Tous les articles en lien avec Les Culs-reptiles ou l’épopée de l’anguille
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« C’est le dernier Fespaco auquel j’assiste »Nous voici à la fin du Fespaco 2011. Vos déclarations durant cette semaine ont provoqué de multiples réactions. Quel bilan tirez-vous maintenant de cette édition ? On peut encore une fois regretter l’amateurisme de l’or…
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L’inauguration du Normandie à Ndjaména : quand l’international pousse le localC’est un événement tchadien mais c’est aussi un événement pour les cinémas d’Afrique confrontés à une fermeture endémique des salles de cinéma. La rénovation du Normandie, la salle mythique de Njaména de près de 600 plac…
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Carthage 2010 : mon journal de bordFlash personnel sur les JCC 2010 (23/31 octobre 2010) : le journal de bord de Samir Ardjoum, critique à El Watan et Africultures et membre cette année du jury documentaires internationaux et courts-métrages nationaux.Pou…
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Que sont devenues les salles de cinéma au Tchad ?La sortie en salles en France le 29 septembre 2010 du dernier film de Mahamat-Saleh Haroun, Un homme qui crie, prix du jury à Cannes en mai dernier, repose la question de la situation des salles de cinéma au Tchad. En Fr…
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Mahamat-Saleh Haroun face à la presse tchadienne : « Rien de grand ne s’obtient sans passion »Après que son film Un homme qui crie ait obtenu le prix du jury au dernier festival de Cannes, le cinéaste tchadien Mahamat-Saleh Haroun a répondu aux questions de la presse tchadienne le 4 juin 2010, une rencontre dont …
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Cannes 2010 : face à la cupiditéAvec une édition exceptionnelle pour l’Afrique noire qui revient en compétition officielle après 13 ans d’absence, il fallait un timing serré pour suivre tout ce qui nous tient à cur, des multiples projections aux renco…
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« The more Africa gets forgotten, the more we need to bring it to the attention of the world »We are here in Cannes; the film has been presented, but the awards not yet announced. What’s your impression after these intense few days? I shall focus on just the wonderful things that have happened here. At the end o…
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« Plus l’Afrique est oubliée, plus il faut la ramener au souvenir du monde »Nous sommes à Cannes entre la présentation du film et le palmarès. Quelle est ton impression après ces quelques jours intenses ? Je ne veux retenir que les belles choses qui viennent de se passer ici. A la fin de la pro…
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A Screaming ManA Screaming Man was shown in the Cannes Film Festival Official Selection on Sunday 16 May, 2010 and awarded the Jury Prize on 23 May.Father and son, Adam and Abdel fool around in a pool, competing to see who can stay und…
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Un homme qui crieUn homme qui crie a été présenté en sélection officielle au Festival de Cannes le dimanche 16 mai 2010 et y a obtenu le prix du jury au palmarès du dimanche 23 mai.Adam et Abdel, un père et un fils jouent dans une piscin…
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Sexe, gombo et beurre saléVous en voyez souvent des téléfilms qui vous tiennent en haleine une heure et demie avec humour et légèreté ? Qui vous mettent de bonne humeur tout en ayant l’impression d’avoir fait le plein de finesse et de subtilités …
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Mahamat-Saleh Haroun : « Dans l’exil, on emporte son histoire avec soi »À travers une installation vidéo, intitulée Ombres, et composée de trois panneaux, Mahamat- Saleh Haroun propose dans l’exposition Diaspora une oeuvre forte, poétique et chargée d’émotion. Imprégnée des ombres qui hanten…
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« We’ve already won this war because what we do is inscribed in eternity »In our film review, we already stressed the importance of Daratt for today. To accompany its release on French screens on the 27th of December 2006, we publish this in-depth interview about the film that we have chosen t…
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Daratt (Saison sèche) / Daratt (Dry season)In this film, there is tension that Hitchcock would have appreciated. Yet, Daratt is a film in which there is practically no music or dialogue and in which time is drawn out. But the heat of the dry season stimulates sen…
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For a thought-out cinemaYou like calling African cinema the « cinema of schizophrenia ». Why is that? I’m referring to an article I wrote, entitled From militant cinema to schizophrenic cinema: it’s a cinema which, without saying it, leaves the …
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« Cette guerre, on l’a déjà gagnée car ce que nous faisons s’inscrit dans l’éternité »Nous avons déjà insisté dans notre critique du film sur l’importance de Daratt pour le temps présent. Nous accompagnons sa sortie le 27 décembre 2006 sur les écrans français par cet entretien en profondeur sur ce film qu…
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Daratt (Saison sèche)Il y a dans ce film une tension qui n’aurait pas déplu à Hitchcock. Pourtant, Daratt est un film pratiquement sans musique, avare de dialogues, où le temps s’étale. Mais la chaleur de la saison sèche aiguise les sensatio…
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KalalaLes nuages passeront dans le ciel. Et nous ne cesserons de les regarder. C’est par cette simple référence au temps que Kalala débute, du surnom d’un ami d’Haroun, emporté par le sida. Le cinéaste perd son meilleur ami, s…
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De l’indicible au romantique : les masques de l’amour au cinémaRares sont les histoires d’amour dans les cinémas d’Afrique noire, mais les films populaires plongent volontiers dans le romantisme.Nous avions déjà évoqué dans » Femmes et hommes dans les cinémas d’Afrique noire » (Afri…
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Du cinéma métis au cinéma nomade : défense du cinémaUne question plombe la discussion sur les cinémas d’Afrique comme un lancinant leitmotiv : le » cinéma africain » ne s’adresserait pas à son public. Des cinéastes la posent aujourd’hui d’une nouvelle façon.Il plane derri…
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Le cinéma africain, ce cinéma nomadeMahamat Saleh Haroun est l’une des figures incontournables du cinéma africain actuel. Révélé il y a quelques années par son premier long métrage Bye bye Africa, le premier dans l’histoire de son pays le Tchad, il a confi…
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Pour un cinéma penséA l’occasion du festival d’Apt, une rencontre amicale où l’on explore les tendances actuelles des cinémas d’Afrique et les enjeux. Tu aimes parler pour les cinémas d’Afrique de « cinéma de la schizophrénie ». Pourquoi ? J…
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Apt 2004 : festival, mode d’emploi.Un festival important est en train de naître. Le deuxième Festival des cinémas d’Afrique du pays d’Apt représente un modèle de convivialité et d’implication régionale. Quelle potion magique ?Apt est une petite ville de P…
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AbounaOn attendait avec impatience le nouveau long métrage de Mahamat Saleh Haroun. Ses courts métrages révélaient l’acuité d’un regard teinté d’humour et d’un sens aigu du suspens. Il avait récemment développé avec son premie…
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Abouna, éloge du respectQu’est-ce qui t’a poussé à aborder un tel sujet ? Le phénomène se développe de plus en plus au Tchad : tous les matins, des communiqués de recherche sont passés à la radio nationale par des femmes dont les maris sont pa…
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Cannes 2002 au jour le jourJeudi 16 et vendredi 17 mai Aller au cinéma dans ce festival est comme entrer en religion : on laisse le soleil et le bleu de la mer pour écouter dans des salles obscures le visage tourmenté du monde et l’interrogation …
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Fespaco 97 : les courts valent le détourLes courts métrages présentés au Fespaco sont souvent comme un bain de jouvence : c’est là que de jeunes (ou moins jeunes) réalisateurs proposent leur rénovation de l’écriture et de la thématique. La cuvée 97 ne déçoit p…
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Cannes 2002 : vers un cinéma africain contemporainPrincipal rendez-vous mondial, le Festival de Cannes fait uvre de baromètre pour une cinématographie. Voilà que l’Afrique noire est de retour dans les sélections cannoises : que cache le phénomène ?Cannes 2001 avait été…
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Une relation d’amour avec le spectateurNous avons publié une critique de Bye Bye Africa dans Africultures 19 de juin 1999. La sortie française du film, maintenant annoncée pour le printemps 2002, est sans cesse repoussée. Pourtant, ce film est important : il …
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Namur 2001 : festival complet150 films, 250 invités, 150 professionnels et 200 journalistes, le festival du film francophone de Namur reste au début octobre un rendez-vous obligé. L’Afrique s’y est taillée cette année la part du lion dans le palmarè…
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Les nouvelles stratégies des cinéastes africainsAu cinéma, face à l’exigence d’authenticité qui fonderait l’africanité, la question de la réalité reste centrale. A la lumière de quelques films récents, les nouvelles stratégies adoptées par les cinéastes pour refuser l…
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Femmes et hommes dans les cinémas d’Afrique noireLes films d’Afrique noire franchissent depuis longtemps la frontière entre le masculin et le féminin, mais le font de façon très nouvelle ces derniers temps.La femme au cinéma Les discours officiels rendent régulièremen…
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Le corps profond des cinémas d’AfriqueLes cinémas d’Afrique n’ont jamais cessé de tenter de se réapproprier le corps que la modernité nous dénie.Critique de cinéma et passionné, je dois voir près de deux à trois cent films par an. Les perles sont rares : ce …
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Bye bye AfricaUn fil à tiroirs. C’est ainsi que se définit elle-même cette passionnante pérégrination à Ndjaména d’un réalisateur revenu au pays après avoir appris le décès de sa mère. Pèlerinage d’un cinéaste qui ne lâche pas sa camé…
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