Événements

Festival du Film Tunisien de Paris 2008
Première édition

Français

Seront projetés 8 Longs Métrage, 18 Courts, 6 Documentaires et 1 Film d’Animation. Le Festival verra aussi la participation de 4 Groupes musicaux dont certains se produiront en exclusivité.

Les films :

Sbeh el khir
Khochkhach
Moi ma soeur et la chose
Concert haythem achour
Poupees d’argile
Coup de coeur
Tsawer
Visa
Casting pour un mariage
Vhs kahloucha
Making
Le bonheur
Elle et lui
Croix x
Sacrees bouteilles
Les sabots en or
Mare nostrum
Perversions
Ordure
Tendresse du loup
Le lit
Albert samama chikli
Les beys de tunis
La moisson magique
J’en ai vu des etoiles
Les naufrages de carthage
Le collier perdu de la colombe
La breche
Fooska
Le rendez vous
Fils de tortue
Comme les autres
El Kotbia

Les concerts :
Concert Zied Ben Youssef
Concert Neshez
Concert Neshez & Zemeken

Samedi 15 mars 2008
AU CINEMA LA CLEF
TABLE RONDE à 15h
Le cinéma tunisien : prémices et promesses d’une vague nouvelle

Animée par Oliviet Barlet (Africultures) et Mériam Azizi (Africiné & ATPCC)
Voilà presque quelques années que le cinéma tunisien a pris un nouveau tournant. Le sens et, si l’on peut dire, l’essence de ce changement correspondent à la volonté de confirmer le primat de la représentation de l’identité du tunisien en tant qu’individu sur la peinture du pays et le souci de bien marquer sa couleur locale. Immense révélation : à lui seul, le tunisien en tant que maillon de la société, constitue une matière humaine qui, source d’inspiration, se transforme sitôt en une aubaine pour la création filmique. Ce point du premier volet de notre thématique nous amène, au deuxième axe qui traitera, par conséquent, de la nouvelle conception dramaturgique du cinéma tunisien à savoir une dramaturgie centrifuge dans le sens où elle met en scène des histoires de faits divers dont les principaux acteurs se distinguent par une caractérisation des plus communes et surtout psychologiquement manichéenne. Autrement dit, plus de séparation entre le méchant et le gentil. Un personnage crédible cumule les deux traits. A partir de cette réflexion, nous pourrions conclure de l’émergence d’un nouveau genre cinématographique tunisien. Nous débattrions sur le renouveau du cinéma tunisien à travers le double aspect cinéma populaire/cinéma d’auteur comme une urgence et un besoin d’une nouvelle expression audiovisuelle.

Pour assurer l’interactivité de la discussion, nous avons choisi la filmographie suivante :

* Khorma, le crieur de bonnes nouvelles, Jilani Saâdi.
* VHS Kahloucha, Néjib Belkadhi
* Making off, Nouri Bouzid
* La Tendresse du loup, Jilani Saâdi
* La liste peut s’élargir au plaisir des participants à la table ronde.
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