l’influence croissante des islamistes. Une poignée de militants sy…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Nabyl Ayouch (ou Nabil Ayouch)Court-métrage – 2006Portrait du réalisateur franco-marocain Nabil Ayouch. un film de Fouad Souiba Maroc / Qatar, 2006, Documentaire, 26 mn Scénario et production : Fouad Souiba 26 mn Un des films de la série de documentaires p…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que acteur/trice
-
Tiwerga (Le cauchemar)– 2005Resumé : Leila, femme au foyer, s’ennuie à la maison. Elle développe des visions qu’elle n’arrive pas à expliquer. Son mari lui donne des calmants pour chercher à l’apaiser. Mais les visions sont de plus en plus fréquent…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
-
Magistrat (Le)– 2005Resumé : une bande de malfaiteurs est prête à tout pour sortir leur chef d’un procès qui risque de l’envoyer en prison. La veille du procès, ils décident de prendre en otage la famille du juge chargé du dossier. Gen…Nabil Ayouch est lié(e) à ce film en tant que producteur/trice
Partager :