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Tous les articles en lien avec Interview with Ousmane Sembène, by Olivier Barlet

  • Nouveaux films
    Dans chaque numéro d’Africultures, le guide succinct des films sortis en France. On trouvera sur africultures.com les critiques complètes des films ainsi que les interviews avec les réalisateurs et acteurs, à consulter d…
  • Racines lointaines
    Voilà une idée saugrenue : chercher en Mauritanie un arbre qui pousse dans le jardin de sa petite villa belge. Mais voilà une idée géniale : l’évidente métaphysique de la question ne peut entraîner que des réponses du mê…
  • Moro no Brasil
    Cela commence dans la neige et le vent. Juste quelques instants pour placer le réalisateur, frère d’Aki Kaurismäki, primé à Cannes pour L’Homme sans passé et dont il a produit les premiers films. Mika, sa passion, en deh…
  • Al’lèèssi – une actrice africaine
     » Je suis la fille de l’eau, le fleuve ne peut pas m’avaler « . Zalika Souley puise dans son origine l’indiscipline qui lui permettra malgré le qu’en dira-t-on d’être la grande actrice du cinéma nigérien.  » Si les insulte…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Rahmatou Keïta
    Comment en êtes-vous arrivée à la réalisation ? Je suis journaliste et écrivaine, ainsi que reporter pour la télévision (France 2, Arte, la 5ème). J’ai présenté des émissions, été chroniqueur, j’ai fait des documentair…
  • Quel avenir pour le financement des films du Sud ?
    A l’occasion du festival de Cannes 2003, une table ronde animée par Serge Siritzky, PDG d’Ecran total, a réuni Serge Adda (TV5), Jacques Bidou (JBA productions), Richard Boidin (Ministère français des Affaires étrangères…
  • Les Yeux secs
    Ainsi donc, il existe au Maroc un village reculé où ne vivent que des femmes auxquels les bergers rendent visite. Plutôt que d’y faire un documentaire que la réticence des femmes rendait difficile, Narjiss Nejjar réalise…
  • La Ceinture de feu
    Alors que le propos du film est passionnant : explorer les effets bouleversants de la guerre sur un personnage qui n’y prend pas parti, son problème est le traitement : un montage approximatif qui ôte au spectateur les r…
  • Le Voyage de James à Jérusalem (James’journey to Jerusalem)
    Cela commence avec un conte sur des dessins d’enfant : le conte merveilleux de la Terre promise. La communauté noire du village imaginaire d’Entshongweni (dont on ne verra que l’assemblée chrétienne, stéréotype de naïvet…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Sonia Zembourou
    Vous n’êtes pas pygmée vous-même : est-il difficile de rentrer dans la peau d’un peuple marqué par une différence importante et rejeté de tous ? C’était un peu difficile, surtout parce que c’était la première fois que j…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Faouzi Bensaïdi
    Vous avez démarré comme acteur et passez avec trois courts métrages et maintenant un long derrière la caméra : pourquoi cette envie de cinéma ? L’envie de faire des films… Les cinéastes qui m’ont donné cette envie étaie…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Eriq Ebouaney
    Pas évident ce rôle de Gonaba au milieu de la forêt ! Moi qui suis très parisien dans l’âme, j’étais époustouflé en lisant le scénario et me suis dit que c’était l’occasion d’aller vers ce peuple dont personne ne parle….
  • entretien d’Olivier Barlet avec Didier Ouenangaré
    Co-réalisateur avec le Camerounais Bassek ba Kobhio du film Le Silence de la Forêt, Didier Ouenangaré est d’origine Centrafricaine.Quelle était l’intention du film au départ ? L’idée de départ était dans un premier temp…
  • Le Silence de la forêt
    Avec Eriq Ebouaney tenant le rôle principal dans les deux films, c’est comme s’ils se répondaient : le héros du Silence de la forêt est une sorte de Lumumba (de Raoul Peck) revenant en terre d’Afrique après 40 ans d’indé…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Bassek ba Kobhio
    On a l’impression que le film nous dit  » regardez-vous vous-mêmes « . Depuis quelques années, je suis très intéressé par la question des exclusions et des conflits ethniques. Le roman qui sert de base au film la traite t…
  • Hop
    Hop a la dynamique de son titre. Mené comme un thriller à rebondissements, il captive de bout en bout grâce à des trouvailles de scénario qui tiennent moins aux procédés fort classiques et largement employés de suspens o…
  • La coproduction en francophonie
    Nouvelle étape dans la réflexion francophone organisée par le bureau de liaison de l’espace francophone et soutenue par la Sodec et l’Agence intergouvernementale de la francophonie. La première étape avait été la table-r…
  • La diffusion au Sud des films du Sud
    Au festival de Cannes 2003 a été présentée la nouvelle structure  » Africa cinémas « , soutenue par les différents organismes de soutien aux cinémas d’Afrique. Intervenants : Bassek Ba Khobio (Films Terre Africaine), Chris…
  • Cannes 2003 : mobilisation générale !
    Actualité oblige, tous se mobilisent contre le rouleau compresseur américain pour défendre la diversité culturelle dans le monde. L’enjeu est alors de savoir si l’Europe, en aidant la production d’images du Sud, se pose …
  • La Boîte magique
    « Fais-nous encore des films qui nous parlent de nous ! » L’injonction lancée durant le film au cinéaste apparaît programmatique pour ces souvenirs d’un réalisateur à qui une télévision européenne a demandé de faire un fil…
  • entretien d’Olivier Barlet avec Hubert Koundé
    Célèbre pour son rôle dans  » La Haine  » de Mathieu Kassovitz, l’acteur Hubert Koundé, d’origine béninoise, tient un des rôles principaux de  » Le Prix du pardon  » du Sénégalais Mansour Sora Wade. Il touche également à la …
  • à propos du Silence de la forêt
    On retrouve dans  » Le Silence de la Forêt  » de Didier Ouénangaré et Bassek Ba Kobhio l’actrice Nadège Beausson-Diagne découverte dans  » Les Couilles de l’éléphant  » du Gabonais Henri-Joseph Kumba-Bididi. Entretien avec u…
  • Etat du cinéma marocain
    A l’occasion de l’inauguration du séminaire  » Les industries culturelles « , organisé à Rabat du 12 au 16 mai 2003 par le secrétariat international du Forum francophone des affaires avec le soutien de l’Agence intergouver…
  • à propos de Ali Zaoua
    Votre film semble être un projet très construit avec une volonté scénaristique très forte. Je sais que vous avez travaillé avec des associations d’enfants des rues. Comment avez-vous procédé au niveau de l’écriture, comm…
  • Siraba, la grande voie
    Un gouverneur a perdu son fils et pense qu’il a été assassiné dans le village où il était instituteur. Les villageois affirment que c’est l’esprit du boa qu’il avait tué qui a fait le coup… Pour se venger, il fait passer…
  • Royal Bonbon
    A l’aube des commémorations du bicentenaire de la révolution haïtienne de 1804, Royal Bonbon arrive comme une importante et éclairante réflexion. Réflexion exigeante certes, car rien n’est évident ou donné dans ce film d…
  • Heremakono – En attendant le bonheur
    Cela commence dans le vent de sable et ce n’est pas un hasard : rien ne sera entièrement clair dans ce film qui ne juge personne, qui ne pose aucune certitude, n’ébauche aucune solution, qui au contraire se situe dans …
  • à propos de Heremakono
    Le film commence par un vent de sable : on y sent une opposition entre une grande clarté d’écriture et cette place laissée au vent, à l’incertitude, au questionnement sans réponse toute faite. Si cette lecture se sent …
  • Abouna
    On attendait avec impatience le nouveau long métrage de Mahamat Saleh Haroun. Ses courts métrages révélaient l’acuité d’un regard teinté d’humour et d’un sens aigu du suspens. Il avait récemment développé avec son premie…
  • Abouna, éloge du respect
    Qu’est-ce qui t’a poussé à aborder un tel sujet ? Le phénomène se développe de plus en plus au Tchad : tous les matins, des communiqués de recherche sont passés à la radio nationale par des femmes dont les maris sont pa…
  • Fespaco 2003 : priorité au cinéma
    Le jury de la 18ème édition du Festival panafricain de cinéma de Ouagadougou (22 février ‘au 1er mars 2003) a couronné « Heremakono » d’Abderrahmane Sissako, un film magnifique mais difficile, réalisé pour la télévision. C…
  • Edito 54
     » On nous dit, et c’est vérité, que c’est partout déréglé, déboussolé, décati, tout en folie, le sang, le vent. Nous le voyons et le vivons. Mais c’est le monde entier qui vous parle, par tant de voix bâillonnées.  » Edo…
  • La culture, une industrie ?
    Du 12 au 16 mai se sont réunis dans la capitale marocaine, à l’initiative du Forum francophone des affaires, une pléiade d’opérateurs culturels et de représentants d’organisations internationales pour une réflexion sans …
  • L’Adieu
    François Luciani avait déjà réalisé L’Algérie des chimères, un téléfilm en deux parties sur la période où les colons républicains prennent possession de l’Algérie malgré la décision de Napoléon III de faire de la colonie…
  • Paris selon Moussa
    La pompe à eau du village étant à bout de souffle, Moussa (incarné par le réalisateur lui-même) est délégué pour en acheter une neuve à Paris. Il se heurtera à tous les déboires de l’immigré : vol, arnaques, contrôles, p…
  • Fatou l’espoir
    Fatou, le retour ! Trois ans après avoir été séquestrée et violée lors de son mariage forcé, Fatou revient à Paris pour un défilé. Car après s’être enfouie, elle a réalisé son rêve à Londres : être coiffeuse chez les gra…
  • Les Chemins de l’oued
    Samy n’a pas le choix : une équipée sauvage s’est mal terminée, un flic est mort, il doit fuir. On n’en saura pas plus : le sujet n’est pas là, l’ellipse lui tourne autour. Le sujet, c’est Samy. Sa famille algérienne l’e…
  • à propos de Le Fleuve
    La référence au Fleuve de Renoir est-elle voulue ? Non, mais je savais que je m’appropriais un peu son patrimoine ! Je suis allé au CNC pour vérifier si je pouvais en reprendre le titre. Mais c’est davantage une référen…
  • à propos de Guerre sans images »
    Une opposition apparaît dans le film entre le cinéma, processus lourd, et la photographie qui se fait beaucoup plus discrète. Michael von Graffenried a fait des photos pendant près de dix ans et on revient sur la trace …
  • Guerre sans images
    De 1992 à 1999, Michael von Graffenried, un photographe suisse, fixe en images une Algérie plongée dans le chaos. Il y retourne avec Mohammed Soudani pour retrouver les gens qu’il a photographié, muni du livre où sont pu…
  • Au nom de mon père
    Figure d’immigré, Paul Musuamba est extrême mais incarne jusqu’à la folie la contradiction inhérente à la perte des racines. « Les fruits de l’exil sont amers », rappelle le réalisateur dans ses rares incursions en voix-ov…
  • Rwanda pour mémoire
    En deux images, le film débute par une position dont il ne se départira pas et nous savons d’entrée que ce regard est juste. Deux images parfaitement émouvantes. La première est un homme et une femme sur un vélo. Ils sav…
  • Vivre positivement
    Il y a une façon de cadrer une personne et de l’éclairer qui la magnifie et souligne son humanité. Fanta Régina Nacro possède cet art et « Vivre positivement », qui regroupe essentiellement la parole des gens, se voit dès …
  • Black
    Le problème de « Black » est vieux comme le monde : à force de vouloir montrer la violence d’une réalité, on est pris au piège du voyeurisme. Délibérément filmé en caméra numérique comme une série B américaine orchestrant …
  • Loin du paradis
    Nous voilà transplanté dans les années 50, dans le milieu bourgeois policé qu’explorait Douglas Sirk dans ses mélodrames vernis. Pourtant, s’il en utilise tous les codes, Todd Haynes ne joue le mimétisme que pour mieux n…
  • Carthage 2002 : le cinéma tunisien entre art et politique
    Les Journées cinématographiques de Carthage ont été marquées par de vifs débats sur la critique et la réception des films tunisiens. Lire les synopsis et critiques des films vus à Carthage dans les liens.Les JCC sont en …
  • entretien d’Olivier Barlet avec François Woukoache (Cameroun)
    Votre démarche actuelle de cinéma est proche de ce qu’avait pu être la Nouvelle Vague : une volonté d’indépendance, d’autofinancement ou presque, d’entraide logistique, de libération des thèmes… Oui, quand on réfléchit …
  • Je chanterai pour toi
    Voilà une méditation sur la vie en forme de blues. A travers le destin de Babacar Traoré, un musicien qui aura fait chanter tout le Mali à l’heure de l’indépendance, c’est l’histoire du pays qui se profile sur un mode in…
  • La Cité de Dieu
    Adapté d’un roman de 600 pages de Paulo Lins, c’est au Brésil Noir que nous transplante ce film, celui des favelas où l’on a rarement la peau blanche. « Fusée » est un jeune de la « Cité de Dieu », une favela marquée par les…
  • à propos de Madame Brouette
    Voilà un destin de femme qui s’affirme : c’est ça qu’il faut montrer aujourd’hui en Afrique ? Il faut être de son temps : s’impliquer mais aussi donner des éléments de réflexion. Donner un visage symbolique d’une femme …