Ecrire aux Comores relève de l’urgence et de la nécessité. Face au viol de l’histoire, à la mémoire éparpillée, aux manipulations du destin commun, écrire et publier deviennent – pour beaucoup – une manière de se tenir debout. Une manière de remuer l’histoire, d’interroger la mémoire et le paysage.
La dernière édition de « Testaments de Transhumance » chez Komed...
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