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Tous les articles en lien avec Rhétorique de la rupture dans le cinéma maghrébin

  • Déserts, de Faouzi Bensaïdi
    Déserts, sixième long-métrage du Marocain Faouzi Bensaïdi, vu à Cannes à la Quinzaine des cinéastes, sort en salles en France le 20 septembre 2023. Il s’inscrit dans cette montée en abstraction qui caractérise depuis que…
  • Cannes 2023 / 2 : le temps de l’incertitude
    Deux films en compétition officielle, huit longs métrages de cinéastes africains dans les différentes sections : l’Afrique a marqué le festival de Cannes 2023. A cela s’ajoutait une forte présence au marché du film (4ème…
  • Volubilis, entre amour et lucidité.
    Lors des Rencontres des cinémas du monde dont la huitième édition se tenait à Sainte-Jalle (Drôme), Faouzi Bensaïdi présentait l’ensemble de ses films et en avant-première son dernier, Volubilis, qui sort le 19 septembre…
  • Volubilis, de Faouzi Bensaïdi
    En compétition au Journées cinématographiques de Carthage après avoir été présenté à la Biennale de Venise, Volubilis confirme le talent de Faouzi Bensaïdi dans sa recherche d’une forme appropriée pour élargir son propos…
  • Mort à vendre, de Faouzi Bensaïdi
    Il y a une scène magnifique au début de Mort à vendre. Rassurez-vous, je ne vous raconterai pas le film : c’est juste au début. Mais je vais vous raconter cette scène car elle est à l’image du film et que tout le cinéma …
  • Goodbye Morocco, de Nadir Moknèche
    En sortie en salles en France le 13 février 2013.Dounia Abdallah est une femme de tête, qui dirige sans hésiter les ouvriers africains sans papiers d’un chantier de construction. Mais son nom dénote sa contradiction : ta…
  • Le cinéma maghrébin vu de l’autre côté de la Méditerranée :
    Cet article a pour objectif de regarder comment le cinéma maghrébin a été « construit » pendant les dix dernières années en France. Il s’agira d’analyser la réception des films maghrébins dans les salles françaises pendant…
  • Rhétorique de la rupture dans le cinéma maghrébin
    Chaque film est une tentative de réponse aux questions de son époque. Dans cette perspective, la relation entre le texte filmique et le contexte historique est organique et intimement liée. Bien sûr, aux questions qui tr…
  • Le Festival national du film de Tanger : un portrait de la cinématographie marocaine
    Le Festival National du Film de Tanger offre une rare opportunité de penser les enjeux d’un cinéma national à partir d’un portrait exhaustif de la production. Si l’augmentation du nombre de films au Maroc révèle un évent…
  • La leçon de cinéma de Faouzi Bensaïdi
    Lors du festival des films d’Afrique d’Apt de novembre 2010, Faouzi Bensaïdi a donné une leçon de cinéma animée par Olivier Barlet. Ce fut l’occasion pour lui de détailler son parcours et sa méthode. Il était accompagné …
  • La formation des jeunes réalisateurs africains : table ronde au festival d’Apt 2010
    Le festival des films d’Afrique en pays d’Apt est l’un des seuls rescapés des manifestations cinématographiques présentant exclusivement des films africains. Paradoxe dans une petite ville de 12 000 habitants, il s’y est…
  • Colloque « Images et représentations des Maghrébins dans le cinéma en France »
    Outre la programmation des films étalée sur une douzaine de jours, le Maghreb des Films a également donné lieu à un colloque, les 15 et 16 novembre 2010, devant un public de vingt à trente personnes à la mairie du 2ème a…
  • Carthage 2010 : mon journal de bord
    Flash personnel sur les JCC 2010 (23/31 octobre 2010) : le journal de bord de Samir Ardjoum, critique à El Watan et Africultures et membre cette année du jury documentaires internationaux et courts-métrages nationaux.Pou…
  • WWW- What a Wonderful World
    The film opens with 60s, James-Bond style credits. The enigmatic contract killer played by the director is more like Goldfinger than some character out of a Moroccan film. The film alternates a multitude of key film refe…
  • WWW – What a Wonderful World
    Cela commence par un générique à la James Bond des années 60. L’énigmatique tueur à gage incarné par le réalisateur lui-même fait davantage penser à Goldfinger qu’à un quelconque personnage de film marocain. Le film osci…
  • « Pourquoi un Marocain ne pourrait-il pas faire du polar ? »
    La cinéphilie prend une grande place dans le film, les références étant autant ironiques que détournées. Quel est ainsi votre rapport au cinéma ? Il est vrai qu’à regarder ma biographie, le théâtre prend une grande plac…
  • Apt 2003 : la belle synergie
    Les 16-18 novembre, après une remarquable exposition d’art contemporain africain cet été (Soly Cissé, Sokey Edorh, Ndary Lô), la petite ville provençale d’Apt (Sud-Est de la France) accueillait un festival de cinémas d’A…
  • Mille mois
    Voilà un film qui nous emmène avec lui : acceptons la ballade, elle vaut le coup. Elle n’est pas touristique. Les quelques paysages sont arides et durs, bien que terriblement beaux. Elle n’est pas explicative non plus : …
  • « Par son amour il permet l’amour des autres »
    Vous dites dans le dossier de presse être parti de la honte et de l’impuissance que vous avez ressenti face à ce qui se passait et se passe encore dans votre pays. Là, on part dans une discussion politique alors que c’…
  • Le Soleil assassiné
    La mer s’étale au grand soleil dès les premières images. Visible par les fenêtres, elle  » s’encadre  » pour reprendre l’expression de Braudel dans L’Histoire de l’Algérie et l’iconographie. Elle marquera tout le film. Cet…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Faouzi Bensaïdi
    Vous avez démarré comme acteur et passez avec trois courts métrages et maintenant un long derrière la caméra : pourquoi cette envie de cinéma ? L’envie de faire des films… Les cinéastes qui m’ont donné cette envie étaie…
  • Cannes 2003 : mobilisation générale !
    Actualité oblige, tous se mobilisent contre le rouleau compresseur américain pour défendre la diversité culturelle dans le monde. L’enjeu est alors de savoir si l’Europe, en aidant la production d’images du Sud, se pose …
  • 2000 : 5ème Biennale des cinémas arabes à Paris.
    vendredi 30 juin 2000 Ce ne peut pas être un hasard : le premier film a être projeté à la Biennale (en dehors de l’excellent « La Saison des hommes » de Moufida Tlatli en soirée d’ouverture, dont nous avons déjà dit tout …
  • Cannes 2002 au jour le jour
    Jeudi 16 et vendredi 17 mai Aller au cinéma dans ce festival est comme entrer en religion : on laisse le soleil et le bleu de la mer pour écouter dans des salles obscures le visage tourmenté du monde et l’interrogation …
  • Cannes 2000, au jour le jour
    Carnet de bord subjectif mais attentif du festival.Le jeudi 11 mai 2000 D’abord arriver à garer la voiture. Ce n’est pas encore le Cannes des grandes foules du week-end mais l’ambiance y est : journalistes pressés coura…
  • Le Chant de la Noria
    Zeineb est une femme de caractère depuis l’enfance : elle refuse, elle divorce, elle tient tête. Divorcée, elle sera libre selon la loi, mais enchaînée car la loi n’est pas respectée et que son ancien mari la fait violem…
  • Le Chant de la Noria
    Zeineb has always been strong-willed. She refuses, divorces, and asserts her will. Once divorced, she is free on paper, but remains enslaved as her ex-husband refuses to respect the law, hiring men to violently hound her…
  • à propos de Le Chant de la Noria
    Le film commence par une scène de tribunal où l’amie de Zeineb lui dit qu’en Tunisie « la loi n’est pas respectée ». Peut-on le dire pour la Tunisie d’aujourd’hui dans le cas du divorce et des droits des femmes ? Abellati…
  • 2002 : 6ème Biennale des Cinémas arabes à Paris
    Retrouvez toutes les critiques et interviews de cette biennale, en cliquant sur le point en bas de cette pageLes temps changent. Au moment de la guerre du Golfe, c’est CNN qui faisait la pluie et le beau temps de l’infor…